071003 Petit dîner à la maison

 

J'ai décidé d'inviter Sonia à venir dîner avec nous à la maison. Finalement ça se fait en ce mercredi soir maintenant d'octobre. Le repas se passe classiquement, le seul détail est que S114 est nue pour servir et dîner à nos côtés.

Nous discutons tranquillement d'un peu de tout, puis surtout de sexe et de domination. Si bien qu’avant le fromage, je propose à Sonia qu’elle mette ses jolis seins à l’air.

Sonia ne se fait pas prier longtemps, et pendant que je prépare les bananes flambées, elle passe ses gros seins par-dessus son léger petit pull qui avait déjà un profond décolleté.

Toujours soucieux de nouveauté, je montre à Sonia comment jouer avec une spatule en bois, servant habituellement à la cuisine, sur les nichons de Nanou.

Et comme je suis joueur, je lui propose qu’elle puisse tester elle-même les sensations. Aussi, je lui claque quelques bons petits coups de spatule avant qu’elle n’ait eut le temps de réagir et de se rebiffer.

- Tu exagères ! Je voulais sentir les sensations à donner des coups de spatule à S114 ! Pas à recevoir les coups de spatule !

- Ha ! J’aurais sûrement mal compris… Ha ha ha… Désolé !

- Tu penses !

Et pour me faire pardonner, j’offre ma bite à sucer à Sonia, non sans que Nanou réclame aussi le droit de sucer !

À la fin du repas, après le café, je leur propose de monter dans le bureau qui sert de donjon à l'occasion. Ou dans le donjon qui sert de bureau à l’occasion, allez savoir !

Très vite, mon invitée se retrouve aussi nue que ma pétasse. Je déplie le clic-clac, et y allonge mes deux salopes en chaleur. Ensuite, je vais chercher la "fameuse" brosse à dents électrique, et je la confie à S114, pour qu’elle fasse découvrir les joies de ce merveilleux instrument.

Visiblement, Sonia adore se faire bricoler le clitoris par la brosse.

S114, qui ne se dit absolument pas attirée par les femmes, s’occupe néanmoins très bien de la chatte de sa nouvelle amie.

Je profite de ces moments intimes, entre les deux femmes, pour me déshabiller, tout en ne perdant pas une miette de leurs ébats saphiques.

Puis, comme Sonia m'a dit un jour être attirée par le fist, je commence à m'occuper de notre invitée. Je rentre doucement mes doigts les uns après les autres, tout en câlinant doucement le clito. Elle semble bien apprécier. Quand j’ai toute ma main dans sa chatte, de la main libre, je m’empare de la brosse à dents et vient frictionner délicatement son clitoris avec l’appareil.

S114 remue de plus en plus, de son côté. Serait-elle jalouse de ne pas encore être fistée ? Qu’à cela ne tienne, je pose la brosse à dents et vient m’occuper de la moule de Nanou, tout en gardant ma main gauche dans celle de Sonia.

Malheureusement assez peu de photos, puisqu'il est difficile de faire des photos, quand on a chaque main dans une chatte !

Quand Sonia me demande d’arrêter, bien sûr, après avoir copieusement jouit sur ma main, je retire délicatement ma main gauche de sa chatte. J’y place la brosse à dents, qui vibre à qui mieux mieux, et vient m’occuper complètement de la moule de Nanou, qui couine et devrait bientôt pisser partout. Quelques pichenettes sur le clito, et S114 gueule de toutes ses forces son bonheur, ça va encore me faire de la publicité dans le quartier !

Mes deux gorettes reprennent leur souffle et je propose de faire une petite pause en buvant une petite coupe de champagne.

Puisque nous avons mangé chinois ce soir, je décide de leur faire essayer les baguettes chinoises d'une autre façon. Je prends donc une bonne poignée de baguettes que j’entoure d’un élastique et sur lesquelles j’enfile une capote. Puis, j’ordonne à Nanou :

- Allonge-toi et commence à te branler, salope.

Sans se faire prier, car elle sait ce qui va lui arriver, Nanou s’allonge en travers du lit, et commence à se branler frénétiquement le clitoris.

Je sais que ma soumise est grande ouverte, elle vient de se faire fister, là, elle se branle, donc j’enfonce d’un coup la capote remplie de baguettes. Je commence à lui limer la moule de grands coups, qui vont taper au fond de sa matrice, en lui arrachant à chaque fois un cri de plaisir.

S114 semble énormément apprécié ce genre de choses, comme quoi avec dix mille ans de civilisation les chinois ne sont pas des neuneus, entre les baguettes et le baume du tigre, ils ont eu de l’idée ! Nanou jouit à nouveau en criant son bonheur à plein poumon.

Ne voulant pas que Sonia soit en reste, je viens m’occuper d’elle avec le même outil, et très vite j’ai un résultat similaire de celui de Nanou, mais avec un volume sonore moins important.

Je suis surpris de l’attitude de ma soumise, elle, qui dit à qui veut l’entendre que les femmes ne l’intéressent pas, est là, assise, un verre de champagne à la main, à dévorer des yeux sa nouvelle copine, qui jouit sans vergogne.

