Deuxième rencontre avec claudette la branlette

 

J'avais donné rendez-vous à ma soumise au Mans, charmante ville de province, peu éloignée de Paris, et proche de Laval. Dans l'après midi, lors d'un de mes déplacements sur Paris, j'avais profité d'un instant de calme pour stationner et appeler ma salope sur son portable, je la savais au boulot. Après quelques essais infructueux, je comprenais fort bien que son travail est prioritaire sur nos appels, mais tout de même, je commençais à bouillir de ne pouvoir la joindre. Donc, la liaison avait fini par s'établir :

- claudette ?

- Oui, je suis désolée, je ne suis pas seule à mon poste...

- Tu n'as pas de toilettes dans ton entreprise ?

- Si, mais...

- Eh bien, tu t'y rends, une fois assise sur le chiotte, tu me rappelles, c'est compris ?

- Oui Maître, répondit-elle d'une voix très faible.

Je n'avais pas eu beaucoup à attendre pour entendre mon portable sonner. J'entendis la voix de claudette, toujours très faible, dire :

- Voilà Maître, je suis aux toilettes.

- Tu as la culotte entre les genoux ?

- Oui Maître.

- Parfait, tu te glisses un doigt dans le cul, sans toucher à ton clito, je ne veux pas que tu commences à te branler comme d'habitude.

- Bien Maître.

Je tendais l'oreille, mais avec le portable, plus les véhicules qui passaient sur la route, je n'entendais pas grand-chose de précis. Après quelques secondes d'attente, je demandais à nouveau :

- Quel est le doigt que tu as dans le cul salope ?

- L'index.

- L'index qui ? Demandais-je d'une voix forte et directive.

- L'index Maître.

- Parfait, tu le fais bouger, je veux que tu te rodes bien le cul, c'est compris chienne ?

- Oui Maître

- C'est toujours d'accord pour se soir au Mans ?

- Oui, pas de problème, mais je sors à 20h30.

- Parfait, disons donc 21h30 au Mans, tu connais un parking où l'on peut se retrouver ?

- Le parking de la préfecture.

- Qui salope ?

- Le parking de la préfecture, Maître.

- Parfait ! À 21h30 j'y serais donc, toi, tu continues à te roder l'anus avant d'aller reprendre ton boulot. Et je coupe la communication.

J'arrive au Mans vers 20h45, je trouve très vite le parking de la préfecture. Comme j'ai pas mal d'avance, je tourne un peu dans la ville, la gare, là je trouve un sex-shop, j'en prends note mentalement. Je cherche ensuite un hôtel. Je trouve un hôtel, L'escale, deux étoiles. J'entre et demande s’il y a une chambre de libre.

Ayant encore assez d'avance, j'en profite pour descendre mes affaires et les amener dans la chambre d'hôtel. J'attends patiemment qu'il soit 21h20. A ce moment, je redescends, démarre ma voiture et me rends sur le parking de la préfecture. Vers 21h30, claudette appelle, elle dit être arrivée sur le parking, mais ne me voit pas, je sors à mon tour de la voiture, mais n'aperçois pas non plus la voiture de ma soumise. Comme le parking sur lequel je suis est tout petit, je lui demande au téléphone :

- Mais tu es où ? tu n'es pas sur le parking de la préfecture ?

- Je ne sais pas, je suis devant la cité judiciaire.

- Cité judiciaire, qui ?

- Maître, répond uniquement ma soumise.

- OK, je sais où cela se trouve, tu ne bouges pas, j'arrive d'ici quelques secondes.

Je remonte en voiture, et pars vers la cité judiciaire qui est à deux pas. J'arrive sur le grand parking, y entre et commence à faire un tour pour trouver le véhicule de claudette. Au bout de la première travée, je trouve la voiture de ma salope. Elle sort tout de suite de voiture sans que j'ai besoin de me garer, je l'embrasse dès qu'elle est montée, puis la questionne :

- Fais voir comment tu es vêtu ?

Claudette ouvre en grand son imperméable, remonte un peu sa jupe et me montre ses bas.

Je suis déçue car elle ne porte pas un chemisier, mais une sorte de polo et je ne trouve pas que cela convienne à sa condition de soumise, je lui en fais part immédiatement :

- La prochaine fois, c'est un chemisier que tu mets, c'est compris ?

