Récit du vendredi 3 novembre 2000

Ce soir-là, nous n'avions pas les enfants ni de sortie de prévue. brijou avait envie d'aller dîner dehors, mais nous avions du mal à nous mettre d'accord sur le type de restaurant. Finalement, nous sommes allés acheter des huîtres et avons dîné tranquillement chez nous. L'apéritif, les huîtres, les vins, tout était très bien.

Nous avons pris un café, puis deux, puis trois, puis un verre en se disant qu'on irait bien tout de même en ville. Ce faisant, j'avais entrepris la belle Brijou et je commençais sérieusement à l'agacer avec mes caresses de plus en plus précises. Mais à chaque fois que la belle essayait d'aller plus loin, je trouvais une excuse pour me lever et aller tantôt dans la cuisine, tantôt dans la salle de bain, etc.

Ce petit manège n'a pas tardé à mettre Brijou dans un état de frustration, puis d'énervement. Une parole acide, puis une autre, je laissais ma compagne s'enliser dans sa frustration. Bientôt, prétextant une parole blessante à mon égard, j'en vins à la prendre et à la lever du sofa pour lui donner une bonne claque sur les fesses à travers la jupe qu'elle portait.

Brijou, dans l'état où je l'avais mise, se débattait tout de même plus qu'à l'accoutumée. Quand j'ai estimé qu'elle en avait assez, je lui ai dit :

- Tu aimes ça, avoir le cul en feu et tout rouge, hein salope ?

Et pour qu'elle se rende encore mieux compte de ce que je lui avais fait, je suis parti chercher le caméscope. En revenant dans le salon avec l'appareil, j'ai fait mettre Brijou à genou sur un fauteuil et ai relevé sa jupe le plus haut possible pour la filmer. Tout en tournant à côté d'elle, je lui disais qu'elle m'excitait dans cette position.

Je lui ai ordonné de me faire voir ses gros nichons en lui disant, sans cesse, qu'elle était une grosse salope. Je dois avouer que j'adore lui parler crûment quand nous sommes bien partis tous les deux. C'est donc en l'injuriant que je l'ai forcée à s'exhiber sous l'œil complice de notre caméscope.

Très vite j'ai défait ma braguette et lui ai donné ma queue à sucer. Il faut dire que Brijou suce divinement bien, elle prit donc ma bite dans sa bouche et la happa sans coup férir. Sa langue jouait sur mon membre durci.

J'essayais de la filmer en mettant l'appareil sur le côté, mais les prises de vue ne donnent pas grand-chose. Puis, sans crier gare, je lui ai retiré de la bouche, ma queue et je me suis placé devant elle. Je la regardais un instant puis lui pris le menton et je l'ai tiré vers moi pour l'embrasser.

Je lui ai alors ordonné de se mettre à quatre pattes sur le fauteuil et de bien relever son petit cul. J'avais une furieuse envi de lui mettre ma bite dans son petit trou du cul. J'ai donc enduit mes doigts de salive, lui ai badigeonné son œillet de salive et lui ai introduit directement mon vit dans l'anus. Dans une excitation folle, je lui ai dit :

- Elle est où ma bite là ?

- Dans mon cul, répondit-elle dans un souffle.

- T'aimes l'avoir dans le cul, hein ma salope ?

Elle avait bien du mal à répondre en fait, trop occupée qu'elle était à son plaisir de se faire sodomiser. J'ai alors décidé de changer de fauteuil, celui sur lequel nous étions, est assez étroit, et Brijou ne pouvait pas écarter trop les cuisses. Et comme je sais qu'elle adore se faire prendre cuisses serrées, et que dans cette configuration, elle mène le jeu, Je ne voulais pas être sous son pouvoir.

Je l'ai donc installé, toujours à quatre pattes, le dos bien droit, sur l'autre fauteuil, et j'ai réintroduit ma bite dans son anus. Tout en lui limant ses boyaux, je lui disais :

- T'aimes ça te faire enculer, hein ma pute...

Puis, d'un coup, sentant que les grands coups de boutoir allaient avoir raison de moi, je me retirais prestement, en disant encore :

- Je veux voir ton cul, montres le moi, tends le bien.

Toujours munis du caméscope, j'écartais les fesses pour bien voir son trou dilaté. Au bout de quelques secondes, n'y tenant plus, je ne pus m'empêcher de lui fourrer mon majeur dans le trou et de recommencer à lui limer l'oignon avec le doigt tout en m'occupant de couper le scope et de rembobiner la cassette. Quand la cassette fut au début, je lui ai montré son anus que je venais de filmer. Elle avait le cul rougi à l'endroit où les doigts avaient touché sa peau blanche et cela me plaisait beaucoup.

Une idée me traversa la tète, j'avais tout à coup envie de la voir en soumise, et l'idée de la voir avec une pince sur le téton me vint tout naturellement à l'esprit.

Je lui ordonnais donc de rester debout dans la pièce, de fermer les yeux et de se dénuder les seins. Pendant ce temps-là, je partis chercher une pince à linge blanche dans la chambre d'amis où se trouve le petit sèche-linge et les pinces à linge.

En revenant, je fus très content de voir Brijou dans l'état où je voulais qu'elle soit, c’est-à-dire, debout, jupe relevée, seins dénudés, les yeux fermés. Elle attendait là, la suite des évènements, dans un stoïcisme qui me ravisait totalement. Je pris la pince entre le pouce et l'index de la main droite, le sein gauche, le meilleur, celui du cœur, dans ma main gauche en le pressant. Délicatement. Je posais la pince sur le téton érigé.

