Sortie en boîte le mercredi 30 juillet
Mercredi 30 juillet
NB : Il doit y avoir une erreur sur la date. De plus je n’ai pas de photo de cette soirée.
Pascale, une collègue et amie de Brijou est venue ce samedi soir dîner avec nous. Comme à chaque fois, trois apéritifs, du vin à table, café, pousse café et les deux femelles sont chaudes comme la braise. Elles ne tiennent plus en place et sur le coup d'une heure du matin veulent sortir en boite pour danser.
Ma salope part se changer, puis revient en me disant :
- Qu'est-ce que je fais ? je mets une culotte ou pas ?
- Pas de culotte, mais j'espère que tu seras sympa ce soir, j'ai pas envie que tu te tapes les délires habituels avec afters et tout le cinéma.
Un petit quart d'heure plus tard, nous entrons au "3 Orfèvres", une boite qui fait aussi café-concert, ambiance rock et sympa. Dès l'arrivée, ma salope me confie sa carte bleue et demande à boire une bière. Nos trois consommations ne sont pas encore arrivées, que déjà Pascale est en train de se faire brancher par un mec. Brijou commence à être allumée par l'alcool qu'elle a bu avant de venir, et je sens que la soirée va être chaude.
Prenant mon Adelscoth, je vais danser sur la piste et j'observe le manège des deux salopes de loin. Les mecs tournent comme des mouches autour des deux allumeuses, et bientôt, je vois ma pétasse et Pascale suivre deux maghrébins à une table.
Dix minutes plus tard, elle vient me chercher pour me présenter Afif. Je la suis à la table où il y a déjà quatre mecs et deux nanas qui discutent âprement. Je serre des mains et fait la bise, puis, ne pouvant pas m'asseoir, je repars sur la piste de danse.
Alors que je sirote mon verre en regardant danser quelques jolies filles, une des deux nanas qui était à la table d'Afif vient me rejoindre et commence à discuter avec moi. Très vite, j’apprends que ma salope m'a présenté comme un ami, et non comme son concubin, et qu'elle et sa copine Pascale sont en train de jeter un sort à la bouteille de whisky. Je décide de suivre de loin l'attitude de ma connasse, car je la sens partie dans ses délires.
La soirée avance, ma salope est de plus en plus proche d'Afif. Je fais le tour de la salle pour changer mon point de vue, et là, je m'aperçois que l'homme à poser sa main sur la cuisse de ma pétasse, mais en passant sous sa robe. Elle est penchée vers lui et a sa main sur son genou droit. Je reste un long moment à cette place, puis je vois l'homme s'avancer encore d'avantage et venir poser ses lèvres sur les lèvres de ma connasse qui se laisse faire.
J'aperçois bientôt les cuisses de Brijou car Afif doit explorer cette chatte, sans culotte pour la protéger et, de ce fait, son avant-bras remonte la robe. Ma salope écarte visiblement les cuisses pour se laisser envahir, puis elle attrape la nuque de l'homme, il me semble que le baiser devient encore plus fougueux.
Ne tenant pas vraiment à rester jouer les voyeurs trop longtemps, et trouvant plutôt insultant qu'elle s'emballe un arabe sous mes yeux, alors qu'elle aurait très bien pu me dire qu'elle était excitée et qu'elle avait envie de cet homme, je décide de partir à pied. Je ne doute pas un instant que pour le moment elle est sur un petit nuage et que le lendemain, elle aura honte de sa conduite, mais comme elle ne m'a pas fait confiance et ne m'a pas avouée son excitation et son envie, je la laisse dans les mains de ces mecs qu'elle ne connaît pas, et elle verra bien comment elle finira la soirée. De plus, elle n'a pas tiré les leçons d'une soirée précédente à la fin de laquelle elle avait failli se faire violer, donc, j'estime que la leçon n'a pas porté et qu'elle mérite une autre.
Trois quarts d'heure plus tard, j'arrive sur la route devant le pavillon. Une voiture me double et vient se garer sur le trottoir. Afif sort de la voiture et vient vers moi. Je regrette ne pas être arrivé quelques minutes plus tôt, ou plus tard, ainsi ma truie se serait sûrement laissé aller et j'aurais pu me rendre compte de ce qu'elle est capable de faire quand elle a trop picolé. Afif s'approche de moi pendant que ma pétasse sort difficilement de la voiture, puis il me dit :
- Quelle soirée ! On te cherchait partout !