- Oui Maître, répond-elle en baissant les yeux.

- Remonte plus ta jupe.

Elle remonte entièrement sa jupe, et là, je suis stupéfait, elle a osé mettre une culotte, je craque et lui dit tout de suite :

- Retire cette culotte salope, je veux que tu aies tout le temps ta moule à l'air !

- Bien Maître et elle retire sa culotte. Pour ce faire, elle est dans l'obligation de remonter sa jupe complètement sur ses hanches, et de faire de grands gestes qui ne passent pas inaperçus aux yeux des rares passants.

Nous partons direction la gare, mais claudette n'en sait rien, elle n'a aucune idée de là où nous nous rendons, comme une bonne chienne, elle se laisse conduire sans rien dire. je commence par lui ordonner d'un ton sec :

- Branle-toi.

- Mais, il y a des gens qui peuvent me voir !

- Branle-toi salope, de toute façon j'espère bien que des gens te verront te masturber, c'est pas pour rien que je t'appelle claudette la branlette !

- Bien Maître, et elle commence à s'astiquer le clitoris en écartant ses lèvres épaisses. Elle ne mets pas beaucoup de temps pour que l'odeur de sa cyprine emplisse la voiture.

Maintenant que je sens qu'elle mouille, j'en profite pour lui dire d'une voix dure :

- Tu ne m'as pas répondu à tous mes mails, et tu ne m'as pas rempli non plus le questionnaire que je t'ai envoyé !

- J'ai pas eu le temps Maître...

- Tu penses, ce week-end, je n'ai pas réussi à te joindre sur ton portable, et ensuite tu m'annonces que tu as eu le téléphone de coupé !

- Ça c'est vrai Maître, j'ai eu des problèmes avec France télécom.

- Ha ! Bien, si ça c'est vrai, ça veut dire qu'il y a des trucs faux dans ce que tu m'as dit...

- Non Maître, je vous assure que je ne vous ai pas menti.

Je tourne la tête vers elle une fraction de seconde, affiche un sourire qui en dit long sur ce que je crois et non, puis ajoute d'une voix détachée :

- Tu penses, ce week-end tu as dû aller te faire prendre comme une chienne à Paris, oui ! Mais c'est pas grave, de toutes façons, je finis toujours par connaître la vérité.

claudette ne dit rien, elle fixe le bout de ses chaussures.

- Branles toi salope, dis-je encore en voyant qu'elle se calme de ce côté-là.

J'arrive près de la gare, je trouve une place et me stationne à deux pas du sex-shop que j'avais remarqué plus tôt dans la soirée. Je stoppe la voiture, et fais descendre ma salope. Une fois à côté d'elle, je la prends par la main, puis la fais me suivre. J'en profite pour lui préciser :

- Maintenant, tu baisses les yeux, tu dis "bonjour monsieur" ou "bonjour madame" lorsque l'on s'adresse à toi, rien de plus, je ne veux pas t'entendre, c'est compris

- Oui Maître

Nous arrivons devant le sex-shop, j'ouvre la porte et la fais entrer devant moi. D'un rapide coup d'œil, je dénombre deux clients, où se trouve la caisse, et m'y rends, toujours en tenant claudette par la main. Devant le vendeur assis, je demande d'une voix suffisamment forte pour être entendu par les deux autres clients :

- Je cherche, pour cette salope, un plug ou anus-picket, vous avez ça ?

- Oui monsieur, et le vendeur sort de derrière son comptoir pour me montrer un pan de mur où se trouvent une multitude de plugs, du plus petit au plus gros.

Claudette est restée debout devant le comptoir, je l'appelle à moi :

- Viens voir, c'est pour ton cul après tout.

Toute rouge, elle vient se placer à côté de moi, les yeux rivés au sol.

J'imagine facilement le trouble qu'elle doit ressentir, je m'en assurerai tout à l'heure, pour le moment, très consciencieusement, je choisis un plug, ni trop gros ni trop petit pour ma soumise. Lorsque je jette mon dévolu sur un modèle, je le décroche du mur, le montre à ma salope en lui disant :

- Celui-là, il te convient ?

