071201 voyage à Lille

 

Nous voulions aller au salon de l'érotisme de Lille, que l'on croyait avoir lieu ce week-end, or, nous avions une semaine d'avance ! Nous avons profité toutefois du moment, pour aller faire un petit tour dans une boutique de lingerie, qui d'ailleurs communique avec un sex-shop. Mes salopes adorent essayé des fringues, et là, des tenues sexy, ce fut un festival. Attirant d’ailleurs beaucoup le regard des hommes en couple présent.

Nous passons ensuite au sex-shop proprement dit. En quelque sorte, nous assurons le spectacle, un mec avec deux nanas qui viennent l’embrasser à tour de rôle, ça plaît ! Je termine la visite des lieux en achetant un petit god à chacune de mes salopes. God de voyage, pourrait-on dire, puisque ils seront bien souvent dans les sacs à mains.

Nous nous rendons, pour déjeuner, dans une brasserie, devant la gare des Flandres. Nous y sommes déjà allé plusieurs fois avec Nanou, et là, à trois, avec deux furies excitées au possible, ça promet ! Pour commencer, et avant de commander quoi que ce soit, les filles sortent leur godemichet et le mette bien en évidence sur la table. Ainsi, le serveur qui vient prendre notre commande est déjà pas mal décontenancé.

Tout au long du repas, mes deux salopes n’arrêteront pas, soit de faire des remarques, soit de raconter tout haut nos ébats, soit, même, de montrer leurs appâts. Si le garçon n’a pas vu deux paries de seins, des bas et des salopes sans culotte, c'est qu’il a une sérieuse défaillance de la vue !

Après le repas, comme j'avais noté l'adresse d'un sex-shop que j'ai vu plusieurs fois sur des blogs d'amateurs "ch'tis", nous nous y sommes rendus. Un accueil très sympa, un magasin plutôt bien achalandé, des mecs à foison (dixit Nanou), un endroit tenu propre, ce qui ne doit pas être si simple à faire.

Une petite visite s’impose, nous entrons tous trois dans un petit labyrinthe, et là, ces messieurs se jettent sur les deux salopes, qui se laissent faire bien volontiers. Et ne tarde d'ailleurs pas, à y mettre de l'ardeur, elles aussi. Il est quatorze heures, les choses commencent fort !

Je les guide dans une petite pièce vide. Plusieurs trous sont pratiqués dans les murs de manière à y passer les mains. Et mes deux garces se font copieusement tripoter. Puis, plusieurs mecs viennent se serrer à nous. Malheureusement je n'ai pas très bien choisi l'endroit, et assez vite, nous suffoquons, de part le trop grand nombre de personnes dans le réduit.

Le temps d'aller déposer, à la caisse, les manteaux de ces dames, qui avaient eu grand peur d'avoir froid. Et nous nous rendons dans une petite pièce où j'installe Nanou sur le dos, les pieds pris dans des chaînes, sur la grande banquette. et Sonia, sur la petite banquette deux places.

Ensuite, c'est au tour de Sonia de se retrouver dans la position dite "du cafard flytoxé", pour se faire enfin baiser, toute à son aise.Un vieux monsieur, tout petit, est même obligé de se mettre sur la pointes des pieds pour, arriver à ses fins. Puis, c'est un vrai champion de langue, qui vient s'occuper de ma salope.

Nanou, quant à elle, se repose dans le petit coin, assise tranquillement pour reprendre son souffle. Mais les clients, eux, ne l'entendent pas de cette oreille, et ils viennent très vite réclamer leur part de plaisir.

Sonia est moins endurante que Nanou aujourd'hui, aussi elle laisse sa place à sa copine, qui ne crache pas dessus !

Le champion de langue vient s'occuper de la chatte de S114, avant qu'un vieux pervers ne vienne pour la fister. Ensuite, à la demande des deux salopes, un peu essoufflées, nous faisons un petit break.

dans cet établissement, on peut boire un jus de fruits bien frais ! Ce qui est plutôt sympa, de même que l’accueil que nous avons reçu.

Après, nous sommes retourné dans le noir. Cette fois, côté salle de cinéma. Peu de photos car, si ces messieurs sont très friands de photos, de salopes dans toutes les positions, quand je prends des photos sur place, et même en expliquant, que de toute façon, si un visage apparaît sur les photos je le masque, la majorité de ces messieurs se sauvent de peur d’être reconnus (par maman peut être ?). Donc, un grand merci à ceux qui ont eut les "couilles" de participer.