- Allez, c'est bon, tu veux tirer ma vieille salope, pas de problème, elle est à toi...
- Mais non !
- Arrête, je ne t'en veux pas, tu rencontres une salope en boîte, tu l'emballes, c'est normal que tu aies envie de la tirer... Ma chienne s'est laissé rouler des pelles, c'est normal que tu lui mettes un coup de bite dans le cul, pas de problème, je ne t'en veux pas.
Ma salope est en train de tituber dans l'allée du jardin. Sans me soucier d'Afif, je la dépasse, et ouvre la porte. Elle commence à me demander d'un ton agressif, avec sa voix pâteuse, signifiant qu'elle en tient une vraiment bonne :
- T'étais où ? On t'a cherché...
- Ça va vieille pute, va te faire mettre par ton arabe, j'ai des choses à faire... Je rentre et me dirige directement vers mon bureau que je referme derrière moi.
Afif vient frapper à ma porte, je lui ouvre, et avant qu'il n'ait pu dire quoi que ce soit, je lui répète à nouveau que je n'ai rien contre lui, et qu'il peut disposer à sa guise de ma salope, la prendre dans toutes les postions et dans tous les trous. Puis je referme ma porte et allume mon ordinateur. J’attends quelques minutes devant mon écran, puis je sors et vais faire une petite valise dans la chambre. Je ressors de la chambre avec ma valise et quelques affaires, et passe par le salon où sont installés Afif et ma salope pour discuter. En entrant, j'annonce :
- Bon, je me casse, j'en ai marre de cette pute qui dit m'aimer et qui se tape des mecs dès que j'ai le dos tourné.
- Mais non, il ne s'est rien passé entre nous, je t'assure, me dit l'homme sur un ton qui ne me convint pas du tout.
- Arrête tes conneries... Commence à balbutier ma pétasse.
- Toi la pute en chaleur, tu fermes ta grande gueule, c'est pas à toi que je parle... Toi, tu es juste une boîte à bites...
- Écoute Afif, on ne va pas jouer aux adolescents... Tu as tenté ta chance avec une nana, ça a marché, pas de problème de ce côté-là pour moi, c'est à cette pétasse de savoir ce qu'elle veut, et qui me dit que si ça n'avait pas été toi, ça n'aurait pas été quelqu'un d'autre ?
- Non, je t'assure...
- Ça va, je vous ai vu vous rouler des pelles...
- Non ! je lui ai juste fait un bisou dans le cou, mais elle m'a repoussé...
Là, je commence à bouillir, je sais parfaitement ce que j'ai vu, et comme je n'étais pas plein, j'ai parfaitement vu les baisers langoureux échangés. L'histoire des petits bisous dans le cou me fâche, j'élève la voix et dit à Afif :
- Bon, ça suffit, je viens de te dire, je te laisse cette salope, tu la prends comme tu veux, mais tu n'essayes pas de me prendre pour un con !
- De toutes façons, j'ai pas mis la langue... Commence à balbutier Brijou sans se rendre compte qu'elle met à plat la défense de son nouvel amant.
- Toi... Va te coucher avec ton nouveau mec... T'es qu'une boîte à bites, tu n'es même pas capable de maîtriser tes hormones, alors va te faire enculer et ne m'adresse plus la parole.
Afif comprend qu'il est préférable pour lui de se taire, et je sors de la pièce, reprends ma valise, et, avant d'aller à ma voiture, passe par la voiture garée sur le trottoir, car il me semble qu'il y a encore quelqu'un dedans. Je frappe au carreau, c'est le visage d'une jeune femme qui apparaît, et je vois qu'un homme est assis à côté d'elle sur la banquette arrière. Elle baisse la vitre et je lui annonce :
- Vous pouvez aller dans le salon, vous serez mieux que dans la voiture.
- Je veux bien, ce salaud d'Afif m'a laissé dans la voiture et j'ai la gorge desséchée...
Je regarde la jeune femme se diriger d'un pas chancelant vers la maison, l'autre homme sort et vient vers moi en me disant :
- Je suis désolé, je ne savais pas que tu étais le mari...
