060315 Poids et mesures et fist

 

Un mercredi après-midi, Nanou ayant terminé ses devoirs, voilà que je lui propose un nouveau jeu, les poids. Je laisse de côté mon ordi et ce que je faisais dessus et ordonne à Nanou :

- Retire ta jupe et debout sur le lit. Comme habituellement, elle n'a pas de culotte, et donc, ça va très vite.

Je sors un sac de sport, dans lequel j'ai quelques petites affaires SM, tout le petit matériel du parfait gentleman sadique. Je m’empare d'une chaîne en acier, d’une soixantaine de centimètres, équipée de deux petites pinces métalliques, qui, ma foi, serrent bien fort. Je dégage les grandes lèvres de Nanou et lui pose les pinces dessus. Elle mouille déjà abondamment, mais les pinces mordent suffisamment, pour ne pas glisser. Je fouille encore dans mes petites affaires et récupère des pinces à linge métallique, bien lourde, elle aussi et j'accroche la première à la chaîne.

Je fais une photo, puis ordonne, à ma salope, de retirer sa tunique.

Elle retire prestement son vêtement, sans trop bouger son bassin.

Je cherche ensuite des poids et j’en pose un, en l’attachant à la pince en place. Et je refais quelques photos.

Je repose encore deux, trois poids puis, sortant toujours de ma mallette magique, des grelots de pêche. Petit grelot monté sur une sorte de ressort, terminé par une autre pince. L’ensemble est métallique. Je pose une pince sur chaque téton, et je demande à Nanou :

- Bouge ton cul pour balancer ta chaîne, mais sans faire sonner les grelots, sinon, un gage.

Nanou se penche en avant, et réussit à faire remuer la chaîne et les poids, sans faire aucun bruit, si ce n’est, le lit, qui grince très légèrement.

Et maintenant que les grandes lèvres sont bien étirées, j'en profite pour lui reposer encore deux pinces métalliques, sur la chaîne. Je me recule, fait une photo, et je lui demande encore, d’onduler du bassin.

Nanou obtempère, toujours sans faire tintinnabuler, ses clochettes.

Comme je suis un peu déçu, de ne pas pouvoir lui refiler un gage, je lui claque les mamelles, de manière à bien vérifier que les grelots, sont bien en état de fonctionner.

- Ça m’excite terriblement, ça doit couler le long de la chaîne. Déclare-t-elle d’une voix étrange.

Effectivement, je vois que la chaîne luit par la cyprine liquide, qui suinte du vagin de ma soumise.

- Attends, je vais peser ce que tu portes.

Je défais les pinces des lèvres, et pose l’ensemble chaîne, pinces, poids, sur le pèse-lettre du bureau dans la chambre. Résultat des courses, quatre-cent-quarante grammes. Ce n’est pas le record du siècle, mais pour une toute première fois...

- Et sur mes seins ?

Là, je sais parfaitement que, s’il y a une douleur lors de la pose, à la dépose, c'est encore bien pire ! Donc, je m’empare des deux pinces en même temps, et les enlève de concert.

- AÏE !

- Ça fait toujours ça au début, tu t’y habitueras.

Il faut dire, qu’à cette époque, ma salope était une grosse branleuse. Elle se masturbait plusieurs fois par jour, manuellement, ou avec des objets insolites, genre lampe à lave, batte de baseball de son gamin, etc.

Souvent, quand l’orgasme était bien fort, elle se pissait dessus. Il suffisait qu’elle s’imagine une belle grosse bite, une bonne sollicitation manuelle, et hop, c’étaient les grandes eaux ! Une vraie femme Versailles !

Aussi, je prends soin de déposer, sur le lit, une des serviettes qu’elle utilise en général, pour éviter de détremper son lit. Ensuite, j’ordonne :

- Allez, allonge-toi sur le dos, position du cafard flytoxé.

Elle ne se fait pas prier, et tout de suite, elle se retrouve sur le dos, les pattes en l’air.

Je commence par lui tripoter la vulve détrempée, puis li coller mes doigts dans son vagin, en les remuant.

Allongée sur le dos et les pattes en l’air, elle écarte ses lèvres, comme pour me demander quelques chose.

Je glisse alors trois doigts dans sa grosse moule, puis un quatrième, puisqu’il n’y a aucune résistance. Je lime quelques instants puis, dans la foulée, je joins mon pouce à la fête.

- Oui… Vas-y… Mets ta main entièrement.

Je pousse donc doucement, jusqu’à ne plus voir ma main que sa chatte a totalement avalé. Une fois ma main en place, j’ouvre et je ferme mon poing, doucement au début.

- Ho oui ! Comme ça… Continue…

J’œuvre du mieux que je peux, cette fois en combinant l’ouverture et la fermeture de mon poing, à l’intérieur du vagin, tout en faisant aller et venir mon membre dans cette chatte bouillante.

Elle, elle s’astique frénétiquement le bouton d’amour. Elle couine fort, malgré la présence de son fils dans la chambre voisine. Et ce qui devait arriver, arrive, elle a un gros orgasme, jouit en gueulant, et se tortille dans tous les sens.

Je calme mes mouvements, quand ma salope se stabilise sur le côté gauche. J’ai de la pisse et de la cyprine mêlées sur le bras. Je retire précautionneusement la main de son vagin, puis lui porte à la bouche en disant :

- Fais bisou à cette main, qui t’a donné tant de plaisir.

Et Nanou vient lécher ma main et mon poignet, visiblement, elle a l’habitude de lécher ce qui sort de sa chatte.








 

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