Je pris un peu de recul et commençais à filmer la scène tranquillement. Une fois trouvé le bon angle pour la prise de vues, j'ai commencé à lui dire :

- Fais-moi un sourire.

Puis, comme elle n'obéissait pas assez vite à mon goût, je poursuivais :

- Tire-le, ton nichon, tire-le bien que ton téton soit bien droit.

Elle a fini par s'exécuter, non sans grimacer, car la pince serrait assez fort, et à tirer jusqu'à ce que la pince finisse par glisser du téton.

Je commençais vraiment à être très excité, voulant me préserver pour la soirée naissante, je décidais donc de faire un petit break. Je coupais le caméscope, et changeais de disque. Puis, nous nous sommes assis tranquillement. Elle le fit, non sans rechigner, comme si ce nouvel exercice lui pesait, hors, je savais qu'il n'en était rien, mais qu'elle aimait être contrainte à ce type de chose pour mieux les apprécier encore. Puis nous nous retrouvâmes à nouveau dans le canapé pour un autre verre.

Sur le coup de vingt-trois heures trente, le téléphone nous sortit de notre quiétude retrouvée. Son amie et collègue, Pascale, nous invitait à venir prendre un pot chez son compagnon Denis, pour sortir ensuite en boîte. Bien sûr, Brijou trouvait qu'elle n'était pas habillée comme elle le souhaitait pour sortir, aussi voulut-elle aller se changer. Comme toutes les femmes ou presque, elle se trouve tantôt trop de ventre, tantôt trop de sein, tantôt trop d'autres choses, la liste est longue. Elle fit donc une grande séance d'essayage dans la salle de bain.

J'ai repris mon caméscope à ce moment et l'ai filmé à nouveau, dans différentes tenues, nue, en train de s'habiller ou de se déshabiller. Le seul interdit que je donnais à Brijou, c'était de ne pas mettre de pantalon, pour le reste, je la laissais choisir.

Elle portait des bas noirs avec un porte-jarretelles de la même couleur qu'elle gardait en permanence quelle que soit la tenue qu'elle essayait. Elle finit par choisir une robe dos nue noire et un petit chemisier par-dessus.

Nous étions sur le point de partir, quand, en faisant le tour de mes poches j'ai retrouvé une pince à linge, j'ai alors repris encore une fois le caméscope et j'ai ordonné à Brijou de la mettre en place sur son sein droit.

Elle baissa son chemisier et sa robe jusqu'à mi- bras. Elle ne portait pas de soutien-gorge et ses seins tombaient légèrement. Elle plaça ensuite la pince sur le téton droit comme je l'avais exigé, et je pus la filmer dans cette posture.

Nous sommes partis peu de temps après, tranquillement, il était environ minuit, les rues étaient désertes, néanmoins je demandais encore à Brijou de relever sa robe dans la voiture pour que je puisse, de temps à autre, voir sa chatte enfermée dans sa culotte brésilienne.

Après quelques verres chez nos amis, nous sommes repartis en boîte, chaque couple dans sa voiture, et sommes arrivés les premiers. En sortant de la voiture, sous la pluie fine, j'ai encore eu envie de Brijou. J'ai commencé par l'embrasser en relevant sa robe sur le trottoir, puis lui ai demandé de me sucer en attendant Pascale et Denis. Elle s'accroupit alors et prit ma bite dans sa petite bouche. Je sentais Brijou totalement excitée. Mais ce petit manège ne put durer trop longtemps, car nos amis arrivaient juste derrière nous et nous sommes donc allés vers le club.

La boîte où nous aimons aller est un ancien club homo. Mais nombreux sont les hétéros qui s'y rendent car il n'y a pas, là, de sectarisme, ni de voyeurisme sur une quelconque communauté. De plus Brijou et pascale adorent la musique de cet endroit.

Je suis resté souvent devant la piste à regarder Brijou danser. Parfois, je discutais avec d'autres amis que nous avons retrouvés là-bas.

Puis, vers la fin de la soirée, je suis venue sur la piste rejoindre Brijou. Là, comme j'aime tant le faire, dès que c'était possible, je la prenais par la taille et lui relevais la robe pour montrer ses bas. Nous avons finis par danser un slow langoureux tous les deux à la fin de la soirée. Là encore j'ai caressé Brijou et j'ai souvent relevé la robe.

Après avoir souhaité une bonne nuit à nos amis, nous sommes repartis tranquillement vers la voiture. Brijou commençait à être sérieusement éméchée et moi assez peu, mais par contre, j'étais terriblement excité et avais encore envi de me faire sucer.

Dès que nous fûmes dans la voiture, j'ai demandé à Brijou de me faire une bonne pipe pendant que je conduisais pour rentrer. Durant tout le retour, elle me suça la queue et dès que j'en avais l'occasion, je lui caressais sa chatte détrempée.

Dès que nous fûmes arrivés à la maison, Brijou est partie se coucher. Moi j'étais trop excité pour aller dormir, et finalement pas si fatigué que cela, aussi, je me suis mis sur mon pc et j'ai repris les séquences que j'avais filmées plus tôt, sur mon ordinateur.

Une bonne heure plus tard, je me suis décidé à aller au lit. Mais là encore, pas moyen de dormir, je me suis mis à caresser ma compagne, mais rien n'y faisait, elle dormait trop profondément semble-t-il. J'en ai alors profité pour me masturber et jouir sur son corps à grosses giclées.










 

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