- T'inquiète pas, comme je viens de l'expliquer à Afif, je n'en veux à personne d'autre qu'à ma salope, vous trouvez une nana qui se laisse brancher, vous ne pouvez pas deviner qu'elle est déjà maquée.
- Oui, mais tout de même...
- Pas de lézard, c'est une vieille pute, elle a envie de se faire un arabe, hé bien qu'elle se fasse prendre... Moi je me barre, c'est pas la première fois qu'elle fait ce genre de plan, d'ailleurs, si tu as aussi envie de te la mettre, moi ça ne me dérange pas, cette connasse dit qu'elle m'aime, mais dès qu'elle peut, elle emballe des mecs.
- Oui, mais...
- Laisses tomber, tu fais ce que tu veux, moi, je me barre.
- Non attends...
- Comment ça attend ! tu penserais quoi si ta femme te faisait ce genre de plan ? si elle ramenait un autre mec à la maison, un mec qu'elle vient d'emballer en boîte ? Tu resterais là, à attendre et à compter les coups de bites qu'elle se prend ?
- Ouais, t'as raison, je lui foutrai une bonne volée...
- Bon, hé bien moi, je ne suis pas violent, je ne lui tape pas dessus, mais je laisse cette pute en chaleur se faire ramoner le cul par qui elle veut... Et si Afif veut faire sa vie avec, hé bien qu'il la fasse, c'est plus mon problème.
Je laisse mon interlocuteur sur le trottoir et monte dans ma voiture. Je démarre et par faire un tour.
Je tourne pendant une heure dans les rues de la ville endormie. J'ai décidé de laisser une heure pour qu'Afif comprenne que je suis bel et bien parti, et qu'il se sente en sécurité pour baiser ma salope si elle se laisse faire. C'est donc au bout d'une heure que je reviens, je gare ma voiture le long du trottoir, car j'aperçois la voiture d'Afif stationnée toujours au même endroit. Je descends et ferme la portière doucement. Je me dirige vers le garage et passe par celui-ci en prenant bien soin de ne faire aucun bruit.
J'ouvre délicatement la porte du sous-sol qui donne dans la cuisine, et j'entends des bruits de voix, il me semble que c'est le deuxième homme qui parle, et ses paroles sont très dures pour ma salope. Il la traite de pute, lui dit qu'ils ont failli avoir de gros problèmes en sortant de boîte à cause de sa tenue. Ma salope semble se rebiffer, mais il lui dit encore que j'ai bien parlé, que je lui ai parlé comme un homme. Puis j'entends le bruit d'un moteur dans la rue, et des pas qui se dirigent vers la porte d'entrée. Je redescends en fermant doucement la porte de la cuisine et sort de la maison pour voir ce qui se passe.
Je vois effectivement le deuxième homme monté dans un taxi, mais la jeune femme m'aperçoit et viens vers moi. D'une voix pâteuse, elle me dit :
- Viens, tu es chez toi ici, tu ne devrais pas laisser l'autre salope t'humilier comme ça...
- Pas la peine, quand j'entends : "j'ai pas mis langue", dis-je en imitant la voix pâteuse de ma salope, j'explose ! Qu'elle se fasse brancher, bon, c'est la vie, qu'elle se laisse embrasser, ça dépasse déjà l'entendement, mais ensuite, qu'elle ouvre encore sa grande gueule pour dire : "j'ai pas mis langue" ! Là, c'est le comble non ?
- Ouais, d'ailleurs, en boîte, j'ai dit à ma copine : "tient ! un couple se forme"... Allez, viens prendre, un café, cette salope ne vaut pas la peine que tu t'en fasses pour elle... Viens pour me faire plaisir. Et elle me tire par le bras.
Dans le salon, ma truie me regarde avec ses yeux de merlan frit, elle est toujours assise sur le fauteuil en acier, Afif dans le grand fauteuil. Il commence à se tourner vers moi et dire :
- Je t'en prie, ne pars pas... Je ne savais pas...
- T'inquiète, je te l'ai dit, c'est à cette vieille pute que j'en veux, pas à toi...
- J'suis pas une pute... Ma salope a encore la voix pâteuse et son regard est empli de haine, à qui s'adresse cette haine ?
- Ta gueule connasse. Puis, je me tourne vers l'homme, et lui demande : Dis-moi, ce serait ta femme qui emballe un mec en boîte sous tes yeux, tu ferais quoi toi ?
