060524 Soirée Laurent et Patricia

 

En ce mercredi soir, nous retournons à Bourges, voir nos amis Patricia et Laurent. Avec qui nous avons déjà fait quelques grosses cochonneries. J’ai eu en dialogue sur le net, Laurent, et lui ai raconté les dernières frasques de Nanou, il semble très intéressé.

Cette fois, nous rejoignons directement nos amis à l'hôtel, le même que la première fois. Après nous être garés, nous nous rendons directement dans la chambre, qu’ils nous ont indiquée.

Quand nous arrivons, Laurent est déjà en train de s'occuper du trou du cul de sa femme, en lui travaillant l’anus avec un rosebud.

- Je la prépare pour qu’elle soit au même niveau que ta soumise, me dit l’homme avec un grand sourire.

- Oui ! Mais j’ai l’impression que tu t’amuses, aussi, beaucoup !

- Oh que oui, confirme la petite femme.

Je prends quelques photos du rosebud, bien ancré dans le petit cul, de cette salope de Patricia. Quelques jours auparavant, j’avais envoyé, par email, des images de ma grosse chienne, avec son rosebud à queue de cheval, dans la nature.

Tout de suite après, je tends le rosebud à queue de cheval et propose :

- Tu veux lui enfiler ?

- Ho oui, tiens ! Allez, soumise, à quatre pattes, à côté de ta copine, que je te travaille le fion.

Bientôt, les deux salopes se retrouvent instrumentées, l’anus occupé par un rosebud. Nous prenons des photos, moi avec mon téléphone portable, Laurent avec son petit appareil. Nous décidons alors de faire sortir les deux putes à l’extérieur. C'est vrai qu’elles font vraiment putes avec le fion élargi.

Dans le couloir, nous demandons aux deux salopes de jouer les vamps ou les putains. Encore qu’elles fassent réellement bien plus putes que vamps.

Nous les prenons encore en photo. D’abord en ne remontant leur jupe, que lorsque nous le demandons, puis en les laissant se balader la jupe relevée et coincée dans la ceinture.

J'ai l'impression que Nanou et Patricia viennent de plus en plus complices.

Après le couloir, nous sortons sur le parking. Nous nous dirigeons vers la voiture de Laurent et faisons mettre les mains, des soumises, sur le capot. Les jupes sont toujours haut sur le ventre, bien relever.

Et voici deux culs blancs, ouverts, instrumentés, bien visibles. La chatte lisse est, elle aussi, bien visible, selon qu’on se place devant ou derrière les pétasses, bien évidemment.

Là, Laurent me dit :

- Je vais te faire voir comment, ma soumise marque.

Et il s’empresse de donner une série de claques sonores sur le petit cul de son épouse. Et, quelques instants plus tard, apparaissent de belles traces de main sur les fesses.

- Essaye sur le cul de ma pétasse, si tu veux. Ma proposition est honnête, et j’aimerais qu’elle marque autant.

Mon complice réitère ses gestes sur les fesses de Nanou. Mais force est de constater que, bien des minutes plus tard, elle n’a toujours pas le cul vraiment rougi.

Ensuite, les deux salopes sans jupes sont reconduites dans la chambre. Nous traversons donc le parking. Entrons dans l'hôtel, passons devant plusieurs caméras et arrivons devant la porte de la chambre. Les chattes et les culs à l'air, bien visibles, mais nous ne rencontrons personne dans les couloirs.

Une fois dans la chambre, Laurent me demande :

- Ta salope ne porte pas plus de cinq-cents grammes, aux lèvres ?

- Non, elle mouille trop, les pinces, même bien mordantes, glissent.

- On peut voir ça ensemble ?

- Oui.

- Alors, je commence avec Patricia… Viens ici pétasse. À poil et contre le mur, jambes écartées, mains derrière le dos.

La frêle femme obéit et se retrouve vite avec son corset, ses bas et ses bottes, là où lui a indiqué son mari.

Assis au bout du lit, sa trousse à malices près de lui, mon ami commence à poser deux pinces, une sur chaque lèvre, équipées d’un mécanisme qui ressert les mâchoires quand on tire sur l’autre extrémité. Puis, très tranquillement, il pose poids après poids. Lui aussi va faire ses courses chez Décathlon…

Patricia affiche un grand sourire, dont elle ne se départit pas, tout au long de l’exercice. Il semble qu’elle apprécie particulièrement se faire étirer les babines.

Quand le mari s’aperçoit que les pinces commencent à glisser, il les retire en tirant un coup sec dessus, cette fois sa femme grimace. Décidément, bien outillé, l’homme sort un petit pèse-lettre. Un kilo et cent grammes.

