un mardi de punition le 31 décembre 2002

 


Le samedi 28 décembre 2002, Brijou a tenu à m'offrir le restaurant. Nous sommes donc allés manger chinois, puis nous sommes aller prendre un pot dans le vieux Tours. Là, nous rencontrons deux copains avec qui nous finissons par aller en boîte, à la fermeture du bar.

En sortant de boite, comme à son habitude, ma salope est totalement pétée. Elle finit même par se vomir dessus en voiture, ce qui est tout de même assez rare chez ma pétasse.

Dans l'état où elle est, je pense qu'elle va aller se coucher tout de suite et dormir. Mais elle se réveille et ne semble plus saoul du tout, elle commence à m'agresser et à m'insulter. Elle gueule dans la maison et réveille son fils, alors qu'il est près de six heures du matin. Et c'est lorsqu'elle s'écroule par terre dans la salle à manger, totalement nue, dans un grand fracas, qu'elle finit par se calmer un tant soit peu et qu'elle va se coucher.

Énervé par son attitude, je me mets sur mon ordinateur et lui écris un émail virulent auquel je joins quelques photos numériques de ses frasques et que j'envoie sur son adresse à son bureau. Puis je vais me coucher dans la chambre d'amis.

Vers onze heures trente, elle vient me réveiller gentiment, je la reçois très mal en lui racontant ses frasques et décide de la punir en lui faisant porter sa chaîne à seins toute la journée, et ce, malgré que nous recevions sa mère et sa sœur pour le déjeuner.

La journée se passe normalement et le soir, le manque de sommeil de la veille fait que nous nous couchons assez tôt et que je ne corrige pas ma salope, mais c'est une erreur de ma part.

Le lundi, ma pétasse part au travail, panique en lisant l'émail que je lui ai envoyé le dimanche matin de très bonne heure et subit un violent stress en s'imaginant qu'elle ne pourra plus effacer les photos des plus compromettantes qui s'affichent sur son écran.

Le soir, nous faisons tranquillement quelques courses et décidons de nous faire un petit réveillon puisque nous sommes invités pour le lendemain soir dans une cave.

Le repas se passe bien, mais, je ressens très vite, à la pointe d'agressivité dans les discours de ma salope, que les choses risquent d'aller plus loin.

Nous prenons le café dans le salon, puis je vois ma salope se lever pour aller chercher le cognac. Malgré mes remarques, elle ne peut s'empêcher de reprendre plusieurs fois de l'alcool et son discourt devient de plus en plus agressif.

Ne tenant pas à passer une soirée de discutions décousues avec une pochetronne, je me lève et vais me coucher. Mais ma connasse n'en a pas encore assez, elle vient me relancer dans la chambre, tant et si bien que je finis par me lever et aller m'enfermer dans la salle de bain pour éviter de lui taper dessus.

C'est encore une nuit étrange. Ma grognasse hurle dans la maison, mais l'alcool finissant par prendre le dessus, bientôt, elle va s'écrouler dans le lit et se met à ronfler avec puissance.

Bien sûr, la nuit est foutue pour moi. Je m'installe devant mon pc et passe une nuit blanche. Je ne finis par ne trouver le sommeil que vers six heures trente.

Je lève difficilement vers neuf heures trente et me plonge dans la rédaction de mes emails.

Vers midi, j'entends l'ouverture du garage, cinq minutes plus tard, comme si de rien n'était, ma pétasse vient me dire bonjour et s'étonne même de l'accueil des plus froids que je lui accorde. Et comme elle cherche à m'amignonner, je la repousse et passe une bonne demi-heure à lui dire ses quatre vérités.

À la fin, ma pétasse au bord des larmes se confond en excuses, mais je reste intransigeant et finis par lui dire :

- De toute façon, je ne t'ai pas puni pour dimanche matin, et voilà le résultat, tu remets ça, dès lundi soir...

- J'ai vraiment honte de ma conduite...

