un lundi de punition le 13 janvier 2003

 

Dimanche 12 janvier 2003, nous passons un dimanche soir tranquillement à la maison. Nous sommes allés déjeuner chez mon père et sommes donc décontractés. Mais déjà, je sens monter chez ma compagne une légère forme d'agressivité, encore rien de bien grave, mais les prémices de cette colère irraisonnée, contre tout et tout le monde.
Après le repas, alors qu’elle commence à être énervée par l'apéritif et le vin, la discussion tourne sur le passé de ma salope, puis elle commence à se plaindre en disant qu'elle ne possède jamais que le minimum de ce qu'elle pourrait avoir.
Voyant la dérive, je tente de recadrer le débat, mais Brijou s'entête et s'enfonce encore plus dans ses lamentations. Très vite, cela devient pesant, entendre une femme assimiler fonctionnaire, avec plein d'avantages, qui se plaint de la sorte est plus fort que moi, je finis par lui dire :
- Bon ! J'en ai vraiment marre de t'entendre te plaindre sans arrêt, si je te laisse parler encore, tu vas finir par me dire que je suis le mec minimum...
Ma salope n'en continue pas moins à se plaindre de façon de plus en plus indécente. Elle finit même par bredouiller, emporter par son éloquence, qu'elle aurait pu avoir un homme plus intéressant !
Faut l’entendre ! Je comprends, qu'une fois de plus, l'alcool vient de prendre le dessus. Je me lève d'un bond, me plante devant elle et la fixe d'un regard dur, puis annonce froidement :
- Eh bien pétasse, tu n'as qu'à trouver mieux puisque tu te vantes tant, moi, je vais me coucher.
Peu de temps après, ma connasse, titubant quelque peu, vient se mettre au lit. Je fais mine de dormir pour ne pas être contraint d'écouter ses arguments fallacieux, puis tombe doucement dans les bras de Morphée.
Le lundi matin, je me lève vers cinq heures, quand elle se lève à sept heures et demie, elle tente de venir m'amadouer, mais je la repousse tout de suite et lui annonce :
- Avec ce que tu m'as dit hier soir, je crois qu'il n'y a rien à ajouter, je prends ma douche et je m'en vais, tu auras tout loisir de te trouver un autre mec, moins... Minimum !
Ma salope bredouille quelques excuses, puis commence à se lamenter et à dire qu'elle ne veut pas que je parte. Elle me demande pardon plusieurs fois, mais, je lui refuse toujours ce pardon en lui expliquant que j'ai l'impression que de la pardonner ne sert à rien, puisqu'elle recommence ses frasques, quelques jours plus tard.
Elle commence à pleurer en me disant qu'elle va faire un gros effort, discourt habituel à mes oreilles, et qu'elle ne sait plus comment s'excuser.
J'en profite pour enfoncer le clou en lui disant :
- Va me chercher ton carnet de punitions...
Ma soumise sort de la cuisine et part chercher son petit carnet vert, dans lequel sont inscrites les punitions qu'elle doit subir et les motifs qui ont conduit à la peine.
J'en profite pour prendre un stylo dans le meuble, puis m'assois à nouveau et attends le retour de ma chienne. Lorsqu'elle revient dans la cuisine, je ne lève pas les yeux et m'empare de son carnet qu'elle tend d'une main hésitante. Je l'ouvre et commence à noter, tout en disant à haute voix ce que j'écris : "Apprentissage du mot MINIMUM, 10 coups de martinet sur les seins".
Ma salope cherche à négocier, car, visiblement, les dix coups de martinet sur les seins ne lui disent rien qui vaille, et elle sait pertinemment que chaque punition est appliquée, tôt ou tard.
Je reste inflexible, pas tant que l'insulte soit grave ou me touche, mais je ne veux pas reproduire l'erreur de la fin d'année où elle n'avait pas été punie et avait récidivé deux jours plus tard. Pour terminer, avant qu'il ne commence vraiment un débat sur ma sentence, je me lève d'un bond, la fixe durement et annonce :
- Tu seras punie ce soir en rentrant du travail ! Maintenant, files te préparer, je ne veux plus te voir, tu es une vilaine fille ! Je sors de la pièce pour aller m'enfermer dans mon bureau.
Un peu avant dix-sept heures, je prépare mon caméscope et l'installe dans la chambre à coucher. Vers dix-sept heures quinze, j'entends la porte du garage s'ouvrir. J'éteins mon ordinateur et attends d'entendre ma salope poser ses vêtements, à ce moment, je sors de mon bureau et je vais chercher Brijou.
Quand elle me voit apparaître, elle a un mouvement de recul, car la suite des évènements doit y être inscrit en filigrane.
Je l'empoigne par le bras, et, tout en la tirant vers la chambre, je lui dis d'un ton dur :
- On a un petit compte à régler tous les deux...
Elle me suit docilement, mais essaye de négocier tout de même. Arrivés devant la chambre, elle me dit :
- Juste un coup alors...
- J'ai dit dix, ce sera dix, et pas un de moins.
