bien bourrée en boite le vendredi 10 octobre 2003

 


Ce vendredi soir là, j'ai décidé d'emmener Brijou au restaurant chinois, mais, comme il est un peu tôt, nous décidons de nous inviter à prendre l'apéritif chez des amis qui reviennent de la Martinique. Ma salope tourne au ti-punch, toutefois, la soirée se passe bien. Nous sommes invités à dîner chez nos amis. Là encore la soirée se passe bien, ma connasse semble déjà bien allumée mais, elle n'est pas agressive.

Finalement, nous prenons congé vers deux heures du matin et prenons la voiture pour rentrer. Dès qu'elle est installée dans la voiture, ma pétasse demande à aller boire un pot en ville, mais à l'heure qu'il est, les bars ferment et il ne reste plus que les boites pour sortir. Je finis par dire à ma salope :

- Tu me donnes ta culotte et je t'emmène au club 71.

Elle a un petit rire nerveux, mais très vite, elle retire sa culotte en bonne salope obéissante, me la tend en me disant :

- J'ai envie de danser ! C'est incroyable...

Je m'empare de la culotte et la glisse dans ma poche en me disant que ma salope a peut-être envie de danser, mais je la sens plutôt chaude comme la braise, et j'ai surtout l'impression qu'elle a une grosse envie de draguer. Et pour la mettre un peu plus encore en condition, je poursuis :

- Mais attention, qu'on soit bien d'accord, si tu trouves un petit mec qui t'excite, avant de faire quoi que ce soit, tu viens m'en parler, c'est clair pour toi, ça ?

- Oui... Mais t'inquiètes pas, je ne sors pas pour draguer...

Tu penses ! Comme si je ne connaissais pas ma salope, dans l'état où elle est, si elle voit un mec qui lui plaît, elle va se laisser peloter, et comme j'ai sa culotte dans ma poche, elle passera, une fois de plus, pour une grosse salope. Mais je sais aussi que dans cet état-là, elle adore passer pour une grosse salope !

Je conduis la voiture vers le club 71 et trouve une place, juste devant l'entrée, pour me garer. Visiblement, le peu de temps qu'a duré le trajet a suffi pour que ma salope s'endorme. Je coupe le moteur et la secoue en lui disant :

- Tu dors ! Tu veux qu'on rentre ?

- Non ! Ça va ! Dit-elle d'une voix pâteuse.

Je descends de la voiture et viens aider ma pétasse à descendre à son tour. Comme en faisant le tour de la voiture, j'ai aperçu deux jeunes hommes au balcon juste au-dessus et légèrement à gauche de l'entrée de la boîte, je prends bien soins de relever la jupe de ma connasse pour exhiber sa chatte rasée de frais.

Brijou ne s'en soucie pas. Elle se retrouve dans la rue, la chatte et les fesses à l'air, sous le regard des deux hommes, qu'elle ne voit pas pour autant. Je rabats sa jupe et sonne à l'entrée.

Dès que nous sommes installés à une table, le serveur vient nous saluer et nous apporte un fond de bouteille, soi-disant reste de la fois précédente, je pense plutôt à une manière d'amorcer la pompe. Nous buvons notre premier verre, puis je recommande une autre bouteille. La pétasse allumeuse n'a de cesse, que de regarder un jeune arabe d'une petite trentaine d'années, et encore. Bientôt, elle se lève et va danser aux côtés du jeune homme qui semble bien apprécier cette compagnie soudaine.

Je regarde ma salope allumer maladroitement le jeune homme en dansant d'un pas peu assuré, et l'homme venir au contact de cette vieille chienne en chaleur. Les mains frôlent les corps, puis bientôt, ce sont les corps qui se frôlent, puis finissent par entrer totalement en contact. Un peu plus tard, je vois ma connasse parler à l'homme, visiblement, elle veut l'inviter à prendre un pot à notre table. J'en profite alors pour me lever et aller aux toilettes discrètement.

En sortant des toilettes, je reste au fond de la boîte et scrute attentivement ce qui se passe à notre table. Le jeune homme est assis tout près de la vieille en chaleur, déjà une main sur la cuisse d'ailleurs, et elle est en train de servir deux verres. Je suis interpellé par Anita, une femme qui me fait toujours des compliments sur Brijou et qui est déjà venue prendre un café à la maison, en sortant, justement, d'ici. Nous discutons, je lui explique et lui montre le manège de l’allumeuse avec l'arabe qui a maintenant sa main totalement sous la jupe de la salope. Anita finie par dire d'une voix plaintive :

- Que c'est dommage que Brijou ne soit pas lesbienne...

- Il faudrait qu'une de ces amies lui fasse découvrir ces joies-là, à mon avis...

- J'ai déjà essayé, mais elle dit que cela ne la branche pas !

- Tu sais Anita, Brijou est compliquée. Si tu l'écoutes, elle n'aime pas ceci, pas cela, mais dès que tu la forces un peu, tu lui donnes une excuse pour qu'elle se laisse aller, et là, elle est prête à tout...

- Je ne sais pas, elle m'avait repoussé de façon très directe la dernière fois.