- Tu as déjà fait bien mieux que ça ! C'est Nanou qui te fait mouiller d’envie ?

- Oui, Maître.

- À ton tour, Nanou. Dit Laurent, en se tournant vers la salope.

Comme ma pétasse semble traîner les pieds, pour venir se faire équiper, mon complice se lève et lui pose un bandeau rouge sur les yeux.

Une fois qu’elle est en place, les jambes bien écartées, l’homme lui place les deux pinces sur les petites lèvres. Ensuite, toujours dans un geste sûr, il pose des poids, tranquillement.

- Effectivement, ta salope mouille, une vraie fontaine.

Nanou ne moufte pas. Elle sent que cet homme est prêt à la corriger, si elle commence à faire la maline.

- Oui, c'est ce qui empêche de battre des record, je pense.

Laurent prend un temps infini à accrocher les poids sur la chaîne, qui pend aux petites lèvres, de ma soumise. Arrivé à un stade, il ne peut plus mettre d’autres, car Nanou mouille comme une collégienne et ses lèvres sont extrêmement glissantes. Quand les pinces finissent par tomber sur le sol, dans un grand bruit, il ramasse le tout et le pèse.

- Sept-cents grammes ! Pas terrible !

- Oui, mais c'est déjà mieux que son précédent record.

Mon complice, après avoir rangé les pinces et poids dans sa trousse, sort une autre petite trousse, cette fois, remplie de pinces à linge en plastique bleu.

- Allez, les pétasses, sur le dos, côte à côte.

Nos deux salopes obtempèrent et sont très vite allongées, l’une à côté de l’autre.

Mon complice a profité du changement de place pour mettre un bandeau noir sur les yeux de son épouse. Il commence par poser des pinces sur les lèvres de sa soumise, puis, fait de même sur les lèvres de la mienne. Il revient sur la vulve de Patricia et pose encore une pince, cette fois sur son clitoris.

La belle grimace alors, mais ne se plaint pas du tout.

L’homme vient alors placer une pince sur le clitoris de Nanou, qui, bien entendu, ne peut se taire et pousse un petit cri, suivi d’un :

- Ouille !

Ensuite, ce diable d’homme joue avec les deux pinces, sur les clitoris, en même temps. Il les tire un peu. Les repousse, les fait aller d’un côté, puis de l’autre. Il réussit ainsi à obtenir d'énormes grimaces sur le visage des filles. Cela dit, elles mouillent également, toutes deux, terriblement ! Visiblement, Patricia adore ce genre de chose.

La plaisanterie dure un petit quart d’heure, avant que Laurent ne retire les pinces, une à une, lentement, mais en ouvrant les mâchoires d’un coup sec à chaque fois !

Pour la dernière pince, celle qui emprisonne le clitoris, l’homme joue avec, avant de la retirer, cette fois en tirant un coup sec, sans avoir ouvert les mâchoires précédemment ! Pour finir, il annonce :

- Allez les filles, debout, à votre friandise et il sort sa bite pour se faire sucer. Il prend encore quelques photos.

Je prends encore des photos, avant que mon appareil ne crie famine et finisse par me laisser tomber, batterie à plat. Et c'est à ce moment, que je lui propose de se vider les couilles dans la grosse chatte de ma pétasse.

Visiblement heureux de la proposition, il oblige Nanou à amener son gros cul au bord du lit, pattes écartées.

- Je vais te baiser avec ton rosebud dans le cul, morue.

Joignant le geste à la parole, il vient fourrer la grosse chatte détrempée avec sa queue. Queue de belle taille d’ailleurs.

Patricia n'est pas en reste, elle joue avec les tétons de sa copine, qui se tord de plaisir.

Excité par l'ambiance de la soirée, il ne met pas longtemps à se répondre dans cette chatte bouillante. Puis, quand il se retire, il attrape la nuque de sa femme et plaque la bouche de celle-ci, sur la chatte de Nanou, en lui ordonnant :

- Bois cette chatte pleine de vitamines, je sais que tu adores ça. Le goût de sa chatte avec mon foutre dedans, tu vas adorer !

Cette fois, c'est ma salope qui reprend encore un pied d’enfer, sous les coups de langue agile. Pour une pure hétéro, deviendrait-elle un peu gouine ?

Mais il se fait tard, et le lendemain soir, nous avons encore une autre soirée. Il va falloir rentrer, surtout que nous avons encore une heure et demie de route, à peu près. Je lui fais traverser le parking sans sa jupe. Dans la voiture, avant de démarrer, je sens confusément une odeur étrange. Et demande :

- Tu ne sens rien ?

- C'est ma chatte qui sent le foutre, oui, je sais…

















 

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