Dany : Voyage à la collégiale de Chauvigny

 

Un jeudi après-midi, alors que nous avons pris le repas ensemble et fait deux fois l'amour, Dany m’annonce qu'elle va aller à Chauvigny, une commune sur la Vienne, pour le concert des petits chanteurs la croix de bois, où son fils étudie. Elle veut entendre son fils chanter, ce qui paraît tout à fait normal.



Le vendredi suivant, vers onze heures, elle vient me chercher en bas de chez moi, avec sa Coccinelle, une voiture de collection. Nous partons et nous discutons tranquillement tout le long de la route.

J'apprends toujours des tas de choses avec cette femme et c'est toujours un vrai le bonheur que de discuter avec elle. Elle conduit prudemment avec ma main sur sa cuisse gainée de soie. Et quand j'essaie d'aller un peu plus loin dans mes caresses, elle me dit que ce n'est pas sérieux, parce que c'est dangereux en conduisant. ce qui est vrai, mais tout de même, j’aurais bien aimé aller visiter un peu plus sa chatte durant le trajet !



Nous arrivons à Chauvigny.

Pour commencer, Dany veut voir comment est faite cette collégiale, car elle a amené son caméscope, de manière enregistrer son fils quand il chantera, et qu’elle veut faire une sorte de repérage. Elle devait avoir des informations, parce que quand nous rentrons, elle nous fait aller directement sur la plateforme, qui situe au-dessus de la porte d'entrée, où habituellement se situe un orgue. Là rien, juste une plateforme déserte, mais avec une bonne vue sur le cœur, de cette église.

Ensuite, nous ressortons et nous emmenons nos affaires à l'hôtel. Puis, nous faisons un petit tour sur la place, à pied, histoire de se dégourdir les jambes, et finissons par aller prendre une petite collation dans une crêperie, car il est déjà près de quinze heures.

Nous revenons à l’hôtel en attendant l’heure du dîner, et en profitons pour prévoir une petite sieste crapuleuse.

Comme toujours, Dany est habillée avec goût, mais aussi avec des vêtements qui sortent de l’ordinaire, très classe, très soigneuse, une très belle apparence, la parfaite petite bourgeoise en vadrouille.

Je commence par la prendre dans mes bras, debout et l’embrasser comme du bon pain.

Elle répond à mon baiser en laissant ses mains parcourir mon corps, m’est avis qu’elle a au moins autant envie de moi, que moi d’elle...

Sans la déshabiller, je l’allonge en travers du lit, me met à genoux par terre, et commence à lui lécher la chatte. Je sais qu’elle adore ça, et que je vais marquer des points, de la sorte.

Je fais partie des gens qui pensent que, si on veut que l’autre aille dans notre sens, il faut aussi aller dans le sien. Parfois, ça peut coûter, être difficile, voire choquer, mais c'est à ce prix qu’on peut demander ce qui va aller dans notre sens, dans nos fantasmes.

Ma langue fouille toute sa vulve. Sa chatte suinte l’envie et déjà le plaisir. J’agace le clitoris, j’aime m’amuser avec le démarreur, surtout que celui-ci ne met pas la batterie à plat, quoique… À plusieurs reprises, j’amène ma douce au bord de l’orgasme. Mais, joueur, au dernier moment, d’un coup de dent bien dosé, je stoppe net cette montée vers le nirvana.

La belle commence à être très agacée, elle veut jouir, elle veut se pâmer, elle veut son orgasme, qui devrait la libérer de cette tension, que son satané amant, lui fait monter.

Cet après-midi, j’ai très envie de la faire tenir sur le fil du rasoir jusqu’à ce soir, aussi, après avoir bien joué à faire venir ma partenaire au bord de l’orgasme. Et là, je me laisse tomber le cul sur mes pieds, et feins d’avoir fait un faux mouvement, dans un grand cri, j’annonce :

- Je viens de me faire mal au dos ! C'est insupportable !

La blonde, faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, se redresse, se penche en avant, et me regarde d’un air triste en me disant :

- Mon pauvre chéri ! Ça va aller ?

- Non, là, il faut que je me relève et que j’aille m’asseoir !

- Attends, je vais t’aider.

