060923 une fessée

 

En ce beau samedi 23 septembre, je déjeune seul. Une fois de plus, Nanou arrive en début d'après-midi, car elle avait un rendez-vous avec la banque, en fin de matinée. Et la veille au soir, elle est sortie en boîte.

Encore une fois, dès qu'elle arrive, je la fais mettre un quatre pattes sur le canapé et vérifie ces trous à plaisir. Son anus est encore entrouvert, pas totalement fermé et sa chatte détrempée. Visiblement, elle s’est encore pris du foutre dans les trous. Je lui demande alors :

- Tu t'es encore fait baiser en boîte ?

- Oui, c'est vrai, je suis sorti hier soir, on avait un peu picolé avec Michael, on est sorti à la "dame", et je me suis faite baiser, je ne me rappelle plus trop comment, ni par qui.

- Comme d'habitude ! Tu t’es bourré la gueule et tu as été ensuite te faire fourrer comme une truie !

- Oui, Maître, désolée !

- OK, tu connais le tarif, tu ne m'as pas demandé l'autorisation avant.

Là-dessus, je m’installe et je me régale de la vue de ce gros postérieur que tant de mecs utilisent. Je les imagine découvrir ce cul, imposant, mais musclé, pas gras, pas mou. Et, en écartant les fesses, trouver cet œil de bronze, qui appelle à la sodomie. Fourrer des doigts, parfois la langue, dans ce fion fait pour la pine. J’entends presque les mecs dirent qu’ils ont envie de l’enculer, certains lui demandant l’autorisation, d’autres prenant possession des lieux sans rien dire, d’autorité.

Et la pétasse, mouillant de l’anus à l’idée de se faire remplir le rectum, d’en prendre plein le pot, de se retrouver avec une bonne dose de sperme dans les boyaux. De faire du "caca marbré" le lendemain matin.

Nanou est une folle de bite, mais aussi de foutre. Bien entendu, elle connaît les maladies qui traînent, les risques sanitaires qu’elle prend. Mais elle ne peut s’empêcher de se faire remplir les trous de sirop de couilles chaud ! Et tous les trous, car elle aime aussi boire le jus. Et ça, les mecs sont friands de ce genre de salope qui pompe jusqu’à la dernière goutte et qui avale en se délectant. Et ce n’est certes pas l, sirop de corps d’homme, qu’elle avale, qui lui fait gonfler la panse !

Puis, revenant aux choses plus consistantes, je lui file une grosse fessée.

Ma pétasse grogne comme une truie, mais reste néanmoins en place. Ses fesses prennent une jolie couleur rose foncé.

- Te rappelleras-tu que tu dois me demander avant d’aller te faire mettre, comme une grosse pute ?

- Oui, Maître.

- Bien, tu peux te relever… Passons aux photos.

Je vais chercher la bouteille de pétillant dans le frigo, fais sauter le bouchon, et reviens dans le salon.

Pendant mon absence, pensant que la punition est terminée, la pétasse s’est rhabillée.

Je sers deux verres, nous trinquons.

Elle boit une coupe, une deuxième coupe.

Là, je me dis qu'elle va vider la bouteille d’un coup et prendre rapidement une cuite. Aussi, je lui dis :

- Allez, debout et remonte ta robe.

Je prends quelques photos, sur lesquelles on peut voir les traces des doigts de la main. Puis, ayant ma petite idée en tête, j'ordonne :

- Maintenant, à quatre pattes sur le canapé.

- Encore ?

- Oui, encore, comme tu dis…

Cette fois, je lui donne une vraie bonne fessée. Mais sur des fesses qui ont déjà été marquées, ce qui est beaucoup plus intéressant, d'un point de vue douleur. Enfin, surtout pour elle. Je ne m'arrête de lui donner la fessée, que quand elle commence à renifler et qu'elle a les larmes aux yeux.

- Pitié, Maître, ça fait mal !

- Oui, ça fait mal ! C'est une punition, je te rappelle ! Hier, quand tu te faisais du bien avec des inconnus, tu savais bien qu’il y aurait le retour de bâton, non ?

- Oui, Maître, mais là, ça fait vraiment mal...

Estimant que la punition pouvait être levée, je me redresse, me relève et lui demande :

- Allez, debout, je vais prendre ton gros cul rouge en photo.

Elle se met debout et se prête à mes prises de vue.

Elle en profite pour se servir une nouvelle coupe de bulles, et garde son verre à la main pendant le shooting.

Ensuite, je lui fais part d’une discussion sur mon ordinateur et nous allons dans la petite salle à manger, dans laquelle trône mon bureau et donc, mon ordinateur. Là, je décide de faire encore des photos. Je lui demande de se mettre à genoux sur l'assise du fauteuil crapaud, les fesses bien en évidence, ses belles marques rouges bien visibles. Et je prends encore quelques clichés. Puis, je leur donne l’ordre :

- Allez, fous-toi à poil, complètement.

- Avec plaisir, Maître.

Très vite elle se retrouve nue comme un ver, voire comme un verre, qu’elle vient de vider d’un trait et pour lequel, elle me demande une mise à niveau.

Je lui remplis donc encore sa coupe, le temps qu’elle se dénude.

Je la prends encore en photo totalement à poil. Bien sûr, toujours en train de boire un coup ! Mais bon, on ne peut pas tout avoir, c'est une pochtronne certes, mais c'est un jouet fabuleux. Je fais donc une série de photos puis je l'autorise à s'habiller, ce soir, nous allons aller dîner au restaurant.











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