- Moi, c'est clair, elle se prendrait une paire de gifles devant tout le monde, mais tu as raison, je n'en voudrais pas pour autant au mec.
Ma salope se lève péniblement de son fauteuil et annonce :
- Bon, moi, je vais me coucher...
Elle fait quelques pas et se penche pour faire la bise à Afif, me tenant sur le coté du grand fauteuil dans lequel l'homme est assis, j'empoigne les cheveux de ma truie, guide sa tête vers celle de l'homme et lui dis d'une voix dure :
- Tu peux au moins lui rouler encore une pelle vieille chienne lubrique.
Afif lui dépose un chaste baiser sur les lèvres et recule sa tête. je relâche ma prise et ajoute encore :
- Allez, va te coucher, morue...
Dès que ma salope est sortie de la pièce, Afif se tourne vers moi et me dit :
- Tu sais, en sortant de boîte, on a failli avoir une grosse galère, ta femme s'est assise sur un plot en béton devant le glacier au coin de la place Plumereau...
- Ouais, même que deux rebeux et un black sont venus la brancher et voulaient la ramener. Je connais ces mecs, ils sont vraiment pas sains, ils sont de Saint-pierre-des-corps. Poursuit Laura, qui est vautrée dans le canapé.
- Ça, j'imagine facilement, elle m'a déjà fait le coup... Quand elle est pétée, elle branche n'importe qui dans la rue.
- Ouais, mais là, les mecs, ils voulaient la prendre avec eux, et s’il n'y a pas eu de baston, c'est juste que les flics n'étaient pas loin, sinon, ç’aurait sûrement mal tourné, ils avaient vraiment l'air mauvais, ces mecs-là. Complète l'homme comme s’il tenait à se racheter à mes yeux.
- Mais vous n'avez pas pu l'emmener directement à ta voiture ? Je pose la question, mais je connais les réactions de ma vieille pétasse, et quand elle est dans cet état, on a bien du mal à la ramener, souvent, elle se met à gueuler dans les rues...
- Non ! Soi-disant qu'elle attendait sa copine, tu parles, c'est une vraie pouffe celle-là, elle a pris ses fringues et s'est barré sans qu'on la revoie. Précise la jeune femme avec un ton plein de haine, qui me fait penser que Pascale a certainement dû encore être "sympa", car, elle aussi, je la connaîs et sais ce qu'elle vaut quand elle a picolé.
- Ouais, normalement, on devait aller faire un "after" chez cette nana, mais elle nous a laissé tomber. Elle est sortie des "3 O", nous, nous sommes sorties juste après, et elle avait déjà disparu. Le temps qu'on aille sur la place Plumereau et qu'on la cherche un peu, ta femme s'est assise là où je te disais, et quelques minutes après, mais je te jure, vraiment pas longtemps, il y avait les mecs autour.
- Y avait même déjà un des mecs qui avait sa main sous la robe de ta femme, précise encore Laura.
- Ça, ça ne m'étonne pas plus que ça si tu veux mon avis, dis-je en imaginant parfaitement la scène. Surtout que ma pétasse est sortie ce soir sans culotte ni soutien-gorge, et qu'elle est déjà assez exhibitionniste quand elle n'a pas bu, alors avec un grand coup dans le nez, elle devait encore avoir sa chatte et ses nichons à l'air.
L'homme jette un regard noir à la jeune femme comme pour lui intimer l'ordre de se taire, mais trop tard, j'ai enregistré.
Je réalise subitement toutes les implications de son attitude, ce soir, elle aurait très bien pu être amenée dans une cave, être violée, détroussée, voire encore bien pire. Cette même salope qui me joue le coup du "qu'en-dira-t-on", la bêcheuse qui a peur qu'un de ses collègues puissent, un jour, la reconnaître dans un club échangiste, je me rends maintenant compte que cette même vieille truie cherche à aller toujours plus loin dans le glauque, cherche les coins les plus mal famés, les mecs les plus troubles pour assouvir ses fantasmes. Demain, elle me dira encore sûrement, comme à chaque fois, qu'elle regrette, que c'est à cause de l'alcool, comme si l'alcool y était pour quelque chose dans sa démarche. Bref, aujourd'hui, j'estime qu'il est temps qu'elle ait une bonne leçon, aussi je me tourne vers Afif et lui dit franchement :
- Va la rejoindre, va lui dire au revoir, si elle accepte, baise-la, encule-la, fais ce que tu as envie avec elle...