Je prends un soin infini pour me relever sans m’appuyer trop sur le bras de ma compagne, puis je m’assieds dans le gros fauteuil de la pièce, souffle fort, et fait mine de beaucoup souffrir.

- Je suis désolé ! j’ai été coupé dans mon élan.

Fine mouche, la façon dont me regarde Dany est complexe, je pense qu’elle ne sait pas trop si c'est du lard ou du cochon, mais ne voulant pas prendre trop de risque, elle me plaint, tout en remettant de l’ordre dans sa toilette, ayant compris que la joute sexuelle s’arrêtait là.

J’ai conscience d’être le jouet sexuelle de cette jolie bourgeoise mûre, mais à bien des occasions, j’ai senti aussi qu’elle m’aimait réellement, pas uniquement sexuellement.



Je me repose dans ce profond fauteuils, ma compagne s’est assise sur le lit et a pris un livre, qu’elle avait apporté avec elle. Nous passons une petite demi-heure ainsi, moi dans mes pensées, elle dans son livre. C'est alors que je déclare :

- Ça va mieux, mais je sens que j’ai besoin de faire quelques pas, ça te dirait ?

- Oui, petite promenade apéritive, avant le dîner, bonne idée.

- J’aimerais que tes beaux seins soient libres, sous ton chemisier.

- Ça risque de se voir, mais bon, si ça peut soigner ton mal au dos...

Très vite, nous voici sur la place ombragée, devant la collégiale, personne dans la rue, ni sur la place, il n’est pourtant pas bien tard.

- Cet endroit me rend libertin, je ne sais pas pourquoi !

- Parce que tu es un coquin !

J’attire à moi la belle, que je tiens déjà par la main, m’adosse à un arbre et l’embrasse, là, dehors, à la vue de tout le monde, bien qu’il n’y ait personne. Puis, alors que je sens ses seins à travers son fin chemisier, je lui souffle :

- Pas trop dure de ne pas avoir joui tout à l'heure ?

- Je n’y pense plus, ment-elle.

- Tu es sûre ? j’ai l’impression que, le moindre doigt sur ton clitoris te ferait décoller.

- Chiche ?

- On va aller encore un peu plus loin, cette fois, c'est toi qui vas te caresser le clitoris, comme je le fais souvent, juste avant que tu ne pisses.

Elle recule légèrement sa tête, me regarde à travers ses lunettes, avec un œil effronté, puis je sens qu’elle déplace sa main, sous sa jupe.

- Tu es un cochon ! Tu as de la chance que je t’aime…

Se décollant de moi, pour tenir debout toute seule, elle commence à se caresser le démarreur, et très vite, elle est contrainte de fermer les yeux.

Visiblement, je sens qu’elle est prête à exploser, aussi, j’enfonce le clou et lui dit encore :

- Vas-y, laisse-toi aller, pisse devant moi.

Là, c'est un rictus qui déforme ses lèvres et un léger son de cascade se fait entendre, la belle pisse tout debout, peu, mais tout de même !

Je ne la laisse pas finir de jouir et l’embrasse, puis lui roule une pelle baveuse, enflammée, passionnée.

Ses jambes tremblent, j’ai peur qu’elle perde un peu l’équilibre, mais elle se reprend et me traite de démon.

- Maintenant, c'est malin, il va falloir que je change de bas…

- Non ! Garde ceux-là, c'est excitant de dîner en sachant que tu as les cuisses mouillées, de ton urine et de ta cyprine.

- Salaud ! Tu m’excites encore !

Mais nous entendons le falun crissé, une personne se rapproche, une fois encore, très vite, la belle remet de l’ordre dans sa toilette. Puis, toujours en nous tenant la main, nous retournons à l’auberge.



Nous dînons tout en discutant. Je continue d’agacer, en disant, très discrètement tout de même, à ma compagne :

- J’adore quand tu te pisses dessus, lorsque tu as un orgasme. Mais, ce que je ne sais pas, c'est si tu te caresses quand tu es seule chez toi ?

- Tu es un petit vicieux.

- Oui, et tu aimes ça, mais ça ne répond pas à ma question.

- Oui, j’adore me donner du plaisir, et je sais très bien faire.

- Tu me montreras, à l’occasion ?

- Petit cochon !

En attendant, j’ai vu le serveur loucher sur ta poitrine, tu peux ouvrir discrètement un peu plus ton décolleté ?

