060521 Pinces à linge

 

Dimanche début d'après-midi, après un repas sympa, j'annonce à Nanou qu'on va essayer d’améliorer le score des poids, qui n’est que de quatre-cent-vingt grammes, pour le moment. Aussi, je commence à lui dire de retirer ses vêtements et de ne garder, que son redresse seins, son petit porte-jarretelles et ses bas.

Je suis dans la cuisine à préparer un café, quand elle vient s’exhiber dans l’encadrement de la porte, je prends une photo.

Nous allons dans le salon, avec mon café, je m’assois dans le canapé. Ensuite, je lui installe les fameuses pinces qui mordent bien, avec la chaîne métallique. Toujours assis dans le canapé, je pose doucement, mais sûrement, une série de poids. Je n’ai pas eu le temps de poser abondamment de poids, quand j’entends :

- Aïe ! Ça devient lourd.

- D’accord, mais là, on ne va pas battre ton record de beaucoup !

- Oui, mais pour aujourd’hui, j’en ai assez.

- Comment demande-t-on ?

- S'il te plaît, Maître.

- Non, d’abord des photos !

Comme je me lève et retourne dans la cuisine avec ma tasse vide, elle me suit, avec une démarche particulière, pour ne pas faire tomber les pinces. Elle reprend sa place dans l’encadrement de la porte, mais cette fois avec pinces et les poids.

- Jambes écartées, bras levés, que ça te remonte un peu les mamelles.

Ma soumise obéit, et je prends encore quelques photos.

Dommage qu’on soit dimanche ! Sinon il y aurait sûrement des lycéens boutonneux aux fenêtres de l’établissement, devant ma fenêtre, à quelques mètres seulement.

- Bon, je vais peser.

Nous repartons dans le salon, et je m’installe à nouveau sur le sofa.

Ma grosse salope me suit, toujours avec cette démarche si étonnante.

Pour marquer mon mécontentement, je retire sans douceur, les pinces des lèvres, d’un geste sec.

- Ouille ! Ça fait mal quand tu les retires.

- C'est parce que tu ne les as pas portées assez longtemps ! Allez, dans l’encadrement de la porte pour faire quelques photos.

Je pèse l’ensemble et trouve cinq-cent-dix grammes. C'est mieux que la dernière fois, mais trente grammes de plus, seulement, ce n’est pas le record du siècle !

- Bien, puisque tu n’arrives pas à porter de poids aujourd'hui, nous allons passer à autre chose.

Je me relève et laisse la canapé vide. Là, je poursuis :

- Allonge-toi, les pattes vers moi.

Je commence à m'emparer des pinces à linge métalliques, que j'ai sur la table basse. Ensuite, je vais chercher reste de mes pinces à linge en bois. Les pines métalliques mordent vraiment très fort.

Je place mes deux premières pinces métalliques sur les petites lèvres, en les relâchant tout doucement.

La grosse grimace, mais n’ose rien dire, voyant que j’ai encore une pince, de ce type, en main.

La troisième méchante pince est prévue, pour son clitoris de salope, que ma soumise a bien souvent du mal à contrôler. Je dégage le petit bouton de deux doigts habiles, puis, dans un geste encore plus doux, place la pince dessus. Je relâche les deux petits manches, progressivement. Ça sert le clitoris doucement, mais sûrement. À la fin, j’ai droit à :

- Ça fait véritablement mal !

Il me reste encore deux pinces de ce type que je pose sur le ventre rond de ma salope. Le contact froid semble la calmer un peu. Je recule et fais encore des photos.

La pauvre Nanou souffre, avec ses pinces. Elle grimace fortement, mais n’ose rien dire de plus, de peur que son maître en profite.

Aussi, je décide de mettre des pinces en bois, qui sont moins méchantes ? Je retire, doucement, la pince du clitoris, et enfin, les deux pinces qui mordent les lèvres, mais d’un coup sec.

- Aïe !

- On va prendre les pinces en bois, tu les supporteras mieux, je pense.