- Non ! Je ne peux pas !
- Attends, tu crois quoi toi ? tu sais, si ce genre de nénettes s'intéressent tant que ça aux rebeux, c'est avant tout du racisme, sois en certain ! Bien sûr, à jeun, elle se dit non raciste, bien sû elle dit être attirée par la culture arabe, mais ne te fais aucune illusion, c'est une autre forme de racisme que d'avoir envie de se faire prendre par un arabe comme elle l'a fait ce soir.
- Oui ! Mais je ne peux pas moi, tu es là, ça me gêne !
- Tu sais pourquoi elle t'a branchée ce soir ? pour aller au fond de sa déchéance, parce que se faire prendre par un rebeu, pour elle, c'est comme être prise par un chien ! Ça te fout pas un peu les boules ça ?
- Heu... Répond Afif visiblement contrarié de comprendre que c'est pas son charme qui a opéré ce soir.
- Ces gonzesses-là, elles se disent tolérantes, mais quand tu regardes de près, c'est pas de la tolérance, c'est juste qu'elles prennent les arabes, ou les blacks, pour des animaux, des animaux à les faire jouir. T'aimes ça passer pour un animal ?
- Ouais, c'est vrai ce que tu dis, annonce Laura, que je pensais presque éteinte.
L'homme reste pensif, visiblement il réfléchit à ce que je viens de lui dire, et visiblement, cela ne lui plaît pas.
- Et puis, Imagine que c'est ta femme qui fait ce genre de chose, tu supporterais toi ? Non, bon alors ! Moi j'en ai plus rien à foutre de cette pute, tu la prends, tu l'encules autant que tu veux, moi j'ai plus envie de me servir d'une salope qui se permet de m'humilier en public. T'imagine si je retourne au "3 O" ?
- Ouais, c'est vrai que c'est pas cool pour toi...
- Bon alors ne te gêne pas, c'est une truie, prends-la comme une truie, tu te vides les couilles dedans et puis tu jettes...
- Mais de savoir que tu es dans la maison, ça me bloque...
- Promis, je reste ici avec Laura à discuter, toi tu essayes de te la mettre, si tu réussis, bravo, si elle gueule, tu fais ce que tu penses être bien de faire, tout ça ne me regarde plus maintenant.
- T'es sûr ?
- Vas-y, je te dis. Je me retourne et jette un œil au fond du couloir pour regarder la porte de la chambre, comme je le pensais, elle est restée entrouverte, je me retourne vers l'homme, et poursuis : Tiens regarde, elle a laissé la porte ouverte,, à mon avis elle t'attend, tu ne devrais pas laisser passer ta chance, sinon, demain, tu te diras que tu as été con...
- Bon, OK ! Mais promis, tu ne viens pas voir ce qui se passe hein ?
- J'en ai plus rien à foutre de cette pute, moi je reste ici, tu fais ce que tu veux, c'est plus mon problème...
Afif semble encore hésiter une seconde ou deux, puis il se lève et m'annonce :
- Bon, je vais lui dire au revoir, si ça marche, je reste, mais si elle ne veut pas, je m'en vais.
Quand l'homme est sorti de la pièce, je ferme doucement la porte du salon, Laura vient de s'endormir, je m'allume la télé et m'assois dans le grand fauteuil que vient de libérer Afif. J'attends quelques minutes, Laura ronfle doucement, elle doit aussi en tenir une bonne, je coupe la télé, me lève précautionneusement, entrouvre la porte du salon et écoute les bruits en provenance de la chambre.
Tout est calme, toujours tout doucement, je m'avance dans le couloir et viens coller mon oreille contre la porte au niveau de la poignée. Un léger chuchotement, mais rien de précis. J'écoute pendant quelques minutes, il semble qu'Afif est du mal à la convaincre, mais je n'entends pas non plus de refus véhément de la part de la vieille salope. De plus, il me semble percevoir un léger clapotis, je me concentre quelques instants sur le bruit et reconnais bientôt le bruit, que fait la chatte de ma salope, quand je l'explore avec mes doigts.
