Dimanche matin avec Brijou le 20 jnvier 2002

 


Ce dimanche matin, je me lève comme très souvent, vers quatre heures du matin, me fais un café et viens me réveiller tranquillement sur mon ordinateur. La veille, je me suis couché relativement tôt, fâché de surcroît, car ma pétasse avait été odieuse une fois de plus en me reprochant de ne pas vouloir sortir après le dîner alors que nous avions été chez des amis prendre l'apéritif et que j'estimais qu’elle avait déjà bien assez bu pour la soirée. Et moi j’avais bu suffisamment pour avoir des soucis en voiture en cas de contrôle en ville.

Sur le coup de huit heures, je retourne me coucher en entendant Brijou se réveiller à son tour. Je rentre dans la chambre, viens m'allonger sur le lit, et demande d'un ton sibyllin :

- Tu as bien dormi ?

- Oui, et toi, à quelle heure t'es-tu levé ?

- Moi j'ai très mal dormi ! Tu es contente de ta soirée d'hier ?

- Excuse-moi, j'ai pas été sympa hier soir...

- Comme d'hab... Et je me relève, la laissant seule avec ses remords.

Moins d'une heure plus tard, alors que je suis revenu sur mon ordinateur, ma salope finit par se lever. Elle vient me dire bonjour et essaye de m'embrasser.

Je ne bouge pas d'un pouce et continue à m'occuper de ce qui se passe à l'écran comme si j'étais encore seul.

- J'ai été conne hier soir, je le reconnais... Viens boire un café avec moi s'il te plaît...

- Non ! Tu n'as pas été conne, tu as été TRÈS conne, et méchante en plus !

Je sens que ma compagne est très mal à l'aise et qu'elle ne sait plus trop comment faire pour se faire pardonner de ses frasques. J'en profite pour lui dire encore :

- Va me servir un café pétasse... Et, lorsqu'elle sort de la pièce, j'ajoute :

- Et prends ton carnet de punitions...

J'attends cinq bonnes minutes avant de me rendre dans la cuisine. Là je vois avec plaisir que Brijou a été bien obéissante en ayant pris son petit carnet vert sur lequel je note les punitions qu'elle doit recevoir. J'ai mis en place ce petit carnet le mardi précédent, et il y a déjà cinq coups de cravache qui sont notés en guise de punitions pour ce jour d'ouverture du carnet.

Ma pétasse a la tête baissée et fuit mon regard. Pour essayer de changer de conversation, elle commence à dire :

- Ça me gêne d'avoir ce carnet dans mon sac, si jamais il m'arrivait quelque chose, tu te rends compte...

Sans répondre, je m'empare du carnet, note la date du samedi soir, le motif et la punition qui est de cinq coups de cravache à nouveau. En reposant le stylo, je regarde ma pétasse et lui annonce :

- Ça fait déjà dix coups de cravache…

Ma compagne est vraiment très mal à l'aise, elle se lève, fait le tour de la table de la cuisine et vient près de moi pour tenter à nouveau de m'embrasser.

Je reste stoïque et insensible à ses manifestations de douceur. Je bois mon café avec Brijou pendu à mon cou sans me décrisper.

- Viens chéri, on se remet au lit... J'ai envie de toi... Essaye alors ma salope pour m'amadouer.

- Non... Tu ne mérites pas que je sois sympa avec toi après la soirée de merde que tu m'as fait passer hier. Mais on va aller dans la chambre tout de même…

Je prends ma chieuse par la main, et l’entraîne à ma suite dans la chambre à coucher. Nous sommes seuls dans la maison, son fils est parti chez son père.

Elle porte une grosse chemise d’homme, fermée par quelques boutons que je lui ordonne de retirer dès que nous sommes dans la pièce. Là, je la laisse nue devant la grande armoire à glace.

Je ressors pour aller chercher ma cravache dans le bureau et reviens quelques secondes plus tard.

- Tourne-toi, regarde la glace, tu vas compter les coups, que je n’en oublie pas un !

Je m’attendais à ce qu’elle rechigne, qu’elle tente de négocier, voire de se soustraire à la punition. Mais non, elle obéit et attend. Mieux encore, je l’entends me dire tout doucement :

- C'est vrai que je le mérite.

Il y a des fois ! Ça m’a rappelé la fois où, revenant d’un séjour en Espagne pour le boulot, cette salope m’avait fait tellement suer pour le premier de l’an, que finalement, j’étais parti vivre avec Annie. Une grande folle de bites que j’avais déjà partagée avec mes potes et chez qui je rentrais une fois par mois. L’autre retour bimensuel, je le passais avec ma compagne officielle, mais c’était souvent moins fun.

Bref, j’avais quitté ma salope pour une salope plus cochonne et plus gentille. La semaine s’était bien passée avec Annie, je recevais des coups de fils de ma pétasse, tantôt pour me traiter de tous les noms, tantôt pour me supplier de revenir, les névrosées, je vous jure !