Je sais Dany très exhibitionniste, et c'est visiblement ravi, qu’elle défait deux boutons, laissant largement apparaître le galbe de ses nichons ronds.

Certains convives, proches de notre table, s’aperçoivent que la mamie, nichons presque à l’air, se tape un petit dîner avec son mignon, mais, ni moi, ni elle, n’en avons cure.

Je surveille les faits et gestes du serveur, et constate, avec un plaisir pervers, son embarras quand il s’occupe de ma compagne.

Dany s’en aperçoit, et elle me dit, devant le serveur :

- Ça t’amuse !

- Oui, beaucoup ! Et j’avoue, que pour moi, les jolies choses sont faites pour être montrées !

À la fin du repas, alors que nous nous dirigeons vers l’escalier qui mène aux chambres, je croise le regard du serveur, et en profite pour lui faire un clin d’œil complice. Le type reste interloqué.



Une fois dans la chambre, j’attrape le bras de la belle et l’attire à moi, avant de l’embrasser tendrement, je la remercie :

- Merci pour ce délicieux repas.

- Merci à toi, d’être venu m’accompagner.

S’ensuit un long baiser gourmand, sûrement en guise de dessert, et des mains qui se promènent sur les deux corps.

- J’ai adoré que tu te masturbes, dehors, à la vue de tous, pour moi…

- Mais ! Il n’y avait personne !

- En es-tu réellement sûre ?

- Tu es un démon, voilà que je doute, maintenant !

- Ça te pose un problème de t’être exhibée en te masturbant ?

- Non, pas vraiment en fait.

- J’aime que tu te branles comme une collégienne.

- Oui, devant une collégiale ! C'est malin comme disait Belzébuth !

Après, cette petite joute verbale, je m’empresse d’allonger ma compagne à travers le lit, tout comme cet après-midi.

Elle se laisse aller, certainement en espérant reprendre aussi là, où nous en étions, juste avant ce mal de dos, dont elle ne sait quoi penser.

Cette fois, je prends le temps de lui retirer la jupe, doucement, précautionneusement. Je caresse ses jambes qui sont toujours enfermées dans le fin nylon. Et, avant de m’approcher pour déguster cette moule odorante, je la regarde bien droit dans les yeux, et lui dis :

- Attaquons ce fruit délicieux en guise de dessert.

La belle écarte ses cuisses pour m’accueillir au plus profond de son intimité, là où il fait chaud, là où la peau est la plus douce, là où c'est le plus humide, pas loin de la foret vierge en somme ! Seulement avec Dany, point de foret, pas même une légère steppe, rien, que la douce peau claire.

Cette fois, je me donne un autre défi, donner le maximum d’orgasmes à cette femme que j’imagine, peut-être à tort, en manque quand elle est loin de moi. Je commence donc par laper toute la vulve, passant entre les grandes et les petites lèvres, et quand je sens que Dany est au bord de l’orgasme, j’attaque le clitoris à la langue, jusqu’à ce qu’elle jouisse bruyamment.

Ses jambes se mettent à trembler, elle secoue sa tête dans tous les sens, son cri se transforme en râle qui décroît d’intensité. Ses seins sont encore secoués de toutes parts.

Je me redresse un peu, et fixe ses yeux clos en attendant qu’elle les ouvre.

Au bout d'un certain temps, la belle ouvre à nouveau les yeux. Elle me regarde, un peu interloquée, et me sourit.

Je lui souris à mon tour, puis replonge ma tête entre ses cuisses. Là, je recommence à jouer de ma langue sur son clitoris, un peu comme si c'était un médiator sur les cordes d'une guitare amoureuse.

Très vite, à nouveau, la femme blonde recommence à respirer fort. Puis, à râler doucement, pour enfin soupirer plus fortement.

Ma main gauche est sur son mont de Vénus, sa chaleur doit irradier le bas vendre de ma compagne. J’en profite alors pour laisser ma bouche aller sur la vulve, tout en continuant de cajoler le clitoris, mais cette fois avec mon pouce gauche. Je plaque ma bouche contre sa vulve et enfonce ma langue dans son vagin bouillant. Là, je fais comme si je lui roulais une pelle et agace les muqueuses de la plus belle des manières.