En ayant assez entendu pour le moment, je me relève et me rends dans mon bureau. J'allume mon ordinateur et note scrupuleusement les grandes lignes de la soirée pour pouvoir faire le récit détaillé ultérieurement. Le bureau étant contigu à la chambre, j'écoute avec attention les bruits en provenance de cette dernière, mais je ne perçois que quelques rares craquements du parquet, qui me font comprendre qu'Afif est toujours à côté du lit. Une fois que j'ai noté rapidement les grandes lignes de la soirée, je coupe et ressort du bureau. Un arrêt à la porte de la chambre ne me donne pas plus d'information sonore, le clapotis a cessé, je retourne donc, très doucement, dans le salon.
Laura dort toujours en ronflant doucement, j'allume la télévision. Moins de cinq minutes plus tard, j'entends la porte de la chambre s'ouvrir, je coupe le poste, me lève et sort du salon pour aller aux nouvelles.
Afif est resté une bonne vingtaine de minutes dans la chambre. Je vois une grosse bosse au niveau de sa braguette qu'il tente maladroitement de dissimuler. Il vient vers moi et me dit tout de suite en chuchotant :
- Elle ne veut pas de moi, elle dit que c'est toi qu'elle aime... Où sont les toilettes j'ai une grosse envie de pisser.
- C'est là, à côté de la porte d'entrée, dis-je en désignant la porte quand il arrive à ma hauteur.
Je retourne dans le salon pour l'attendre et mets à profit les quelques instants de répit pour synthétiser les informations qu'il vient de me donner. A priori, avec la gaule qu'il a, il n'a pas dû la tirer, mais néanmoins, pour sortir avec une telle érection, il a dû tout de même bien s'amuser. J'imagine aisément qu'il a du fouillé la chatte baveuse de ma salope avec ses doigts, ce qui confirme les bruits de clapotis entendu plus tôt. Surtout que cette salope mouille comme une fontaine lorsqu'elle a, comme ce soir, beaucoup picolé. Mais le revers de la médaille est qu'elle n'arrive pas à jouir ces soirs-là, et je comprends aussi, pourquoi il est resté si longtemps dans la chambre.
Par contre, je ne pense pas un traître mot de ce qu'il vient de me dire. Ma truie est encore trop alcoolisée pour penser à autre chose qu'à sa chatte. De plus, si tel était le cas, elle m'aurait fait demander, or, ce n'est pas le cas. Je pense qu'Afif a bel et bien essayer de se la mettre, que la salope a dû être partante au début, mais que, comme c'est souvent le cas, elle a du s'endormir ou repousser l'homme sans aucune raison valable.
J'entends la chasse d'eau puis la porte des toilettes. Afif entre dans le salon et me dit :
- On a fait que de discuter de toi, mais j'ai bien du mal à comprendre ce qu'elle veut au juste.
Bien sûr, en plus, visiblement l'homme ne sait pas mentir. Fait que de discuter ! tu parles ! Par contre, quand il m'avoue qu'il ne comprend pas ce qu'elle cherche, là, il dit vrai, mais je sens aussi qu'il est très déçu de ne pas avoir pu la tirer. Je décide de pousser le bouchon encore un peu plus loin et demande d'une voix neutre :
- Et qu'est-ce qu'elle a dit sur moi ?
- Heu... Elle dit qu'elle t'aime et qu'elle ne veut pas que tu partes...
- Vingt minutes pour dire ça ? Ben dit donc !
Afif baisse les yeux instantanément, il comprend que je ne le crois pas, et il cherche une porte de sortie maintenant.
- Bon, c'est pas tout ça, mais il faut que je ramène Laura, dit-il comme si d'un coup cela devenait extrêmement urgent.
- Oui, il finit par se faire tard...
Je me penche sur la jeune femme et la réveille en la secouant de plus en plus énergiquement. L'homme aussi tente de la réveiller, mais la tâche est ardue. Il va jusqu'à s'agenouiller près du canapé, ainsi, il évite de parler avec moi ou de croiser mon regard. Néanmoins, après quelques minutes d'efforts, la jeune femme sort de sa léthargie et grogne qu'elle veut se passer un peu d'eau sur le visage.
Je la conduis dans la salle de bain, l'homme nous suit et presse Laura en disant qu'il risque d'être en retard au travail si elle ne fait pas plus vite. Visiblement, maintenant, il est très pressé lui aussi de partir !