Finalement, j’avais accepté de la revoir, chez elle, le vendredi midi, pour "discuter". Mais j’y avais mis une condition, c’était qu’elle reçoive, dès mon arrivée, une punition consistant en dix coups de ceinture sur le cul.

Me disant qu’elle allait se rebiffer et faire sa fière, je pensais qu’elle allait refuser et que j’allais être tranquille à l’avenir. Mais déjà là, j’avais entendu sa petite voix me dire :

- C'est vrai que je le mérite.

Et donc, un vendredi midi, je me rends chez elle, elle m’attend en pantalon de toile, chemisier et veste blanche. Elle est sortie un peu plus tôt de son bureau pour être sûre d’être à l’heure pour le rendez-vous.

Dès mon entrée elle veut m’embrasser, mais je la repousse, en lui disant :

- Commençons par le commencement, tu connais mes conditions.

- Oui, une fessée...

- Cul nu, et avec la ceinture.

- Pas fort, s'il te plaît mon Chéri.

Je n’écoute rien, la prends par la main et l’emmène au milieu du grand salon, devant la porte-fenêtre. La porte-fenêtre ouvre sur le balcon qui donne sur le jardin. Mais en guise de jardin, c'est une partie de l’ancien arboretum du château de Joué Lès Tours. Et les voisins sont loin et ne peuvent voir chez elle.

Une fois qu’elle est bien au milieu de la pièce, à un mètre de la porte-fenêtre, je la lâche et défais prestement son pantalon. Je le fais glisser sur ses jambes jusqu’aux chevilles, fais de même avec sa culotte blanche en dentelle, puis la pousse à s’agenouiller tout en lui ordonnant :

- À quatre pattes.

La femme obéit et se retrouve à genoux sur le parquet.

Je défais ma ceinture, prends ferment en main la boucle, trois tours de cuir autour de ma main et laisse une bonne quarantaine de centimètres dépasser. Je lève une première fois mon bras vengeur et abats lourdement le cuir tiède sur le cul blanc de ma connasse.

Elle pleure instantanément, puis balbutie :

- Pardon, je ne serai plus aussi chiante.

Le deuxième coup est largement plus fort et zèbre le cul blanc de rouge. Là, je commence à compter.

Ma salope pleure, mais reste bien en place et ne tente pas de se soustraire à sa punition.

Comme grisé par ce moment si particulier, je me laisse aller à ma haine et la frappe de bon cœur. Le dernier et dixième coup est encore plus pervers, car là, je frappe dans le sens du corps, entre les cuisses, sur la chatte, le bout de la ceinture allant claquer le clitoris.

Brijou hurle et s’écroule en tremblant.

- Voilà, tu as ce que je t’ai promis, maintenant que voulais-tu me dire ?

J’aide la salope à se relever et l’entraîne à ma suite dans le canapé, la chatte à l’air, le pantalon sur les chevilles. Je m’assieds et la fais se mettre à genoux devant moi.

Quel souvenir excitant ! Cette pétasse semble tout faire pour avoir une punition, à chaque fois c'est pareil, elle a une punition, reste gentille pendant un mois, puis recommence à faire ses caprices, en allant crescendo, jusqu’à ce que ça déborde, et qu’elle soit, à nouveau, punie.

Voilà que ce souvenir m’ait revenu à l’esprit. Et, alors que je suis un peu perdu dans mes pensées, ma compagne reste debout à attendre, frissonnant légèrement. Puis, je me reprends et ordonne encore :

- Les yeux fermés, nichons contre la glace.

- Mais ? C'est' froid !

Comme ça ne va pas assez vite à mon goût, je plaque ma main dans son dos et la pousse jusqu’à ce qu’elle écrase ses mamelles sur la glace, qui porte bien son nom, froide.

Je me recule d’un pas et donne un grand coup de cette cravache qui est dure comme une badine, sur son cul. Elle fait instantanément une marque profonde, qui rougit tout de suite.

En se cabrant, la femme ne fait que de frotter, en plus, ses nichons mous, qui commençaient à coller, sur la glace.

- AIE ! Ça fait mal !

- Ça te fera réfléchir, lors de la prochaine soirée.

- Oui ! Mais ça fait mal !

- Je sais, arrête de te plaindre et compte.



J’administre les coups suivants sans prêter la moindre attention aux suppliques et autres grognements de ma pétasse. J’avoue que j’y suis allé de bon cœur. Quand j’ai fini ma série de coups de cravache, je l’attrape par l‘épaule, la retourne et la bascule par-dessus le pied du lit métallique, ouvre mon peignoir et lui colle ma queue déjà en érection directement dans l’anus.

Il ne faut pas beaucoup de temps, à la grognasse, pour qu’elle jouisse.



 

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