Dany sur le dresse un peu sur ses coudes me regarde puis, jette sa tête en arrière et retombe lourdement sur le matelas. Cette fois, elle pousse de petits cris et m'encourage en me disant :

- Oui... oui, encore... vas-y... Encore...

Il n'y a pas de raison pour que je n’accède pas à sa demande ! Et, à nouveau, je lui procure un orgasme effroyable.

Cette fois, elle me comprime la tête entre ses mains, comme pour immortaliser cet instant.

Je ne cesse pas, pour autant, d'agacer son vagin avec ma langue. Je n’arrête que lorsque je vois que la belle n'en peut plus, que ses jambes ont cessé de trembler, que ses bras retombent et que sa tête ne part plus de droite à gauche.

La jolie blonde cherche son souffle.

Là j'arrête ma perverse caresse et recule ma tête, en lui prenant les poignets et en attendant qu'elle se calme.

Cette fois-ci, elle met plus de temps à reprendre son souffle et à revenir du pays des orgasmes.

- Ça va ma belle ?

J’attends un peu, dans le silence de la chambre revenu, et je finis par entendre.

- Tu vas me faire mourir de plaisir, je n’en peux plus, c'est toi qui vas rester sur ta faim…

- Tu crois ?

Et je replonge ma tête entre ses cuisses.

Là, au lieu de me repousser, elle se laisse faire et m’annonce :

- Tu l’auras voulu, tes efforts ne seront pas récompensés !

Cette fois, je change de technique, et au lieu de me coller à la vulve, je reste à quelques centimètres et souffle doucement sur le clitoris, puis sur les petites lèvres.

Le contraste entre mon souffle chaud et les chairs qui se sont un peu refroidies, semble saisir la brave femme. Elle me jette un regard mi-courroucé, mi-attendri, puis s’exclame :

- Petit salaud !

Bien sûr que je suis un salaud, et j’ai envie de faire jouir cette vieille cochonne, le plus possible, qu’elle se souvienne toute sa vie de cette petite soirée.

- Dis-moi que tu n’aimes pas ça ? Et je continue à souffler, mais en plus, le pose ma main chaude sur le bas de son ventre, et appuie doucement sur le clitoris, sans le masser.

- Salaud ! S’écrit encore la jolie blonde.

Maintenant, je souffle vers le bas de sa fente, et, relevant quelque peu ses cuisses, sur le périnée, puis sur l’anus directement.

Je sens le ventre se gonfler et se dégonfler de plus en plus vite. Il semble bien que ce petit courant d’air fasse son effet. J’en profite pour appuyer encore plus sur le bouton d’amour.

- Faut-il que j’arrête ?

- Non !

De ma main libre, je vais chercher le nichon de Dany, et là encore, je prends le téton entre le pouce et l’index, et serre, mais doucement au début. Puis, excité par l’instant, je ne peux m’empêcher de plonger ma bouche sur cette vulve tiède, qui ne demande qu’à se réchauffer.

Toute la zone est détrempée, et avant, j’avais vu un très mince filet translucide couler vers l’anus, or, je sais que Dany ne veut pas que l’on touche à son trou du dimanche.

J’enlève ma main de son ventre, lui attrape la main opposée à la mienne et viens l’amener au niveau de sa chatte, là, je recule de quelques centimètres, et lui intime :

- Caresse-toi... Branle-toi…

Dans un premier temps, elle semble hésiter, puis me dit :

- Je n’ose pas…

- Si, branle-toi pendant que je vais te fouiller le vagin avec ma langue.

Et finalement, la blonde se met à se bricoler le clito avec son majeur.

Je replonge ma langue dans cette moule qui donne toute son eau maintenant. Je bois autant de cyprine que je peux, je prends bien soin de bien en avoir le goût en bouche.

Très vite, Dany se contracte à nouveau, ses jambes recommencent à trembler, et je sens qu’elle jouit encore une fois. Dany, tremble encore plus que les fois précédentes. Elle râle doucement, avant de crier son plaisir quand elle arrive au paroxysme de son orgasme.

Je me suis redressé et attends le moment propice.

La femme mûre termine son voyage au septième ciel, puis ouvre ses grands yeux, et me déclare :

- Je crois bien que je n’ai jamais joui autant, en si peu de temps.

