Articles

Affichage des articles du novembre, 2023

Caroline : l’appartement

Image
  On est toujours resté en contact par téléphone ou par email. À cette période, je vivais avec 7ansdemalheurs, j’alternais le chômage avec des missions intenses, comme mes huit mois à Valladolid. La vie devenait de plus en plus pénible avec ma compagne, qui vivait sans cesse les même s turpitudes. Son égoïsme et sa fuite de son rôle de tutrice me devenait, là encore, insupportable (voir les récits de 7ansdemalheurs) . Je pense que Caroline comprenait mes affres, sans que je m’en soi s réellement ouvert. Et, dès que j’ai retrouvé un boulot, nous avons décidé de nous revoir. Je venais d’avoir une mission en plein centre de Paris, dans un cabinet d’ingénierie, cabinet qui me recrutera plus tard. On se donne rendez-vous porte d’Orléans, car la belle travaillait pas loin, et que pour moi, en quelques stations de métro, je pouvais y être aisément. Elle arrête sa voiture à ma hauteur, j’entre, et là, dès que nous nous sommes fait un petit baiser chaste, je la vois remont

Caroline : le concert

Image
  Nous restons une relation, Caroline et moi. Il est vrai que je parle assez peu de ma vie. Professionnellement, j’ai beaucoup de travail, je suis indépendant et vais chez mes clients pour les études. Puis je suis recruté pour un poste de chef de service dans une grande entreprise de Tours. Je n’ai plus l'occasion d'aller en région parisienne. Après quelques années, l’entreprise traversant une grave crise, je suis licencié. Et finalement, je divorce. Voilà ce que c’est que de tomber amoureux d’un mirage québécois. A près avoir vécu un an avec une jolie chinoise, Way ping, qui était la patronne de mon restaurant favori ( la rivière de Chine ), où j’emmenais régulièrement mes amante s, du temps de mon mariage. Je prends un appartement rue George Sand à Tours. On renomme l’appartement le piège à gorettes, c'est presque un logement collaboratif, vu que je suis rarement seul, mes potes et moi, ramenons souvent des nanas pour quelques fêtes très cul s  ! Tou

Caroline : le donjon du prélude

Image
J'ai revu plusieurs fois Caroline, mais c e n 'était pas toujours simple pour moi, car j'habit ais à Tours et je travaillais à Vélizy et j'étais hébergé par mon père. Je ne souhaitai s pas trop m'absenter les soirs, pour ne pas déranger ses habitudes, mais également parce que j’avais un job passionnant, mais cruellement crevant. J’étais, en permanence, à la limite de mes capacités intellectuelles. Après avoir appris la géophysique, j’étais en train d’apprendre, à marche forcée, l’électronique analogique et numérique, ainsi que la programmation. Sans parler de la gestion technique, de la gestion des sous-traitants et du management. Avec Caroline, nous étions toujours en relation épistolaire. À l’époque, ça passait par le minitel, et je n’y avais accès que les week-end s . Mais j’attendais ses messages toujours avec une sorte de fébrilité, j 'avais grand plaisir à dialoguer avec elle. J’ avais trouv é, dans une revue, un club échangistes mâ