- Il y a de quoi... Bien, puisque c'est ta punition qui te manque, ce sera dix coups de cravache, et pas des caresses…

Ma salope baisse les yeux et ne me répond pas, puis elle m'invite timidement à passer à table.

Dès le repas terminé, j'annonce d'une voix très décidée :

- Bien, avant que je ne dorme, pour être en forme ce soir, je t'administre ta punition...

Puis, prenant ma pétasse par la main, je l'emmène dans la chambre. Là, je fouille dans le placard pour prendre la cravache tout en lui ordonnant :

- Baisse ton pantalon.

Pendant qu’elle se prépare, je sors de la chambre et vais prendre dans mon bureau ma webcam, qui me permet d'enregistrer des sons et fait office d'appareil numérique. À mon retour, j'ordonne encore :

- Baisse aussi ta culotte et penche-toi en avant sur le fauteuil.

À ce moment, je mets mon enregistreur en route. Puis, je me retourne vers elle et lui commande :

- Allez, maintenant, tu baisses le pantalon... C'est vrai que je ne t'ai pas punie pour dimanche, ça m'apprendra d'être bon...

Ma salope baisse son pantalon doucement, comme cela ne va pas assez vite à mon goût, j'ajoute encore :

- Sur les chevilles, le pantalon !

- Ben j'peux l'enlever...

- Baisse la culotte avec.

Ma salope est très énervée, son petit rire nerveux le confirme. Puis je la prends par la nuque et la contraint à se pencher sur le petit fauteuil de la chambre. Quand elle est dans la position que je souhaite, je précise :

- Dix !

Elle se rebiffe un peu et me dit :

- Je te promets, j'ai pas envi...

- Tu te mets là et tu comptes, coupais-je sèchement.

Le premier coup est assez doux, elle balbutie quelque chose, mais je la reprends tout de suite et lui dis :

- Je n'ai pas entendu !

- Un... Arrêtes...

Le deuxième coup est bien plus sec et fort.

- Deux...

Le troisième coup est, lui aussi, très sec.

- Trois... Tu me fais mal, là !

Le quatrième coup résonne aussi dans la chambre.

- Quatre...

- Cinq... S'il te plaît...

- Chutt... J'entends pas bien !

Je donne le sixième coup de façon plus violente encore.

- Six...

- Plus fort ! plus fort !

Ma salope essaye de se relever, mais, tout de suite, je plaque ma main sur le bas de son dos et lui ordonne encore :

- Ho ! Tu restes comme ça...

Le septième coup, donné avec encore plus de force.

- Ho la vache, ça fait mal là ! J'en peux plus, ça fait mal là

- Sept... Sept ? J'ai pas bien entendu, c'est sept là ?

Je ne tolère pas qu'elle se plaigne et arrête ainsi de compter. Je la contrains donc à continuer de compter. Je donne le huitième coup avec bien moins de force, de même que le neuvième.

- Huit... Neuf...

Je décide de finir par le coup le plus marquant et administre un dixième coup avec toute ma force. Sous le coup, les jambes de ma pétasse fléchissent, mais elle compte tout de même :

- Dix... Ho la vache !

Je laisse passer quelques secondes, puis enchaîne à nouveau :

- Alors tu me traiteras encore de connard ? Je ne lui laisse pas trop le temps de répondre, j'enchaîne en lui demandant : Qu'est-ce qu'on dit ?

- Excuses moi... Pardon...

- Pardon qui ?

- Pardon chéri...

- Tu dis pardon Maître, maintenant !

- Hein ! S'étonne alors Brijou qui, malgré la punition qu'elle vient de subir, est encore trop orgueilleuse, pour me dire Maître

- Pardon Maître... Mon ton donne mon impatience.

- Pardon Maître...

- Plus fort !

- Pardon Maître

- Bien... Maintenant je vais faire une sieste, moi, je n'ai pas dormi cette nuit...

Ma salope reste debout, la culotte au niveau des genoux et le pantalon sur les chevilles pendant que je me déshabille très vite et me couche.





 

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