Sans mot dire, je m’allonge sur elle, et viens lui rouler une pelle formidable. À la fin, je me redresse un peu pour me mettre en équilibre sur un coude et demande :

- As-tu senti le goût de ta chatte dans ma bouche ?

- Oui…

- Et alors ?

- C'est la première fois, j’avoue que c'est excitant.

Je ne pense pas qu’elle ne connaisse pas le goût de sa chatte, ne serait-ce que parce qu’elle se masturbe régulièrement, de ça, je suis maintenant sûr, et donc, qu’elle doit mouiller ses doigts avec sa salive, et donc avoir ce goût particulier, bien souvent sur la langue, mais je garde cette réflexion pour moi.

- Moi, j’adore te voir jouir, et surtout quand tu te masturbes, j’ai l’impression de rentrer un peu dans ta peau.

En disant cela, je me relève et lui demande :

- Et si, plutôt que d’être au-dessus du lit, on se mettait, dans le lit ?

Je l’aide à se relever à son tour, et je vois avec bonheur qu’elle titube un peu, ce n’est pas l’alcool, mais le plaisir d’avoir eu trois orgasmes qui la travaillent.

Je me mets nu, elle ne garde que ses bas, puis nous plongeons sous les draps.

Il ne faut pas longtemps, pour que, à force de baisers et de caresses, je recommence à bander, et mamie, à mouiller comme une collégienne. Très vite, voilà ma mie à cheval sur mon ventre avec ma bite dans le corps.

- Branle-toi encore, la belle.

Là, elle ne fait pas la difficile et se bricole le démarreur aussitôt.

Je lui pilonne la chatte en même temps et fais tout mon possible pour aller taper dans le col de l’utérus.

Elle crie, se met à trembler, puis jouit dans une longue plainte. Bien entendu, comme à chaque orgasme avec ma bite en elle, elle pisse.

Cette fois, il me vient une idée perverse, je récupère de son urine sur mon majeur, et lui colle dans la bouche.

Tout de suite, elle suce mon doigt avec avidité ! Elle boirait parfois sa pisse que ça ne m’étonnerait pas.

Après un dernier long baiser, elle, allongée sur moi, repu et contenter, nous nous endormons.



Le lendemain matin, il est plus de onze heures quand nous ouvrons les yeux. Elle me dit alors :

Il est trop tard pour aller prendre le petit-déjeuner !

Elle se frotte à moi, qui ne suis pas encore bien réveillé, puis porte sa main à mon sexe pour me caresser, et, bien entendu, je bande très vite.

Elle vient tout de suite sur moi, me chevauche, s’empale sur ma queue, et bouge son bassin frénétiquement.

- J’ai rêvé de toi toute la nuit, tu as intérêt à me faire jouir.

Aussitôt dit, aussitôt fait, mais là, je n’y suis pas pour grand-chose ! La belle s’envole dans un concert de petits cris, à me faire une publicité monstre dans cet établissement.

Le lit est encore mouillé des exploits de la veille, et voilà que Dany remet ça, mais cette fois l’urine est bien plus odorante.

Encore un petit moment de câlin, puis c'est la douche. Quand nous sortons de la douche, et alors que nous nous habillons, je demande encore à Dany :

- S'il te plaît, ne mets pas ton soutien-gorge.

- Mais, je dois passer voir mon fils en début d’après-midi !

- Justement, quand tu embrasseras ton fiston, tu penseras à moi…

Ensuite, nous descendons au restaurant.



Le serveur, qui, bien entendu nous reconnaît, me fait un drôle de sourire.

Dany est presque habillée de la même façon que la veille, à part son chemisier. Celui-ci est moins transparent. Aussi, je demande à la belle d’ouvrir discrètement son chemisier pour avoir un décolleté profond.

Le repas se passe tranquillement, seulement ponctué par la venue du serveur qui, visiblement, ne se gêne plus pour plonger ses yeux dans le chemisier ouvert, à son attention.

En début d'après-midi, ma compagne va voir son fils et passe une bonne heure avec lui.

Pour ma part, je suis remonté dans la chambre, et devant la boîte à mensonges, je me suis endormi.



