Les crayons le 9 décembre 2000
Samedi soir, nous avons été dîné chez la collègue de Brijou, bonne soirée, nous sommes sortis ensemble en boîte. Bien sûr, comme souvent, je n'ai pas pu m'empêcher de danser un slow en remontant très haut la jupe de Brijou dans le club, pour l'exhiber un peu. Je sais que c'est le genre de jeu qui met ma copine dans tous ses états et j'en use dès que j'en ai l'occasion.
Nous sommes rentrés vers les cinq heures du matin, Ma salope était encore particulièrement excitée. Elle a filé dans la chambre pour retirer sa jupe et son chemisier. Elle est restée avec son porte-jarretelles et ses bas noirs et opaques que nous avions acheté la veille.
Très vite, je me suis déshabillé, j'ai attrapé le bras gauche de ma compagne, qui faisait semblant de vouloir dormir et l'ai tirée à moi. Je l'ai embrassé fougueusement, puis l'ai allongée sur le lit, mais la tête aux pieds. Là, je lui ai écarté les cuisses et ai plongé ma tête entre. J'ai commencé à lécher cette petite chatte sans poils.
Ma compagne gémissait sous les allés et venues de ma langue sur son clitoris. Son petit bouton d'amour était durci par l'excitation et sa chatte dégoulinait de cyprine tiède. Elle se malaxait les seins sans retenue, jouant avec ses tétons de temps à autre.
Je lui ai léché sa chatte rasée et son petit œillet brun pendant de longues minutes. J'étais excité de plus en plus, autant par les caresses que je prodiguais que par les râles de bonheur qu'elle exprimait.
Ensuite je me suis dit qu'il était temps pour moi de passer à un autre jeu, jeu plus subtil dont j'avais déjà parlé à ma salope, en termes voilés, en lui envoyant un texte nommé "premiers liens" (nouvelle que j’avais écrite des années auparavant), par émail, à son travail, en lui faisant croire, bien sûr, que j'avais trouvé ce texte sur un site spécialisé.
Prétextant que j'allais chercher mon caméscope pour la filmer, je suis partie dans la pièce d'à côté, ai pris effectivement le caméscope, mais aussi le sachet de crayons de couleur que je réservais pour ce type de soirée, ainsi qu'un préservatif et du lubrifiant.
Pendant tout ce temps-là, cette petite salope n'a pas arrêté de s'astiquer le bouton avec frénésie, d'ailleurs de temps à autre, tout en faisant mes préparatifs, je lui demandais de continuer à se branler et de me dire qu'elle était ma salope ou ma pute, en fonction de l'inspiration du moment.
En revenant près du lit où était toujours allongée la belle, je lui ai ordonné :
- Lève tes jambes, salope.
Elle a relevé ses jambes dans une posture des plus obscènes tout en continuant à se branler comme une folle de bites. Elle était totalement prise par sa masturbation et attentive qu’à son propre plaisir.
J'ai commencé par ouvrir la pochette de crayon de couleur, puis le préservatif. J’ai sorti cinq crayons que j'ai placés dans le préservatif. Puis, d'une main très sûre, j'ai ouvert la petite pochette de lubrifiant et j'ai enduit l'anus de ma salope avec le liquide gras et épais.
Dans sa posture, Brijou ne pouvait pas voir ce que je préparais, elle continuait à s'astiquer le clitoris quand elle a senti le liquide gras sur son sphincter. Lorsque mon doigt est entré dans le cul, elle a serré son orifice comme pour me repousser, mais très vite ensuite, elle s'est décontractée pour laisser entrer ce doigt malicieux.
Quand j'ai estimé avoir bien enduit le trou du cul de lubrifiant, autant à l'entrée qu'à l'intérieur, j'ai placé la capote renfermant les cinq crayons devant l'anus, puis d'un geste lent, je l'ai enfoncé doucement.
Brijou n'arrêtait pas de gémir. Elle adore que je m'occupe de son trou du cul, car elle est très anale, et là, contrairement à une sodomie classique, elle avait une introduction des plus lentes qui lui procurait, visiblement, un bonheur inouï.
Quand j'ai eu fini de lui rentrer la capote comme je le désirais, c’est-à-dire à la moitié de longueur des crayons, je pris un autre crayon que je glissais entre les crayons déjà présents, mais toujours de façon lente.
Ma salope redoublait la manœuvre de son doigt sur son clito, bientôt, elle commença à crier son plaisir.
- Qui es-tu ? demandais-je alors d'une voix sèche.
- Je suis ta salope, me répondit la belle.
- Mais encore ?
- Je suis ta pute.
Content d'entendre ces mots qui me plaisent toujours autant, je continuais d'ajouter, un par un, des crayons dans le préservatif. Lorsque j'arrivais à dix crayons, je demandais encore :
- T'aimes ça salope, hein ?
- Oui, je suis ta salope, me répondit-elle encore.
-T'adore ça que je t'ouvre ton cul de pute, hein ?
- Ho oui, finit-elle par dire dans un souffle après quelques secondes de silence.
Je continuais donc à entrer d'autres crayons dans le préservatif jusqu'à mettre les dix-huit que je possédais alors. Bientôt tous les crayons furent en place dans le cul de salope de ma chienne en chaleur, je me reculais un peu pour admirer mon œuvre, puis dis encore :
- Tu as le cul bien ouvert maintenant, t'aimes ça te faire défoncer ton cul de pute, hein ma salope...
