06052 Soirée Jean-Pierre et Sylvie
Ce soir, nous sommes attendus chez Jean-Pierre et Sylvie, dans un petit village qui s'appelle Gizeux, à l'ouest de la Touraine.
Ils vivent dans une jolie maison de maître, avec quelques dépendances et une place ronde, avec terre-plein central, juste devant le grand escalier, qui mène à la maison.
Dans l'entrée, un grand escalier en bois emmène à l'étage supérieur. À gauche se situe une grande salle à manger et à droite un salon, où le couple prend ses repas. Et une arrière-cuisine, dont la fenêtre donne sur l'avant de la maison.
Quand nous arrivons, Sylvie est déjà en petite tenue, bas et porte-jarretelles. Dans un coin du canapé jaune, se trouve un bâton magique, c'est-à-dire un vibromasseur fonctionnant sur le secteur.
Très vite, j’ordonne à ma soumise :
- À poils. Tu ne gardes que tes bas et ton porte-jarretelles.
Jean-Pierre fait allonger sa femme sur le canapé. Puis, il enjoint :
- Branle-toi, pour montrer à Nanou, la salope que tu es.
La mémé blonde ne se fait pas prier, on ne dirait pas comme ça, mais Sylvie approche de la soixantaine. La voici donc qui applique la tête du bâton magique, contre sa vulve et met l’appareil en route. Très vite, des gémissements se font entendre.
- Nanou, allonge-toi, tes miches contre les fesses de ta copine.
Ma pétasse obtempère tout de suite, sans faire aucun commentaire.
Voilà les deux salopes qui sont tout du long du canapé, cul contre cul, les guibolles entrecroisées.
Partageuse, la blonde place la tête du bâton magique de manière à en faire aussi profiter ma pétasse.
Le clitoris en contact avec son vibromasseur, Sylvie commence à donner les signes d’un orgasme imminent.
Cela dit, ma grognasse se bricole le clitoris, puisque l’engin n’est en contact, qu’avec sa vulve.
Jean-Pierre en profite alors, pour poser une chaîne, avec des pinces, sur les seins de sa femme et lui fait tenir avec les dents.
Les deux salopes passent une bonne demi-heure à se branler de la sorte. Elles ont orgasmes sur orgasmes.
Quand elles demandent à pouvoir reprendre leur souffle, Jean-Pierre ordonne à Nanou de venir se mettre debout à côté de lui. Là, assis sur un tabouret, il pose les pinces, qu’il vient de décrocher des tétons de sa pute, sur les petites lèvres de ma pétasse. Ensuite, il pose un ensemble de poids, petit à petit, sur la chaîne.
Cette fois, Nanou mouille beaucoup moins, après plusieurs orgasmes, et finalement Jean-Pierre réussit à lui poser jusqu'à un kilo et cent grammes sur les lèvres.
Je prends des photos de toutes ces opérations.
Ensuite, Jean-Pierre passe à sa femme, lui pose jusqu'à un kilogramme et demi.
Moi, une fois de plus, je suis trahi par mon téléphone, qui me sert d'appareil photo, panne de batteries. Et je n'ai pas d’image du reste de la soirée.
Une fois que nos salopes ont les babines bien étirées, Sylvie passe à la cuisine.
Nous dînons tranquillement, les pétasses à poils, côte à côte.
Après le repas, Jean-Pierre sort une canne anglaise et ordonne à sa femme :
- En position, devant la cheminée.
Sylvie se met debout, les mains contre la tablette de la cheminée, les jambes bien écartées.
L’homme corrige son épouse d’une bonne dizaine de coups de canne en travers des fesses, laissant ainsi de bien belles marques rouges.
La blonde est penchée en avant et encaisse bien les coups.
Ensuite, mon complice s’adresse à ma soumise :
- À ton tour, Nanou.
Elle prend, elle aussi, une bonne dizaine de coups de canne et finit en pleur.
C'est bien joué de la part de Jean-Pierre, car à ce moment-là, Sylvie prend Nanou dans ses bras, la cajole, l'embrasse et lui tripote la chatte jusqu'à ce que la grosse ait un orgasme.
J'espérais que ces choses iraient plus loin et que Sylvie emmènerai Nanou, avec elle, dans son lit, pour une vraie expérience de gouine. Mais elle semble très fatiguée. De plus, le lendemain, ils partent de bonne heure, pour la région parisienne. Aussi, nous prenons congés et rentrons à Tours.
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