Quand Dany revient, elle ne me réveille pas et je dors tout mon saoule jusqu’à dix-sept heures. Lorsque j’émerge, nous allons nous promener dans la ville. On se tient par la main, ce qui nous vaut des regards souvent curieux, parfois réprobateurs. Tout cela ne nous empêche en rien de nous arrêter régulièrement pour nous embrasser, et nous caresser impudiquement.

À un moment, alors que nous venons de nous caresser sous un porche, je demande à ma compagne :

Tu aimes être vu ?

Et toi, tu aimes me montrer ?

La réponse de Jésuite ! À une question, réponds toujours par une autre question… Avec un fils petit chanteur à la croix de bois, je comprends pourquoi elle a jeté son dévolu sur moi, vu mon patronyme !



Nous prenons un dîner léger, le concert tant à vingt heures. Alors même que nous sommes juste à côté, il va falloir faire vite.

Après être passés dans la chambre pour récupérer le caméscope et le pied, nous nous dirigeons en face. Les quelques pas qui nous séparent de l’église sont rapidement faits, nous entrons par la grande porte après que Madame ait montré son invitation, puis nous empruntons le petit escalier sur le côté qui amène à la plateforme juste au-dessus de la grande porte.

Pendant que ma belle blonde s’occupe d’installer le pied pour l’appareil, j’en profite pour venir derrière elle et lui peloter les nichons. Il semble que le lieu m’inspire, allez savoir pourquoi !

Loin de se soustraire à mes caresses, elle se laisse faire, et même, s’arrange pour que je puisse sortir ses seins. Elle a remis un soutien-gorge, pour venir ce soir ici, pendant que nous préparions le caméscope à l’hôtel.

Je n’ai de cesse que de retirer le sous-vêtement, certes en douceur, mais de le retirer tout de même !

Durant ce temps-là, Dany installe le caméscope sur le trépied. Quand tout est en place, elle se retourne et vient plaquer sa bouche sur la mienne pour m’embrasser. À cet instant, elle a son chemisier grand ouvert, et ses seins maintenant libres, puisque j’ai enfin réussi à défaire le panier à nichons.

Et pendant qu’elle m’embrasse goulûment, j’en profite pour aller sous sa jupe et faire glisser sa culotte. Car pour aller voir son fils, elle a mis aussi une culotte, à croire que le gamin vérifie ses sous-vêtements !

Ma mie me repousse doucement, soulève son pied droit, puis le gauche, de façon à se libérer de sa culotte, et me dit :

Attends, il faut que je règle la prise de vue.

Bon garçon, je me tiens tranquille le court moment du réglage, enfin, elle m’annonce :

ça y est, c'est prêt.

En attendant le début du concert, elle referme un peu son chemisier, et nous discutons à voix basse, de l’église, de la musique et des deux réunis.

Bientôt, le silence ce fait, ma blonde se jette sur son caméscope et vérifie, une dernière fois, les réglages, puis le met en route.

C'est vrai que cette chorale, avec la sonorité de l’église, ça donne quelques chose de fabuleux. Après, on aime ou pas la musique sacrée, néanmoins force est de constater que c'est très bien chanté, très bien orchestré et que c'est un ravissement pour les oreilles.

Nous passons un long moment à écouter (je n’ose dire écouter religieusement !) les chants des enfants.

Une idée me vient alors, je glisse à l’oreille de ma belle :

J’ai envie de te baiser ici, tout de suite, pendant que ton fils chante.

Elle ne répond rien, mais comme j’ai une main sous sa jupe, je teste sa chatte et me rends compte qu’elle mouille instantanément. Si je ne sais pas ce qui m’a donné cette envie, je ne saurai jamais, non plus, ce qui a tant excité cette femme, qui pourrait être ma mère.

Je passe derrière la belle, lui prend les poignets et viens placer ses mains sur la tablette qui sert de rebord à la plateforme. Là, ses mains seront invisibles depuis le sol. Je prends les hanches en main et lui fait reculer ses fesses. Là, je soulève sa jupe.

Dany reste sans bouger, on sent qu’elle attend mon sexe.

Je descends ma braguette, défais le bouton, et laisse mon jean glisser le long de mes jambes, pendant que, déjà en érection, j’enfile ma partenaire.

La blonde a une sorte de gros soupir, quand elle sent la bite lui rentrer dans le vagin, et très vite, sa respiration devient rapide.