- Oui Maître dit claudette d'une voix étouffée qui trahit le trouble qu'elle est en train de vivre.

- Parfait !

De toutes façons, c'est le plug que j'avais choisis, qu'il lui plaise ou non, peu importe, j'ai dans l'idée de la plugger pour aller dîner au restaurant, et quand j'ai une idée en tête... Je retourne au comptoir avec l'objet, le pose devant le vendeur, puis demande encore :

- Et comme lubrifiant, qu'avez-vous ?

L'homme semble, lui aussi, un peu gêné, mais en professionnel, il me montre deux types de lubrifiant, j'en choisi un en tube. Je sors deux cents francs, les pose sur le comptoir, prends le petit sachet refermant le plug et son lubrifiant, puis tends le sachet à claudette.

Elle s'empare du sachet tout en gardant les yeux fixés au sol.

En prenant ma salope par la main, je ressors en saluant tout le monde d'une voix forte. Nous n'avons pas encore fait dix mètres que je dis à ma salope :

- Avec ce plug, on va t'ouvrir ton cul de chienne...

Son silence en dit long sur son état d'esprit, elle doit être heureuse d'être ressortie de la boutique, mais doit aussi me maudire quelque part, et c'est tant mieux.

Tout en marchant d'un pas tranquille en tenant ma salope par la main, je cherche du regard un endroit discret pour mettre en place l'outil que je viens de me procurer. Au coin de la rue, très près du parking où je suis garé, j'aperçois l'entrée d'un immeuble de deux étages. La porte ouverte donne sur un long couloir sans éclairage.

- Viens par ici, et j'entraîne claudette derrière moi par la main.

Nous entrons dans le couloir, il faut quelques secondes pour que mes yeux s'habituent un peu à l'obscurité, puis je vais au fond du couloir, juste devant l'escalier qui monte aux étages. Là, je retourne claudette de manière à ce qu'elle puisse voir dehors.

- Parfait, penche-toi bien en avant et remonte ta jupe salope.

Ma soumise se plie en avant et remonte sa jupe comme une bonne chienne bien dressée.

J'écarte ses fesses, lui flatte l'anus, puis dis d'une voix suffisamment forte pour que quelqu'un puisse nous entendre de l'extérieur :

- Passe-moi le lubrifiant.

Sans rien dire, claudette me passe le produit, je l'ouvre, fais sauter la protection en mettant le bouchon à l'envers, m'en enduis les doigts de la main droite. Je commence à lui lubrifier l'anus, introduit un doigt, puis deux, et trois ensuite. Puis, je lui ordonne :

- Donne-moi le plug maintenant.

Toujours penchée en avant, ma soumise sort le plug et me le donne d'une main, tremblant quelque peu.

Je sors l'outil de son emballage, non sans quelques difficultés, car j'ai les doigts glissants. Je lubrifie l'objet sur toute la surface qui devra être dans le cul de ma salope, puis l'applique sur la rondelle anale.

Claudette fait un bond en avant quand l'anus-picket entre dans ses entrailles. Bien qu'il soit correctement lubrifié, il doit pousser les chairs et détendre le sphincter. Puis, elle ajoute d'une petite voix plaintive :

- Ça fait mal !

Pour toute consolation, je donne une grande claque sonore sur la fesse droite de ma salope, elle rut à nouveau en avant, je l'attrape par les hanches, la ramène à moi et ordonne encore :

- Bouge pas espèce de chienne, je t'ai prévenue que tu serais punie, tu n'as pas voulu me renvoyer le questionnaire que je t'ai fait parvenir, donc tu es punie, et cesse de te plaindre, même si ça t'éclate le cul, fallait y penser plus tôt.

Je passe une main sur son ventre pour qu'elle ne puisse plus se sauver en avant et je positionne le plug sur la rosette. J'enfonce le plug en le tenant fermement par sa base. Pour les deux premiers tiers, il ne pose pas de problème. Comme l'engin est conique, j'arrive maintenant à la partie la plus large.

À nouveau ma soumise se rebelle, elle essaye d'avancer encore une fois mais je la retiens, elle gémit, puis dit d'une voix plaintive :

- Aïe ! ça fait mal !

