Caroline : l’appartement
On est toujours resté en contact par téléphone ou par email. À cette période, je vivais avec 7ansdemalheurs, j’alternais le chômage avec des missions intenses, comme mes huit mois à Valladolid. La vie devenait de plus en plus pénible avec ma compagne, qui vivait sans cesse les même s turpitudes. Son égoïsme et sa fuite de son rôle de tutrice me devenait, là encore, insupportable (voir les récits de 7ansdemalheurs) . Je pense que Caroline comprenait mes affres, sans que je m’en soi s réellement ouvert. Et, dès que j’ai retrouvé un boulot, nous avons décidé de nous revoir. Je venais d’avoir une mission en plein centre de Paris, dans un cabinet d’ingénierie, cabinet qui me recrutera plus tard. On se donne rendez-vous porte d’Orléans, car la belle travaillait pas loin, et que pour moi, en quelques stations de métro, je pouvais y être aisément. Elle arrête sa voiture à ma hauteur, j’entre, et là, dès que nous nous sommes fait un petit baiser chaste, je la vois remont