J'en profite pour me rendre sur le pas de la porte de la chambre. J'entends des ronflements bruyants, cette fois ça y est, ma chienne cuve, elle ne se réveillera pas avant un bon moment.
Afif est toujours en train de presser la jeune femme. Je comprends très vite qu'il n'a plus qu'une idée en tête, celle de partir au plus tôt, aussi, je lui propose de ramener Laura. il accepte tout de suite et sort comme un voleur de la maison.
La jeune femme a, quant à elle, bien du mal à se maquiller. Ses gestes sont imprécis, elle tremble légèrement, mais au bout de quelques minutes, elle est prête. Bien que je ne sois pas fatigué, j'ai hâte de la déposer quelque part en ville et de revenir pour vérifier de visu si ma truie c'est fait mettre ou pas. J'ai bien de bons indices, mais je ne néglige pas le fait que je peux toujours avoir commis une erreur d'appréciation, même petite.
Nous sortons de la maison, que je referme derrière moi et montons dans ma voiture. Elle me demande de la déposer près des halles de Tours, mais après avoir passé le premier pont sur le chemin, elle me demande si on peut aller prendre un café. Je gare la voiture et nous nous rendons dans un petit café de quartier. Je commande un café, mais elle, elle commande un porto.
Maintenant que nous sommes attablés, je détaille la jeune femme, elle est marocaine, porte une robe rouge, sale et trouée par une brûlure de cigarette, à mon avis. Elle semble avoir, elle aussi, un réel problème avec l'alcool. La peau de son visage est déjà bien marquée alors qu'elle dit n'avoir que vingt-deux ans et quand elle parle, je vois ses dents sales et abîmées. Elle me raconte par le détail la sortie de boîte, comment ma pétasse s'est fait attendre, comment elle s'est fait peloter dans la rue par des mecs franchement louches, que Laura dit connaître.
Elle sirote doucement son porto et me raconte à quatre reprise la sortie de boîte. je pose des questions pour voir si elle fabule ou si elle fait réellement appelle à sa mémoire, la cohérence des quatre récits me montre effectivement qu'elle ne fabule pas. Nous repartons, mais une fois de retour dans la voiture, elle s'aperçoit qu'elle a oublié son sac à main à la maison, je retourne donc chez moi. Pendant le voyage, elle me demande si je ne peux pas lui prêter une robe de Brijou. Tout à l'heure, elle m'a déjà demandée mon téléphone, pour pouvoir me revoir et je ne lui ai pas donné, maintenant, c'est une robe qu'elle dit vouloir aussi me rendre, je commence à voir son manège, mais je ne vais pas échanger une vieille poivrote pour une jeune poivrote tout de même !
Nous arrivons devant le pavillon, je sors de la voiture et vais rechercher le sac à main. Je n'ai aucune envie de donner une robe à cette nénette que je ne compte pas revoir, en revenant j'invente donc une histoire comme quoi ma pétasse vient de se lever et qu'elle hurle dans la maison. Nous repartons.
Alors que je me dirige à nouveau vers les halles, la jeune femme me demande de passer par une grande surface de manière à ce qu'elle puisse s'acheter une robe. Je fais donc un détour, nous n’attendons pas longtemps que le magasin ouvre, elle prend de l'argent au distributeur, puis nous entrons tous deux et nous rendons au rayon fringues.
Elle choisit deux petites robes en solde en me demandant mon avis, puis m’entraîne vers les cabines d'essayages. Là, elle laisse le rideau entrouvert et retire sa robe.
Je vois parfaitement qu'elle ne porte pas de culotte. Sa chatte est très poilue, mais elle doit se raser régulièrement, car les poils sont très courts. Son soutien-gorge blanc est, lui, jaunie par la transpiration.
Une fois qu'elle s'est décidée pour une des deux robes, nous allons à la caisse et je lui demande pourquoi elle ne porte pas de culotte, j'apprends ainsi que c'est sa deuxième nuit blanche, que sa culotte traîne dans son sac à main et qu'elle ne peut pas rentrer chez elle, car elle s'est engueulée avec son compagnon. Elle recommence à me faire des avances et me laisse son numéro de portable et je la laisse devant les halles, puis je rentre chez moi.
Dès que j'entre, je vérifie que ma salope dort toujours, les ronflements qui viennent de la chambre me rassurent tout de suite, je me rends dans mon bureau et allume mon ordinateur pour compléter le fichier et je commence le récit par le détail.