Brijou ne répondait que par des gémissements, elle se branlait toujours avec frénésie et mouillait comme une folle. Le délicieux bruit que faisaient ses doigts au contact de sa vulve dégoulinante, me ravissait au plus haut point. J'ai donc eu l'idée de prendre le caméscope et de filmer la scène.
- Demain, je vais encore me branler en regardant ma pute avec des crayons dans son cul, dis-je alors.
Comme ma compagne ne répondait toujours pas, trop occupée qu'elle était, à se masturber, je lui donnais une claque sonore sur sa fesse et continuais à filmer.
Comme si de voir son cul rempli par les crayons ne suffisait pas, j'eus l'idée de prendre le god que nous possédons et que je garde, toujours, à portée de lit.
Je délaissais donc un moment le caméscope pour ouvrir la corbeille à linge près du lit dans laquelle nous laissons le godemichet et les boules de geishas. Une fois pris le jouet, sans autre forme de procès, je l'ai introduit dans la chatte dégoulinant de cyprine de la femelle, toujours en douceur. Quand le god a été bien au fond de la chatte de Brijou, j'ai dit :
- Voilà, tu as tes deux trous de pute remplis maintenant, tu es contente ?
- Oui, j'aime ça, répondit simplement la belle en s'astiquant encore plus frénétiquement son clito.
Pendant près d'une heure je lui ai massé la chatte avec le god et le cul avec les crayons. Brijou a joui plusieurs fois dans des râles de bonheurs qui me faisaient bander de plus en plus.
A certains moments je venais présenter ma bite à sa bouche pour me faire sucer un peu, et quand je voyais qu'elle commençait à avoir envie d'encore plus avec ma bite, je me retirais et revenais sur le lit pour continuer à lui bourrer ses trous. parfois je filmais, puis arrêtais pour revenir à ma salope.
Au bout de ce temps, j'eus envie de l'enculer, aussi, je sortis les crayons de son cul et ordonnais :
- Mets-toi à quatre pattes que je te défonce ton cul à grands coups de bite, salope.
Toujours avec le jouet dans la chatte, la belle s'est retournée et s'est installée comme je venais de lui demander de faire.
J'ai filmé ce retournement lent, mais combien excitant, puis j'ai posé le caméscope sur la table de chevet, suis venu me placer à genoux derrière elle. Là, j'ai commencé par lui mettre un doigt dans le cul, c'était assez marrant de voir le sphincter encore ouvert, qui se resserrait sur mon doigt pour s'ouvrir encore ensuite. Puis, j'ai pris ma queue dans ma main droite, et l'ai amenée sur la rondelle brunâtre qui continuait à s'ouvrir et à se fermer doucement. J'ai ensuite commencé à faire entrer ma queue dans son anus.
Brijou a crié quand je suis entré en elle. Bien sûr, elle attendait, elle aussi, ce moment-là, mais elle ne put s'empêcher de crier et de se mettre un doigt dans la fente.
- T'es vraiment une belle enculée, dis-je alors à ma chienne en chaleur.
Puis je ressortis ma bite. Je vérifiais, d'un œil expert, que le trou du cul se refermait doucement, et, quand il fut suffisamment refermé, je réintroduisis ma queue d'un coup sec.
Ma salope se remit à gueuler comme une truie.
Je jouais maintenant à faire entrer ma bite pour aller le plus loin possible dans les boyaux de ma salope, puis de la ressortir. Au bout de quelques minutes, alors que j'avais laissé ma queue au-dehors un peu plus longtemps que les autres fois, j'entendis un bruit de pet et j'en profitais pour dire :
- Ensuite comme ça, tu ne pètes pas toi !
Elle n'a rien répondu, mais je sentais à ses mouvements qu'elle commençait à être mal à l'aise et honteuse de ses pets.
J'ai donc repris mes introductions successives. À chaque fois que je rentrais ma bite dans son cul, je gonflais, encore un peu plus, ses boyaux d'air. Quand je sentis que le moment était venu, je me suis retiré une dernière fois, puis placé sur le côté pour prendre le god, en introduisant l’objet, j'ai encore dit à ma pute :
- Ça va te faire péter comme une truie...
Là j'ai astiqué la chatte de ma salope de façon énergique jusqu'à ce qu'elle crie encore plus fort et qu'elle ne puisse plus se retenir de péter.
- Tu vois que tu pètes, salope, lui dis-je encore vicieusement.
Brijou braillait, je ne sais pas ce qui l'excitait le plus, d'avoir la chatte ramonée vigoureusement, ou d'être en train de péter par son orifice anal qui n'arrêtait pas de s'ouvrir et de se fermer tout seul.
Bientôt je n'en puis plus, j'ai laissé le jouet dans la chatte, bien planté, puis j'ai remis ma queue dans le cul de ma salope et lui ai limé les entrailles comme un démon.
Brijou a encore joui plusieurs fois en criant et en réclamant que je jouisse moi aussi. Mais la soirée avait été trop excitante et je m'étais retenu trop longtemps pour pouvoir finir. Aussi, nous sommes nous écroulés tous les deux pour reprendre le souffle qui nous faisait cruellement défaut.
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