Dès que nous sommes dans la chambre, je referme consciencieusement la porte et sors le bandeau que j'ai en poche. Je passe le bandeau sur les yeux de ma soumise qui essaye encore de négocier :
- Juste un coup, s'il te plaît... Sa voix est devenue plaintive.
J'installe Brijou devant la grande armoire, les jambes droites et bien serrées, je lui ordonne ensuite, tout en lui guidant les mains sur les chambranles des portes de part et d'autres de la glace :
- Tiens-toi là et ne bouge plus...
Je lui remonte son pull et son chemisier le plus haut possible sur la poitrine, dégrafe le soutien-gorge et le remonte à son tour. Puis je vais vers mon caméscope et le mets en marche, et reviens tranquillement. Je m'empare du martinet que j'avais préparé et qui est sur le lit, me place sur sa gauche. Maintenant que je suis prêt, j'ordonne :
- Tu compte.
Je donne le premier coup de martinet sur sa poitrine ainsi dénudée.
- Ça fait mal... Mais elle dit ça avec son rire nerveux que je connais bien.
- Tu te tiens !
- Dis hé..
-  Tu te tiens bon sang... Et tu crois que ça ne fait pas mal de se faire traiter de... Mec minimum !
Néanmoins, la douleur a dû être vive, car ma salope vient de bouger et ses vêtements retombent en masquant sa poitrine. Je m'approche à nouveau, remonte les trois morceaux de tissus, puis lui ordonne encore :
- Tiens ça entre les dents.
Cette fois ma salope ne bronche plus, elle prend entre ses dents l'amalgame de tissus et se tait.
- Tiens-toi bien droite.
Je me recule et reprends ma position, je lève le martinet et donne le deuxième coup sans l'appuyer trop.
- Deux, compte Brijou.
Le troisième coup s'abat sur sa poitrine, mais cette fois, il est un peu plus fort que le précédent.
- Trois.
Je prends mon temps pour préparer mon martinet, comme ma salope ne peut rien voir, l'attente, même s'il ne s'agit que de quelques secondes, doit lui paraître bien longue. Je donne le quatrième coup avec encore plus de force que le précédent.
- Ouille... Aie aie aie ! Crie ma soumise entre ses dents, pourtant, elle ne lâche pas les tissus. Puis, elle ajoute, toujours entre ses dents et dans son espèce de rire nerveux : Ça fait mal là...
- Combien ?
- Quatre...
Je recule mon bras à nouveau, tends les lanières avec ma deuxième main, ensuite j’assène le cinquième coup, avec encore plus de force.
- Cinq... Ça fait de plus en plus mal ! Ma salope tient toujours entre ses dents ses vêtements et ses paroles sont comme légèrement étouffées. Puis, elle poursuit : Là t'es pas cool hein !
- Parce que tu as été cool hier soir ?
- Non mais ça fait mal...
- Tu te tiens !
- Chéri, ça fait mal là... Cinq, c'est bien...
- Tu te tiens ! Cette fois, j'ai largement haussé le ton et ma salope finit par se taire.
Je donne le sixième coup avec encore plus de force.
- Haaa... Ça fait vraiment trop mal... Néanmoins, elle a toujours son espèce de rire nerveux et je ne peux pas vraiment savoir si elle s'amuse follement ou si réellement, elle souffre.
- Tu compte...
- Six... C'est bon là !
Je lève à nouveau mon bras et donne le septième coup, celui-ci bien mois violent, mais je vise exactement les tétons.
- Sept... La voix est maintenant traînante, toujours étouffée par les tissus qu’elle mord consciencieusement.
Je recule à nouveau mon bras, tend les lanières, et donne cette fois un terrible coup, toujours en visant précisément les tétons.
Ma soumise aspire bruyamment par sa bouche entrouverte avant de compter le coup. Elle s'affale quelque peu et se recroqueville tout en se tenant toujours à l'armoire.
- Doucement, tiens-toi droite... Et ne fais pas de cinéma.
- Huit... Oh ben t'es mignon toi !
Sans lui laisser le temps de se reprendre j'assène l'avant dernier coup de martinet, en visant cette fois sous les seins, de manière à toucher la peau là où elle est la plus tendre.
- Neuf... c'est fois c'est un cri, et, bien qu'il soit étouffé par le tissus que ma soumise mord toujours très fort, on sent qu'elle commence réellement à souffrir de sa punition. Elle poursuit néanmoins :
- Putain! Heu...
- Et le dernier, tiens-toi bien... Tiens-toi bien droite... Bien droite ! Ordonnais-je encore et j'attends qu'elle prenne la position souhaitée avant de lever pour la dernière fois mon bras vengeur. Puis je donne le dernier coup.
Cette fois ma salope ne compte pas, mais elle aspire à nouveau très bruyamment.
- Et maintenant, qu'est-ce qu'on dit ?
- Qu'est-ce qu'on dit ? répète bêtement ma salope.
- Non ! Tu restes bien droite... Qu'est-ce qu'on dit ? Alors ?
- Je te demande pardon.
- Pardon qui ? Et comme Brijou recommence avec son rire nerveux, je lui demande d'une voix forte :
- Et ça te fait rire en plus ? Pardon qui ?
- Mon Maître... 







 

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