060708 Les fesses rouges
Ce samedi, Nanou arrive dans l'après-midi. Elle a fêté la fin de l'année scolaire la veille, et les filles ont été faire une chouille au resto, pour finir en boîte.
Bien sûr, comme d'habitude, S114 a fait sa pute de base et elle s'est fait sauter par deux mecs. Et, évidemment, comme ce n'était pas prévu, elle ne m'a pas prévenu avant.
Donc en arrivant, elle explique tout de suite ce qui s'est passé en boîte et qu'elle s'est fait baiser. Par le premier sur le capot de sa bagnole. Ensuite, elle est retournée voir ses copines et picoler. Puis, sauter par le deuxième dans une estafette. Et comme elle avait picolé, elle ne s'est pas rendu compte de tout, néanmoins il lui semble bien qu'il y avait du monde, pour regarder, pour la tripoter, parce qu'elle a senti beaucoup de mains sur elle.
Je pense effectivement qu’elle me raconte les choses, comme elles sont dans son souvenir. Je sais que bourrée, et même si elle tient particulièrement bien l’alcool, elle fait n’importe quoi, et que son cul commande.
- Comme tu ne m’as pas prévenu, tu connais le tarif !
- Oui…
- Alors, à poil, et après, à quatre pattes sur le canapé.
Elle obéit instantanément et retire ses fringues. Ça va vite, car comme d’habitude, elle ne porte pas de sous-vêtement. Ensuite, elle grimpe sur le sofa et adopte la position demandée.
Je commence par lui chauffer les miches avec le martinet. Je finis même par poser de jolies marques rouges. Ensuite, je prends la cravache, commence par la faire siffler à ses oreilles, ce qui la stresse toujours beaucoup, puis abats mon instrument sur les fesses, déjà douloureuses. Je n’en fais pas de trop avec ce jouet, et, quand j’estime en avoir terminé, je l’aide à se relever.
- Ça va ?
- Oui, ça fait mal, mais je l’ai mérité.
- Oui ! Que tu sois une grosse salope toujours prête à te faire baiser, c'est très bien, c'est ce que j’aime, mais je veux être au courant si je ne suis pas présent, tu comprends ?
- Oui maître !
Quand elle m’appelait "maître", ça signifiait qu’elle avait besoin de se faire corriger, ou qu’elle acceptait la punition, comme maintenant.
Ensuite, ne voulant pas rester sur une note négative, je l'emmène dans la chambre, j'installe une serviette rose en travers du lit et la positionne de nouveau à quatre pattes.
- Ne bouge pas.
Je fouille dans mes affaires et rapporte un plug rose de taille moyenne, le god noir, moyen lui aussi et un pot de crème hydratante. Je m’assois sur le bord du lit, ouvre le pot de crème, y plonge deux doigts et enduis l’anus de ma salope lentement, mais sûrement.
- Ça va mieux, ton trou qui pète ?
- Oui…
- Et ton trou qui pue ?
- Oui, de ce côté-là, ça va bien.
Je m’empare alors du plug et lui travaille l’œil de bronze avec. Le muscle s’ouvre et finit par laisser passer tout le jouet, jusqu’à sa base plus large.
- Et là ?
- Ha oui ! Ça va bien, je me sens pleine, j’adore…
Je prends alors le god noir, le passe pendant quelques secondes sur la vulve qui suinte de plus en plus et finis par le faire entrer dans ce vagin bouillant et glissant à souhait.
La salope se régale visiblement. Elle ronronne, couine, mais attend gentiment la suite des évènements.
- Vas-y, branle-toi, maintenant.
Elle ne se fait pas prier, envoie sa main sur sa vulve, et commence à s’astiquer le démarreur, d’abord doucement, puis de plus en plus vite.
Je ne suis pas ne reste, je m’amuse à entrer et sortir le god, pas complètement, juste à le faire coulisser dans le vagin. Puis, je fais le même cirque avec le plug, ouvrant ainsi en grand l’anus, que je compte bien utiliser plus tard.
Bientôt, elle se met à chanter, ça va encore me faire de la pub avec ma jolie voisine du dessus. S114 gueule son plaisir à tue-tête. Et elle finit par se tordre dans tous les sens et pisser de bonheur sur la serviette. Puis, visiblement épuisée par cet orgasme, elle tombe sur le côté, les jambes tremblantes, son corps secoué de spasmes.
Je me régale un bon moment du spectacle, de ce plaisir intense que je lui ai donné. Le reste de la soirée sera beaucoup plus calme.
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