Je ne tiens pas compte de sa remarque et enfonce, en appuyant fermement sur la base du plug, l'engin dans son cul. Mais la première tentative ne fonctionne pas aussi bien que je l'espérais, le plug ressort, aider aussi par les mouvements de ma salope. J'appuie donc à nouveau sur le plug, l'enfonce en retenant cette fois ma soumise pour éviter toute déconvenue, lui écarte les fesses avec le pouce et le majeur, pousse encore avec l'index sur le plug. Quand j'estime que l'engin est parfaitement en place, je relâche les fesses pour que la base de caoutchouc soit bien coincée par celles-ci et que le plug, soit, cette fois-ci, correctement en place.

Claudette gémit toujours. Lorsque l'outil a été implanté correctement, elle s'est encore plainte, mais comme ses plaintes ne reçurent aucun échos et que l'opération est maintenant terminée, elle préfère rester penchée en avant sans bouger.

- Parfait salope, nous allons pouvoir aller faire un tour à pied maintenant. Je lui assène une grande claque sur la fesse droite en lui ordonnant :

- Debout, on y va.

Claudette se redresse et commence à sortir du couloir sombre.

En passant devant les boites aux lettres, je me saisis de petits journaux gratuits et m'essuie les mains avec.

Nous sortons de l'immeuble, je prends la main de ma soumise, et nous faisons quelques pas jusqu'à la voiture. Je lui demande :

- Pas trop gênée pour marcher ?

- Non Maître.

J'ouvre la portière côté passager. Je fais monter ma soumise et en profite pour lui dire encore :

- Maintenant, tu vas t'asseoir avec un plug!

Et effectivement, lorsque ma soumise s'installe sur le siège, elle fait une drôle de grimace. Elle se reprend à plusieurs fois pour se caler le plus confortablement possible sur le siège.

Avant de refermer la portière, j'ordonne encore :

- Relève ta jupe que l'on puisse voir ta moule de salope.

Je monte en voiture, démarre et nous repartons, j'ai dans l'idée d'aller dîner dans une brasserie qui est toute proche de la préfecture. Nous passons devant la brasserie "au buro" et cherchons une place pour stationner. Je me gare dans une des rues du centre, nous descendons de voiture, je prends claudette par la main et nous commençons à marcher. Nous empruntons une petite ruelle commerçante. A la moitié de la rue, il y a une entrée de garage, j'entraîne ma soumise vers la lourde porte automatique, et lui ordonne :

- Penche-toi en avant, relève ta jupe, je veux faire une photo de ton cul pluggé.

Sans résistance, ma soumise se penche en avant, passe son imperméable sur le côté, remonte sa jupe et m'exhibe son cul.

- Écarte tes fesses en grand que je vois bien le plug salope.

Elle prend ses fesses à pleines mains et les écarte.

Cette position obscène me ravie, je sorts mon appareil jetable que j'ai acheté l'après-midi même et prends deux photos au flash.

Un bruit de pas épouvante alors claudette, elle commence à se redresser et à laisser retomber son manteau.

- Pas de ça !, tu te retournes, tu remontes ton polo et tu me montres tes nichons de salope !

Bien que des gens passent devant la pente de l'entrée du garage, ma salope s'exécute. De toutes manières, comme nous sommes en contrebas, et dans l'ombre de surcroît, il est pensable que les gens ne puissent pas vraiment voir grand-chose.

Je prends encore quelques clichés sous différents angles, puis lui ordonne :

- Laisse ta jupe relevée et viens avec moi.

Claudette vient me donner la main et nous remontons ainsi, ma soumise avec sa chatte à l'air, ses seins bien en évidence entre les pans de son imperméable et sous son polo roulé jusqu'au cou. Une fois dans la rue, elle s'aperçoit qu'un commerçant est encore dans sa boutique et elle a peur.

Je ne lui laisse pas le choix, je la tiens fermement et nous reprenons notre marche dans cette ruelle. Je l'autorise, quelques pas plus loin, comme nous traversons une grande artère, à laisser son imperméable la cacher. Nous traversons le boulevard.

A quelques pas de la brasserie, elle me demande d'une voix apeurée :

- Je peux me rhabiller maintenant, s'il vous plaît Maître ?