Puis, estimant que mes deux salopes doivent commencer à aller plus loin ensemble, j’ordonne à Nanou de jouer avec les baguettes chinoises dans la chatte de Sonia.

Ma salope accepte, à ma grande surprise, sans rechigner, prends en mains la botte de baguettes que j’ai laissée plantée dans la chatte de sa copine.

Cette dernière, elle aussi très loin des amours saphiques, à l’entendre tout du moins, se laisse bricoler la chatte par Nanou et jouit sous les assauts de ces baguettes, dirigées d’une main experte, finalement. Elle se tripote le clito devant cette femme inconnue quelques semaines auparavant.

S114 se débrouille tout de même très bien, pour donner du plaisir à sa nouvelle amie. Elle a ses gros nichons contre la cuisse de Sonia, ce qui ne semble pas la gêner du tout.

Je prends un peu de recul, m’empare de mon appareil photo et prends quelques clichés de mes deux salopes, en train de se gouiner. C'est un spectacle réellement excitant. Et visiblement, les deux salopes en chaleurs deviennent de plus en plus complices !

Je repose mon appareil photo, Sonia vient de jouir, mais mon instinct me dit qu’elle a encore envie de jouir, et qu’elle peut le faire. Je reprends donc la botte de baguettes, la brosse à dents, et astique la chatte dégoulinante de mon invitée avec les baguettes tout en lui fouillant le clitoris à l’aide de la brosse.

Cette fois, ce ne sont plus des miaulements, mais des cris de plaisir, que lâche la belle. Encore une qui me fait de la publicité ! La voisine ne s’en remettra pas !

Et pour faire bonne mesure, maintenant que Sonia atteint son énième orgasme, je lui enfonce dans le vagin la brosse, en plus de la botte de baguettes, brosse toujours en action, à mon avis, ça doit bien lui triturer le « point G ».

Elle est à présent si excitée, qu'elle a envie de ma bite dans sa chatte.

Nanou, de son côté, en profite pour prendre des photos, et finir le champagne tranquillement. D’ailleurs, sur les sept coupes que contient une bouteille, elle en aura, tout de même, éclusé cinq !

Je m’allonge sur le clic-clac, et, bandant comme un salaud, je propose à Sonia de venir s’asseoir sur ma bite raide.

Elle vient se placer à califourchon au-dessus de moi, et, avec une grande dextérité, prends ma queue dans sa chatte, sans s’aider de ses doigts.

J’adore avoir ma bite dans sa chatte ! Sa moule est brûlante, pas serrée, mais très douce. Je m’empare de ses lourdes mamelles et les triture de belle manière, puis, je lui ordonne :

- Branle-toi le clito, ma salope…

Sonia ne se fait pas prier et s’astique le clitoris, en montant et descendant le long de ma queue. Très vite, elle jouit bruyamment et ses orgasmes sont autant de petites décharges électriques, que je ressens sur mon sexe. Elle jouit plusieurs fois.

Je sens qu’elle a encore envie de jouir, aussi, je prolonge la chose, lui ordonne plusieurs fois de bien se branler, lui explique comment je veux que ce soit fait, la traite de grosse salope, de pute, d’enculée (puisque je l’ai rencontré seule un soir à Amiens où, après un bon restaurant, je l’ai enculé devant le son et lumière de la cathédrale, derrière des colonnes, à quelques mètres des spectateurs qui n’avaient d’yeux que pour l’animation, fort intéressante au demeurant).

Pendant ce temps, Nanou prend des photos tout en éclusant son champagne. Voir jouir sa nouvelle copine sur ma pine semble l’agacer un peu, mais, se voulant totalement libérée, elle tente de cacher la chose. Sur les photos, j’aurai ensuite la certitude que son pépère a besoin d’un bon régime tout de même.

Nous faisons une nouvelle pause. Je descends chercher une autre bouteille de champagne et buvons alors une nouvelle coupe (enfin, pour Sonia et moi, puisque Nanou a déjà vidé la première bouteille). Il me vient à l’idée que, pour que ces demoiselles puissent apprécier le divin nectar à sa juste valeur, une petite souffrance sur les lèvres du bas serait la bienvenue. Pour mettre mieux en relief encore, le plaisir que les lèvres du haut ressentent.

L’idée ne parait pas ravir Sonia qui me dit :

- Décidément, je serais soumise, que tu ne t’y prendrais pas autrement !

Puis S114 veut mettre son grain de sel :

- Oui, j’aime bien avoir des pinces sur les lèvres…

Et joignant le geste à la parole, c’est elle qui choisit les pinces en plastique avec le bec articulé, pinces qui serrent vraiment fort.

Je pose une pince noire sur la lèvre droite de S114, et une pince verte sur la même lèvre à Sonia. Je me recule, et prends quelques photos de mes salopes ainsi appareillées.

- Vous vous êtes fait pincer à vouloir du sexe, mes salopes ! Dis-je d’un ton amusé.