Une fois ma queue plantée, et commençant doucement à faire des mouvements de rein, j’en profite pour passer sous le corps devant moi et prendre à pleine main ces gros seins doux et fermes, en même temps.

Elle se laisse tripoter et baiser ainsi, debout, penchée en avant, se tenant à une tablette de pierre. Elle a tout de suite un orgasme, et, comme à l’accoutumée, pisse. L’urine coule le long de ses jambes, et sur ma bite, puis mes couilles, avant que d’aller aussi le long de mes cuisses, mais en quantité bien moindre.

On a l’impression d’une nonne qui se fait baiser par un abbé, dans une abbatiale !

Excité par l’ambiance et le lieu, mais aussi de sentir ma bonne amie jouir, je deviens fou furieux et la baise comme un démon. Mais à ce rythme, je ne tiens pas longtemps ! Certes les chants couvrent la voix de ma cantatrice personnelle, mais j’ai bien senti les signes de son orgasme, outre la pisse, le vagin qui se contracte, comme s’il voulait maintenant mon foutre.

Dany a les mains crispées sur la pierre, ses doigts sont blancs tant elle sert fort.

Je jouis à mon tour et éjacule en plusieurs saccades. J’ai l’impression que mes jets sont de forte pression, mais ne serait-ce qu’une impression ?

Nous restons là, debout, emboîtés l’un dans l’autre, à reprendre notre souffle. Je suis le premier à rompre ce silence, très relatif puisque nous sommes entourés de chants et de musique.

- Désolé, je suis parti trop vite !

La belle se désaccouple en avançant son bassin, se retourne, et vient me rouler une furieuse pelle.

- Ne t’inquiète pas, c’était très bien.

- Merci ma chère.

- De toute façon, tu t’en es bien rendu compte ! Vilain coquin.

Je souris sans répondre.

- Aide-moi, je vais retirer mes bas, parce que ce sera plus discret jambes nues, qu’avec des bas tout mouillés !

Dany prend appuie sur mon bras, que je mets à sa disposition, et retire ses bas. Puis, une fois qu’elle les a roulés, m’annonce :

- On ne va pas les jeter ici, prends-les dans ta poche.

Nous passons un bon moment comme ça, ma belle la jupe relevée, les seins à l’air, ses tétons parcourus de petits frissons et la chair de poule autour. Moi, la queue visqueuse, le jean sur les chevilles, à se câliner.

D’un coup, Dany me repousse tout doucement, et, en se réajustant, me dit :

- Allez, ça va finir, on plie pour ne pas être dans la cohue.

Et me voilà repartir avec des bas mouillés de pisse, roulés en boule, dans ma poche arrière !



À l’hôtel, on prend une douche ensemble, puis, une fois sec, on se met au lit, mais là, même avec une grosse envie de cochonnerie, on s’endort tous deux.



Le lendemain matin, Dany me réveille en me secouant et me disant qu’il faut qu’on parte, elle a un rendez-vous à Tours et il ne nous reste que peu de temps, pour la route.

Je saute rapidement dans mes fringues et suis prêt en un éclair. Pendant que la belle paye, je range les affaires dans le coffre, et je l’attends avant de m’asseoir sur le siège passage.

C'est vrai qu’elle a fière allure, petite veste de tailleur, jupe assortie, évidemment, chemisier fin, escarpins à talons aiguille, un grand sourire et ses lunettes cerclées d’or, c'est un vrai tableau !

Durant le trajet, qui se fait à petite vitesse, sa coccinelle n’étant pas une voiture de sport, et en plus, elle veut l’économiser, vu que c'est une voiture de collection. La belle me raconte quelques passages de sa vie. Mais que des bribes, impossible de reconstruire son histoire avec tout ça. Elle me parle d’une nuit où, allongée sur le dos, son amant de l’époque, à cheval sur sa poitrine, ses genoux sur ses biceps, lui avait donné des gifles avec sa queue, durant un long moment, elle en gardait une sorte de haine. Je n’en ai jamais su plus.

Nous arrivons à Tours, puis dans ma rue. J’embrasse encore amoureusement ma compagne, en la remerciant pour ces deux jours et je descends, récupère mon sac de voyage, et rentre chez moi.



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