Cette fois, j'attends un peu avant de placer les pinces sur ses lèvres :

- Ça va ?

- Ha oui ! Là ça va mieux…

- Mais une bonne soumise devrait préférer les pinces qui font le plus mal !

- Tu veux dire que je ne suis pas une bonne soumise ?

- Non, mais que ton record n’est pas terrible du tout ! La prochaine fois, je vise le kilo !

Tout en discutant, je continue mon ouvrage. Quand je termine de poser la dernière pince, quatre sur chaque lèvre, je m’attelle à m’occuper du clitoris.

- Le kilo ! C'est bien de trop !

- Ha bon ! Quand tu en seras à quatre kilos, tu verras les choses autrement…

- Oui ! Mais ça va me faire mal !

- Attends…

Je place la dernière pince sur le clitoris, en la maintenant ouverte quelques instants, puis ordonne à ma salope :

- Respire un grand coup.

Et pendant qu’elle prend une profonde aspiration, je lâche d’un coup sec la pince, qui mord subitement le bouton d’amour, déjà sensible.

- AÏE !

- Les poids font moins mal, que les pinces…

- Salaud !

- Salaud, comment ?

- Salaud, Maître !

Sur ce, je me recule, me munis de mon appareil photo, et fait encore quelques clichés. Ensuite, en reposant l’appareil, j’annonce :

- Allez, je vais être bon avec toi, je retire les pinces.

Je retire, doucement cette fois, les articles, un à un. Tout en me disant, que la prochaine fois, je ferai passer une ficelle dedans, et les arracherai toutes d'un seul coup. Ensuite, je m’empare de ma cravache et travaille un peu la vulve, à petits coups mesurés. Le clitoris n’est pas en reste. Je bricole tout ça avec, seulement, le petit cuir au bout de l’outil.

Visiblement, ce traitement plaît beaucoup à ma salope qui mouille abondamment.

- T’aimes ça, hein ma salope ?

- Oui, continue…

- Attends, tourne-toi, mets-toi sur le ventre.

Dès qu’elle a fait le mouvement, me présentant son gros cul, je recommence à flatter sa chatte par-derrière, toujours avec le bout de la cravache. Puis, sans crier gare, je lève l’outil et donne trois coups secs et rapides, en travers des fesses.

- AÏE !

- Parfait, maintenant, comme je suis content de toi pour les pinces, tu as droit à ta petite friandise.

Je prends la pince avec le système qui fait des vibrations. Je règle l’écartement des mâchoires, pour que ça ne soit pas trop douloureux, et mets le truc en marche. Je place délicatement le jouet sur le clitoris.

Très vite, Nanou, recommence à mouiller, et elle m’annonce :

- J’ai besoin de quelque chose dans ma chatte.

Je fais quelques photos, et prends une bougie bleue qui traîne dans le présentoir de la pièce.

Ma salope se colle directement, la bougie, dans le vagin. Ensuite, elle commence à s’astiquer la chatte avec frénésie.

Je sors de la pièce et vais dans la cuisine, je prends la bouteille de rosé de Provence vide. Le genre de bouteille avec un fond très évasé. La rince à l’eau chaude, et reviens dans le salon pour proposer cette bouteille à ma soumise.

- Oh ! Merci ! Je l’essaye tout de suite !

Et voilà, la bouteille qui part à son tour, dans les profondeurs du vagin de la grosse salope. Elle prend vraiment tout par la moule !

Bientôt, elle jouit bruyamment avec la bouteille, le plus loin possible dans la chatte. L’orgasme est visiblement intense, ravageur, rédempteur ?

Quand elle a repris son souffle, je lui demande de s'habiller et nous allons faire un tour, histoire de nous oxygéner.

Bien entendu, dès que je pourrai, je montrerai qu'elle n’a pas de culotte ainsi que ses nichons. Mais, n’ayant l'appareil pour faire des photos, il n’y aura pas de trace, pour cette fois. Un bon petit dimanche après-midi.









 

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