Nous reprenons un peu notre souffle en dégustant ce divin breuvage, une petite production à côté de Don Pérignon, avec un rapport qualité prix exceptionnel. Je prends mes salopes en photos ce qui les fait bien rire ! Puis, puisqu’elles rigolent de bon cœur, je leur annonce que je vais leur faire porter une deuxième pince. Alors même que Nanou est en train de demander à Sonia comment elle supporte la première.

- Ça va, elles sont très supportables, en général, j’essaye les petits jouets, que je fais porter à mes soumis, pour savoir au juste s’ils souffrent vraiment ou s’ils simulent.

- Bonne démarche à mon avis, ajoutai-je. Puis, après un court silence : Allez, Miss, viens que je te fasse porter d’autres pinces.

Je prends une pince pour la poser sur la deuxième lèvre, une troisième sur la petite lèvre qui dépasse des grandes, et enfin une quatrième pour le clitoris.

Sonia semble apprécier, sauf la dernière, qui lui mord le clito alors que celui-ci a déjà été bien à la fête, précédemment.

- Bouge-pas que je prenne une photo…

- Oui, mais elle fait mal ta pince, là !

- Faut souffrir pour être belle, comme disait ma grand-mère...

Je prends une photo, et même plusieurs, histoire de faire patienter ma nouvelle salope. À perverse, pervers et demi !

Nanou ne veut pas rester de côté, et elle me réclame bien vite, ensuite, de lui poser, à elle aussi, d’autres pinces. Je vous jure, où va se cacher la perversité des êtres !

Je reprends une pince pour la poser sur la deuxième lèvre de S114, une troisième et une quatrième pour que ses lèvres soient chacune instrumentées de deux pinces. Puis, enfin, la cinquième pour le clitoris.

- Ouille, ouille, ouille… Ça fait mal !

- Une bonne soumise ne se plaint pas ! Donc merci de ne pas couiner pendant que je prends les photos, ça me déconcentre…

Incroyable ! S114 ferme sa grande bouche, elle qui a toujours le clapoir ouvert, à tort et à travers ! Il suffit qu’il y ait une autre salope, pour qu’elle la ferme, pourvus qu’ça dure ! Je prends quelques photos.

Ne voulant pas délivrer mes salopes de leurs pinces, je propose une nouvelle petite pause champagne (pour tout le monde, caviar pour les autres). Je ressers donc Nanou, qui a encore le verre vide, à peine Sonia, qui boit très peu, et mon propre verre.

Visiblement mes salopes sont contentes de la petite soirée. Le fist leur laisse comme une sorte de vide dans le ventre, à ce qu’elles me disent, et les pinces les rappellent à l’ordre, dès qu’elles veulent faire un mouvement trop important.

Nous bavardons tranquillement, puis Sonia, toujours gourmande, décide de me sucer la bite. Bien entendu, flatté de la demande, je me laisse faire, après m’être allongé à nouveau sur le canapé.

Sonia commence alors à me sucer après s’être confortablement installé à mes côtés. Ensuite, elle décide de me mettre un doigt dans le cul ! Cette salope suce divinement. Son petit doigt ne va ni trop loin ni pas assez et c'est un vrai ravissement, cette pipe royale.

Quel pied, à ce rythme-là, et après l’excitation de toute la soirée, je ne peux retenir mon plaisir et jouis bruyamment, dans la jolie bouche de cette gentille chienne en chaleur.

Toute fière, ma salope, me dit alors :

- Tu vois, moi aussi, je suis perverse…

- Je confirme !

Nanou, qui n’a fait que prendre des photos, se sent un peu mise de côté, faut dire aussi, qu’elle commence à avoir un peu de mal à parler, la langue lui colle au palais.

La soirée se termine, il se fait très tard et demain, tout à l’heure, devrait-on dire, il faut aller bosser. Nous allons donc dormir tous les trois, nus, dans le grand lit de la chambre d'amis au deuxième étage.

Le lendemain matin, après avoir bien dormi, je prends à nouveau Sonia, Nanou est déjà descendu pour aller chatter sur son ordinateur.

Une petite douche à trois avant de partir au boulot, je pousse mes deux salopes, qui ne sont pas bi, à se toucher, à se laver, à se caresser. Certes, elles sont encore gauches l’une avec l’autre, mais déjà, elles se touchent. La soirée d’hier a donc bien fait germer un petit "je ne sais quoi" de sexe entre elle. Je devrais pouvoir les faire évoluer, vers des jeux saphiques, bien plus poussés.

Nous sortons ensemble de la maison, Sonia et moi, alors que Nanou est sur le perron. La chatte à l’air, juste habillée d’un chemisier transparent, qui ne cache rien de ses gros nichons, on voit même son tatouage sur le sein gauche.

Les voisins doivent se régaler, mais aussi et surtout fantasmer sur nos soirées, s’ils savaient...
























Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Deuxième rencontre avec claudette la branlette

Première rencontre avec soumise Claudette

Claudette (1995)