060311 Retour chez Y et C

 

Nanou m’a reparlé plusieurs fois de ce couple, Yann et Christine, dont elle avait une grosse envie d’une bonne baise avec le monsieur, drôlement bien pourvu, d’ailleurs.

Étant en relation assez régulièrement avec Yann sur le site SENSATIONSM, il me propose de revenir les voir, mais cette fois, nous aurons plus de temps. Le onze mars est un samedi.

Nous partons, comme la première fois, de Bressuire et arrivons en début de soirée, sur le coup de vingt-et-une heures chez le couple.

En entrant, je vois un canapé recouvert d’une couverture, où devait se trouver la belle Christine, qui maintenant, trône sur son fauteuil roulant. Et une banquette BZ, dépliée, ne laissant aucun doute, quant à ce qui va arriver.

À peine a-t-elle embrassé l’hôtesse des lieux, que Nanou se jette littéralement sur Yann.

Comme très souvent, ma salope est nue sous sa robe, ainsi, en cas de grosse envie, elle peut aller très vite à l’essentiel. Et là, justement, elle se retrouve totalement nue en un clin d’œil.

Je dois dire que de son côté, Yann aussi va très vite pour se déshabiller. Il se serait mis d’accord, ces deux-là, que ça n’aurait pas été différent.

Je sais que Nanou a très envie de la pine de notre hôte, depuis qu’elle y a goûté, mais je pense qu’aujourd’hui, elle veut aller bien plus loin qu’un simple galop d’essai. De mon côté, je câline doucement Christine, en lui murmurant à l’oreille :

- Je pense que nous allons avoir du spectacle.

Elle rit et répond :

- Je crois connaître le programme, si tu veux mon avis.

Très vite, l’homme s’allonge sur le fin matelas, et, tout aussi vite, Nanou vient prendre la belle pine pour commencer par une bonne cravate de notaire. Visiblement, Yann avait envie de cette poitrine.

Ensuite, ma salope s’empare de la bite, pour la branler un peu, encore que l’on dirait plus qu’elle veut tester sa consistance et sa dureté. Puis, elle la porte à sa bouche ! (et quand on pense qu’on interdit aux enfants de porter les doigts à la bouche…).

- Elle suce bien cette salope !

- Ça te plaît mon chéri ? S’enquiert la gentille Christine auprès de son mari.

Nanou est recroquevillée en bas de la couche, entre les cuisses puissantes de l’homme. Elle suce, lèche le vit, les couilles, l’anus, reprend le sexe en bouche. Bref ! Elle agace son partenaire qui lui ordonne alors :

- Viens t’asseoir dessus, maintenant.

En un éclair, elle se retrouve à califourchon sur Yann, glisse cette grosse pine dans son vagin, et commence à onduler du bassin pour l’accueillir tout au fond de sa grotte inondée.

L’homme, vicieux, joue avec les tétons de Nanou, tout en la pilonnant. Encore que, il ait peu à faire, vu comment se démène ma soumise, sur son membre raide. Toutefois, il l’emmène jusqu’à ce que ses yeux se révulsent et qu’elle soit prise de convulsions.

Nanou jouit dans un grognement qui n’a rien d’humain. Elle reste avec la bite plantée dans le ventre un bon moment.

Dès que la femme revient un peu sur terre, Yann reprend son pilonnage infernal, jusqu’à, lui aussi, exploser dans un orgasme ravageur.

Bonne fille, maintenant qu’elle est bien pleine, en redescendant de ce corps encore tétanisé, elle se jette sur le vit pour le sucer, voire pour en extraire les dernières gouttes, car ma salope est une vraie bouffeuse de foutre, elle adore vraiment ça.

- Bonne fille, oui, nettoie-moi les outils…

Nos deux acteurs de porno amateur reviennent avec nous. Nous discutons, prenons un verre, ma pétasse en écluse trois ou quatre. Puis, visiblement à nouveau en forme, Yann ordonne :

- Allez, debout salope, je vais t’en mettre un coup dans le cul pour me finir.

Et Nanou a à peine le temps de se relever, que la voilà pliée en deux sur la table de la pièce, et très vite, embrochée. En quelques rapides mouvements, elle commence à jouir.

Je lui impose alors :

- Branle-toi le clito salope.

Yann ne lime pas longtemps, est-ce la branlette de cette salope qu’il encule copieusement ? La complicité avec son épouse, toujours est-il, qu’il remplit rapidement l’anus de la grosse.

Encore quelques discussions, puis, ma salope commençant à s’assoupir, il est temps de rentrer, surtout que nous avons presque deux heures de route.