- Oui, remets-toi un peu en ordre.

- Mais pas ici, pas dans la rue !

- Bien-sur que si, tu remets de l'ordre dans ta tenue, mais ici, dans la rue.

Pendant que claudette se rhabille, deux voitures passent à notre hauteur. Je sens chez ma soumise cette appréhension, ce doute, cette peur d'être vue et reconnue.

Le repas se passe tranquillement, les autres clients ne nous portent aucune attention particulière, et je ne croise le regard de personne me paraissant assez fun pour faire quoi que ce soit avec ma salope.

Au bout d'une bonne heure, nous ressortons de la brasserie, j'y ai appris une bien mauvaise nouvelle, celle du départ de claudette pour aller chercher son fils. Je décide donc de la ramener à sa voiture. Lorsque nous sommes à nouveau sur le parking de la cité judiciaire, je lui ordonne encore :

- mets tes nichons à l'air.

Sans mot dire, claudette exécute l'ordre en relevant une fois de plus son polo.

- Parfait, ta chatte maintenant.

À nouveau, ma soumise s'arque-boute sur le siège de ma voiture et remonte sa jupette.

Une fois la chatte de ma salope bien à l'air, j'en profite pour lui caresser le clitoris.

Elle râle de plaisir, que l'on s'occupe de son petit bouton d'amour la met dans tous ses états.

Tout en lui flattant la chatte et en la faisant ronronner, je commence à lui dire d'une voix détachée :

- Tu ne m'as toujours pas révélé quand tu m'enverras le questionnaire que je t'ai envoyé par émail, ça mérite une petite punition.

Et, tout en la laissant à son plaisir, de ma main gauche, je m'empare de la pince à linge bleue que j'ai toujours près du cendrier de ma voiture. J'écarte ses lèvres et viens fixer la pince sur son clitoris.

- Aie ! un cri de stupeur vient déchirer le calme de l'habitacle.

- Voilà, maintenant, tu vas pouvoir me dire quand tu répondras à mon questionnaire, j'en ai assez d'attendre.

- Dès demain, Maître, je vous le promets, mais enlevez la pince s'il vous plaît, Maître.

Sans répondre, je continue à lui masser la vulve autour du clitoris où est toujours fixée la pince. Cette dernière bouge au rythme de mes caresses, mêlant ainsi une vive douleur au plaisir que ressent ma salope.

- Je vais faire encore quelques photos, ne remues pas.

Je ressors de la voiture et fais encore quelques clichés de ma soumise. Certains à travers le pare-brise, d'autres avec la portière ouverte. Un badaud semble très intéressé par la scène, je fais mine de ne pas l'avoir aperçus, c'est claudette qui me dit d'une voix apeurée :

- Il y a quelqu'un !

- À qui t'adresses-tu donc toi ?

- Il y a quelqu'un, Maître.

- C'est pas grave, tu es une chienne, et à ce titre, tu n'as pas à t'occuper de qui te regarde.

Et, tout en disant cela, je m'approche de la portière ouverte, défais ma braguette, sorts ma queue et lui donne en déclarant encore :

- Suce-moi.

claudette ne se fait pas prier, elle gobe tout de suite ma queue qui n'est pas encore en érection, et commence à me sucer comme elle sait si bien faire.

J'en profite encore pour lui martyriser le téton droit, puis, au bout de quelques instants de ce traitement, je lui dis d'une voix sèche :

- Bon, maintenant, tu rentres chez toi, tu gardes le plug et ne le retireras que demain matin.

Je décroche enfin la pince de son clito, lui arrachant au passage une grimace et un petit cri de chienne blessée, puis l'aide à sortir de la voiture, la jupe toujours relevée, le polo aussi, laissant ses seins bien en évidence.

 









Commentaires

  1. j adore les femmes qui ont un plug avant de les prendre par le petit cul.Je suis un homme de 63 ans pourquoi pas se voir pour un plan cul .Bises

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    1. Michel6/05/2023

      Moi aussi ! Mais plan cul avec qui ? Claudette avait déjà 55 ans environs en 1995...

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  2. Une parfaite soumise pour mise à disposition à des mecs en rut, en sex shop ou cinés pornos

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