- Retente ta chance au besoin... Tiens, regarde ma salope qui se fait bricoler la chatte devant tout le monde en boîte... Et je te promets qu'elle n'a pas de culotte, puisque je l'ai dans la poche !

Je sors la culotte de ma poche et la montre à Anita, qui elle, regarde attentivement ce qui se passe à ma table entre l'arabe et ma pétasse. Celle-ci se laisse tranquillement embrasser, alors que l'homme explore son intimité d'une main frénétique. Anita me questionne encore :

- Mais tu la laisses embrasser n'importe qui, comme ça !

- Tu sais, sous ses airs de nana MLF moderne, qui assume, Brijou est une vieille salope en chaleur, qui cherche des excuses pour se laisser aller à ses plaisirs... Et de se faire un beau petit brun en boîte fait entièrement partie de ses plaisirs.

- C'est vrai que je la vois souvent allumer les mecs.

- Ouais... Et la bonne excuse du lendemain, c'est : "j'avais trop picolé, je ne savais plus ce que je faisais"... Mais en fait, le truc est bien plus simple, c'est une salope, elle rêve de se faire prendre par tous les mecs qui lui plaisent, et elle picole histoire d'arriver à cet état qui lui sert d'excuse. Et ensuite, là elle se laisse aller.

- Ça... Les nanas qui n'assument pas...

- Tiens ! Regarde ! le mec lui remonte la jupe de son tailleur... Là, on voit bien qu'elle porte des bas.

Une autre jeune femme vient nous interrompre et accapare Anita. Je reste encore quelques minutes à regarder le manège du mec qui embrasse ma salope et la pelote devant tout le monde. Je décide d'aller les voir de plus près.

Lorsque j'arrive à la table, le jeune homme est surpris et je lis une certaine crainte dans son regard. Par contre, ma connasse, elle, n'est nullement gênée de la situation, mais il faut dire que ses yeux sont vitreux et à demi-clos, ce qui en dit long sur son état. Je prends la bouteille et me sers un verre en demandant :

- Ça va les jeunes, vous vous amusez bien ?

L'homme est sur la défensive et la pochetronne bredouille quelques mots incompréhensibles. Je me penche vers le jeune homme et lui dis :

- Elle est bonne cette vieille salope, non ?

Le jeune homme bredouille à son tour, visiblement, il est très gêné de la situation et ne pensait pas que cette femme soit avec quelqu'un. Il commence à s'excuser, mais je me lève et retourne faire un petit tour dans la boîte. Je discute quelques instants avec une entraîneuse de bar que je vois régulièrement ici, et quand je me retourne, l'homme se dirige vers le vestiaire accompagné du videur. Je le regarde se sauver comme un lapin, pétasse est avachie sur la table.

Je retourne vers Anita et lui glisse à l'oreille :

- Regarde, ma salope est libre à nouveau... Chaude comme elle est... Tu veux tenter ta chance ?

Brijou vient à notre rencontre, elle commence à bafouiller une vague question au sujet de son mec, mais entre la voix pâteuse et le son de la boîte, je ne comprends réellement rien à rien. Anita se penche vers elle pour lui dire bonjour, je la vois faire quatre bises à ma salope mais, vraiment sur le bord des lèvres, puis Anita se recule un peu, prend les mains de la pétasse, écarte les bras et lui dit :

- Tu es de plus en plus jolie !

Brijou reprend l'autonomie de ses bras, puis bafouille à nouveau :

- Qui c'est qui me donne un verre ?

- T'as assez bu maintenant, dis-je d'un ton sec.

- J'ai soif, j'veux un verre...

- Laisses, je lui en offre un, annonce Anita. Elle s'empare de son propre verre sur le comptoir et le lui fait boire.

Cette fois, elle se laisse faire. Anita la fait boire en posant une main sur son ventre, mais, dans l'état où elle se trouve actuellement, ma connasse ne réagit pas. Anita s'avance encore plus près de ma salope et lui susurre :

- T'es belle, j'ai envie de t'embrasser... Et elle joint le geste à la parole.

Maintenant, ma pétasse réagit et repousse la jeune femme très entreprenante. Cependant, cette dernière, visiblement très au fait avec les femmes, toise Brijou et lui dit :

- Allons ! Fais pas ta mijaurée... je sens bien que t'es toute chaude là... Et elle glisse une main sous la jupe de la pochetronne qui se laisse finalement faire.

Dommage ! Les lumières se rallument et la musique s'arrête, il est déjà fort tard, et Anita se fait alpaguer à nouveau par sa copine. Je comprends qu'il n'y aura pas grand-chose d'autre maintenant. Ma pétasse titube et veut retourner à la table, mais c'est avec beaucoup de difficultés qu'elle arrive à s'accrocher à la haute table ronde. Je me baisse et ramasse son sac à main. Ensuite, la prenant fermement par le bras, je la ramène au vestiaire. Et finalement, nous sortons et je la ramène à la maison.

En sortant de la voiture, elle s'étale dans le jardin, j'en profite pour faire quelques photos, mais ça ne donne rien du tout.








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