060917 Fist et compagnie
En ce dimanche, au alentour de seize heures, alors que nous comatons tranquillement devant la boîte à mensonges, je sens ma salope qui se dandine sur le canapé.
"Tiens ! On dirait qu’elle cherche des chatouilles entre les orteils, enfin, surtout entre les deux gros." Aussi, je me lève et annonce :
- En piste, je vais te fister et prendre quelques photos.
- Bien Maître.
Il suffit qu’elle sache qu’elle va se faire remplir le récipient à gosses, pour qu’elle se mette à mouiller.
Nous changeons de pièce, très vite, elle se retrouve nue, allongée, sur le ventre, sur le grand lit de la chambre à coucher.
Je vais dans la salle de bain et reviens avec un pot de crème Nivea. C'est cette crème qui me sert le plus souvent de lubrifiant.
- Allez, à quatre pattes.
La soumise obéit immédiatement et se met à quatre pattes, sachant pertinemment que je vais m'occuper de sa salle de jeux et de la porte des chiottes.
Je commence donc, après avoir enduit l’entrée de sa moule de crème, à approcher mes doigts en formant un cône. Je n'ai pas de mal à fister rapidement S114, qui est toujours très ouverte.
La grosse grogne, mais de joie. Sa chatte a l’habitude de voir passer du gros, que ce soit en bite, en objets divers et variés ou en légumes, par exemple.
Près de moi, j'ai ma valise magique, dans lequel il y a un tas de jouets. De ma main libre, je prends un god noir de taille un peu plus que moyenne. J’enduis l'anus de crème. puis place le god dans l'anus qui frétille. À chaque fois, je me sers de ma main libre pour faire quelques photos.
- Branle-toi le clito, ordonnai-je alors à ma soumise.
Elle ne se fait pas prier et projette sa main droite sur sa vulve. Ses doigts sont très vite sur son démarreur à plaisir.
J'en profite pour ressortir un peu ma main, tout en laissant quatre doigts dans le vagin et jouer, avec mon pouce, pour caresser l’anus et faire rentrer le godemichet. Là, j’attends que la belle se fasse plaisir avec son clitoris, serre les miches et que le jouet ressorte. J'en profite également pour lui filer une petite fessée, ça ne mange pas de pain et ça fait toujours du bien.
Je retire le god noir et prend un plug rose, que j'installe à nouveau dans l'anus. Une nouvelle bonne paire de claques sur les fesses plus tard, je plonge encore ma main dans cet antre bouillant et détrempé.
La pétasse gueule son plaisir à tue-tête. Avoir ses deux trous occupés la fait toujours beaucoup jouir.
J’en profite pour ouvrir et fermer mon poing à l’intérieur de sa moule, je sais tout le bien que fait ce genre d’opération, dans une femme, et celle-là n’échappe pas à la règle. Quand je finis par ressortir ma main, j’ordonne :
- Branle-toi jusqu’à ce que tu éjectes le plug.
La salope se masturbe énergiquement, l’objectif est de faire ressortir l’anus-picket de son gros cul. Opération assez difficile, car l’objet est justement parfaitement adapté au rectum et étudier pour pouvoir rester en place longtemps.
Je prends alors ma pétasse en photo, avec son bon plug dans le cul et ses efforts pour l’éjecter. Je n'ai même pas besoin de l’encourager à se bricoler le clitoris, elle s'en occupe, automatiquement, toute seule.
Finalement, elle réussit à faire ressortir le jouet de son œil de bronze. Il faut dire que cette enculée a le muscle détenu, vu tout ce qui passe par là.
Je prends le temps de faire quelques photos de cet anus encore entrouvert, tout auréolé de crème Nivea, pendant que la salope s’astique le bouton.
Dans ma valise, j'avais récupéré quelques tampons hygiéniques, en disant qu'un jour ou l'autre, ça pourrait bien me servir. Effectivement, je prends un tampon, qui est dans un emballage plastique, défais l’emballage et glisse le morceau de coton dans le fondement de S114. Et je lui dis :
- Je viens de te mettre un tampon dans le cul, on ne sait jamais, des fois que tu aies les règles par le cul, comme la grosse enculée que tu es.
- Oui maître.
- Allez, retourne-toi morue, jambes bien écartées, mains derrière la tête, qu'on voit tes mamelles de truie et ta grosse moule de pute.
Une fois qu’elle est sur le dos, je me lève, m’empare du martinet et commence à lui travailler la vulve à coups de martinet, plutôt doux et sympas. Je n’appuie pas trop mes coups pour le moment.