Il est presque onze heures maintenant, je commence à sentir la fatigue m'envahir, je coupe ma machine et me rend dans la chambre.
Dès que j'entre, ma salope se réveille et commence à me demander de sa belle voix de lendemain de cuite :
- Mais t'étais où là ?
- J'ai ramené Laura et j'ai préparé quelques affaires, cet après-midi, je me barre, j'en ai trop marre d'être avec une vieille pute qui drague les arabes en boite...
- Tu ne vas pas recommencer, viens te coucher.
Je fais le tour du lit et viens me placer à côté d'elle, je la toise du regard et poursuis :
- Je ne vais pas recommencer ! Non mais dis donc ! je ne t'ai pas poussé à emballer Afif au "3 O" !
- Tu me l'as envoyé dans la chambre, c'est pas mieux...
Afif lui a donc expliqué que c'était moi qui lui disais de venir, décidément ce mec n'a pas beaucoup de courage semble-t-il. Je m'empare du drap qui recouvre ma salope et le retire d'un coup sec, puis je poursuis :
- Attends pétasse, tu allumes un mec en boîte, tu te fais peloter comme une chienne, tu le ramènes ici, et si je n'étais pas arrivé en même temps, il te prenait dans le salon, alors que ton fils peut descendre à tout moment, vous aviez bien laissé les deux autres dans la voiture non !
- Oh, c'est bon...
- Non, c'est pas bon ! Tu es une vieille truie en chaleur, c'était normal que j'autorise ce mec qui ne m'a rien fait, lui, à venir se vider les couilles dans une boîte à bite comme toi.
- On n’a rien fait...
- Ça je n'en sais rien, j'étais dans le salon. Tout en disant cette dernière phrase, je me penche sur elle, lui pince le nez, lui ouvre la bouche, l'attire à moi et lui ordonne : Fais sentir ton haleine.
Ma pétasse souffle, elle sent encore beaucoup l'alcool, mais n'a pas cette odeur particulière de foutre. Je rejette sa tête en arrière puis prend son genou droit que je tire sans ménagement sur le côté pour qu'elle soit bien ouverte, j'ordonne encore :
- Écarte, salope, que je vérifie si tu es pleine de foutre.
Sans protester, elle se laisse faire et se retrouve sur le dos, les jambes bien écartées. Je joins mon index et mon majeur droit que j'introduis directement dans la chatte d'un geste brusque. Cette salope est détrempée, je la regarde dans les yeux et lui dis :
- Tu es encore toute mouillée !
- Je suis toujours mouillée le matin au réveil...
- Et en plus, tu te fous de moi ! Tu crois que je ne te connais pas ! Les matins, je suis obligé de te branler le clito, pour te faire mouiller !
Cette fois ma salope se tait. Je la retourne sans ménagement, la positionne sur le ventre et lui écarte à nouveau les jambes. Je joins à nouveau mon index et mon majeur, puis, sans crier gare, les lui enfoncent dans le cul. À la résistance du sphincter, il semble bien cette fois que son cul de salope n'ait pas été utilisé. J'en profite pour lui ouvrir le cul en écartant mes doigts, et je lui assène méchamment :
- Alors boîte à bites, ton mec ne t'as pas utilisée ?
Cette fois, je sens que Brijou est humiliée, mais après tout, n'est-ce pas elle qui s'est laissé conduire par ces hormones ? N'est-ce pas cette salope qui joue les femmes bon-chic bon-genre et qui a emballé un arabe devant moi ? Et n'est-ce pas cette même connasse qui a peur d'aller dans un club d'échangistes ? Celle qui a peur d'attraper une mycose si elle se fait caresser par d'autres mecs ? Cette nuit, elle m'a prouvé que, malgré son discours de femme amoureuse, elle était à la recherche d'une forme de sexualité qu'elle ne voulait en rien partager. Cette truie m'a prouvé son égoïsme total, son envie de jouir seule de ses frasques, et je me rends compte que, loin de ce qu'elle exprime sur le partage, elle ne sera jamais que le vide-couilles que j'ai connue il y a 5 ans.
Attristé de cette découverte, furieux contre moi-même de m'être trompé sur elle à ce point, je me couche et la sodomise brutalement, cette fois et désormais, sans aucune marque de tendresse.
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