La chienne adore ces caresses étonnantes, avec cet ustensile.
- Remets-toi à quatre pattes, salope.
Une fois de plus, la soumise obéit et se retrouve à quatre pattes, le cul tendu vers moi.
J'en profite alors pour le marquer un petit peu, à coup de martinet, plus forts cette fois-ci.
Visiblement, ma salope aime ça, puisqu’elle mouille sous les coups.
J’attrape d'une petite sacoche bleue, dans laquelle j'ai un tas d’ustensiles métalliques. Des poids, des plombs de pêche, des pinces à linge en fer, des pinces à lèvres, des grelots, etc... Bref, le parfait petit attirail du joyeux pervers.
- Allez, mets-toi debout, je vais te faire porter des poids sur les lèvres.
Sans autre forme de procès, la pétasse se met debout sur le lit, les bras le long du corps.
J'en profite pour lui poser des pinces, à double effets, sur les grandes lèvres. Puis, j’y attache des poids, un à un, au bout de leur petite ficelle. Ce qui a pour effet de resserrer encore plus les pinces.
La grosse grimace un peu, mais ne dit rien, du moment qu’on s’occupe de sa chatte, elle accepte beaucoup de choses.
Arrivée à un certain nombre de poids, je vois S114 faire une drôle de grimace et finir par fléchir les genoux de manière que les poids, les plus bas, reposent sur le drap.
Ça la soulage alors quelque peu. Elle finit par se mettre à moitié accroupi, le visage défait, les poids tous posés sur le lit.
Je prends quelques photos, mais sa grosse panse masque un petit peu les lèvres. Je décide de changer de jeu.
Je retire les pinces et les poids, range tout mon petit matériel dans le sac bleu, puis ordonne :
- Sur le dos.
La morue exécute l'ordre, mais cache ses yeux, car elle est trop fière. Elle ne veut pas me faire voir qu'elle a eu mal et qu'elle pleure.
J'en profite alors pour lui intimer l’ordre :
- Très bien ça, reste les yeux fermés, tu n'as pas besoin de voir ce que je suis en train de préparer.
Et tranquillement, je vais dans le salon, m’empare de son petit téléphone à clapet. Je reviens, fourgonne encore dans mon sac à malices. Je sors une capote que je décachette. Je glisse l’appareil de communication dans la capote et j’enfile la capote dans le vagin, toujours trempé, de la grosse.
Pour les jeux soient encore plus intéressants, j'attrape mon petit flacon de baume du Tigre et masse délicatement le clitoris avec la pommade chinoise. Quand ça commence à chauffer et que je vois que ça déclenche des soubresauts, je demande :
- Sais-tu ce que tu as dans la chatte ?
- Non Maître.
Alors, je prends mon propre téléphone et compose son numéro.
Son téléphone est sur vibreur, c'est plus pratique, si un de ses amants l'appelait, ce serait plus discret.
Comme S114 a déjà eu, plusieurs fois, le téléphone dans la chatte, elle reconnaît immédiatement les vibrations et elle s'exclame :
- Mon téléphone
- Oui, c'est ça…
Son clitoris lui chauffe de plus en plus. Elle s’en plaint :
- J’ai le clito en feu !
- Tripote-toi le bouton plus fermement.
Et pour couronner le tout, je compose plusieurs fois son numéro pour que les vibrations l’aide dans sa quête d’orgasmes.
C'est ainsi que ma salope a un orgasme. Elle crie, est secouée de spasmes.
Je la laisse jouir tout son saoule. Quand les choses se calment, j’ordonne encore :
- Pousse et ponds-moi un œuf Orange*, ça changera du jaune...
- Je n'y arrive pas.
- Force, tu l’as déjà fait, rappelle-toi l’œuf dur que tu as pondu par la chatte.
* Orange, fournisseur de téléphonie
Elle pousse et finit par faire ressortir le petit téléphone de sa chatte.
Je prends encore quelques photos, puis lui dit :
- Parfait ! Debout, on va faire des photos pour internet, maintenant.
Je l’aide à se lever et l'emmène dans le salon. Là, je prends, dans son sac à main, son rouge à lèvres et lui écrie sur la panse :
« NANOU SALOPE FISTEE POUR VF »
- Et que veut dire « VF » ? me demande ma pétasse.
- Viande Française… Je t’ai mis sur un site de viande à bites, ça te fait plaisir ?
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