061022 Soirée Jean-Pierre et Sylvie au restaurant

 

C'est un dimanche, en fin de journée, que Jean-Pierre et Sylvie viennent nous rendre visite. Il est un peu plus de vingt heures trente, et la nuit est tombée depuis bien longtemps. Je les accueille devant la porte, me plaçant de telle façon que je réserve la place de stationnement, presque devant chez moi, dans la rue, les places sont chères !

Ma pétasse aime beaucoup Jean-Pierre, son côté dominant, les vacheries qu’il peut dire aux gens sans en avoir l’air. Et aussi Sylvie, une bonne vieille pute, qui la prend doucement en main pour l’amener, du moins je l’espère, à se gouiner.

Alors qu’ils descendent de voiture, Jean-Pierre en profite pour intimer l’ordre à son épouse soumise, de se pencher à l’arrière et de montrer, son propre train arrière !

La salope reste ensuite, dans la rue, avec son imper, en simili cuir noir, ouvert, sa robe débrayée, les nichons et la chatte à l’air. Elle porte un bustier porte-jarretelles, un redresse mamelles, des bas et des cuissardes. Tout ça augure d’une bien bonne soirée.

Comme très souvent, j’en profite pour immortaliser tout ça. Enfin, ça restera immortel, tant que les ordinateurs vivront !

Pour ce soir, nous avons décidé d'aller au resto. Et comme c'est pour faire des grosses cochonneries, on va éviter les restaurants qui nous attirent par le côté gastronomique. Nous allons dans une taverne, place Jean Jaurès, l'Univers. C'est un lieu très fréquenté, on devrait pouvoir s'amuser. Avant d'aller à la taverne, on s'arrête pour retirer de l'argent au Crédit Agricole. Il faut rentrer dans une sorte de grand sas, dans lequel il y a plusieurs guichets automatiques et, bien sûr, des caméras. Les deux salopes ont le cul à l'air pour prendre du pognon, ça fait vraiment pute, c'est génial.

Bien entendu, Jean-Pierre ne peut s’empêcher de faire le couillon et joue avec le parapluie entre les fesses de ces dames. Puis, ces salopes se rhabillent un peu, pour aller jusqu’au restaurant, qui est à deux pas

Nous demandons à être placé dans une sorte de compartiment de train à l’ancienne, c'est plus intime et bien mieux pour faire un peu d’exhibition sans en avoir l’air.

Mais ce soir-là, n’étant absolument pas passionnés de foot, il y a un match important (mais pour qui ?). Et, si tout le monde peut nous voir, personne ne regarde, tous les yeux étant rivés sur les différents grands écrans dans la salle.

Sylvie ne se gêne pas pour montrer ses atouts, et entraîne ma chaudasse dans cet exercice. Mais, à part le serveur qui pique un fard à chaque passage, personne ne se rend compte du cinoche de nos pétasses. À la fin du repas, nos deux gouinasses sont les mamelles à l’air, se tripotent et se font des petits bisous, ça devient torride.

Ensuite, petite balade dans les rues de notre bonne ville de Tours et, bien évidemment, chattes et mamelles à l'air régulièrement. On s'arrête devant chaque vitrine bien éclairée, histoire que ces dames soient bien visibles de tout le monde, mais en ce dimanche soir, c'est très calme dans les rues. En fait, Tours vit du lundi au samedi et le dimanche tout est mort. Sylvie jette son dévolu sur un magasin de fringues, qui est tout proche du sex-shop, un lieu glauque à souhait, où nous avons décidé de nous rendre, pour se mettre quasiment à poil et entraîner, une fois de plus, ma grognasse.

Avant de rentrer dans le sex-shop, une bonne pisse de Sylvie. Se montrer en train de pisser ! Ça, c'est quelque chose qui la motive particulièrement.

Une fois qu’elle a terminé ses besoins, dans la rue, comme une chienne, nos deux pétasses remettent en ordre leur tenue pour rentrer dans le sex-shop.

C'est bien une idée de Nana que de s'arranger la tenue au mieux, alors qu'elles savent pertinemment, qu'elles vont se foutre à poil.

J'appuie sur le bouton d'ouverture de la porte et attends que le patron ait bien envie de nous ouvrir, pour rentrer dans son magasin. Ce type était déjà propriétaire du premier sex-shop de tours, derrière la cathédrale, quand j'avais à peine vingt-cinq ans. D'ailleurs, son ex-épouse tient aujourd'hui un autre sex-shop, qui s'appelle vidéo libertine. Un endroit assez sympa, bien que petit.

Nous rentrons donc en file indienne dans le magasin exigu. Bien entendu, le patron n’oublie pas de faire payer quatre entrées, comme s'il avait régulièrement deux couples qui venaient visiter son boui-boui ! Bref, ne cherchant pas plus loin avec ce succédané de porte de prison, je paye les entrées, alors que Sylvie demande ou ce qu'elle peut déposer ses affaires.

Le type, bourru comme pas deux, désigne du doigt une petite pièce sur le côté où il y a des portes-manteau et lui dit :

- Là, c'est prévu pour.

L’épouse soumise entre et ressort au bout de deux minutes, cette fois juste avec son bustier porte-jarretelle, ses bas et ses cuissardes. Les nichons en avant, sa chatte glabre à disposition de tous les vicelards du coin. Elle demande alors de pouvoir laisser son sac à main derrière le comptoir, au patron revêche.

Celui-ci se rince copieusement l'œil et accepte.

Ensuite, c'est au tour de ma pétasse de se mettre en tenue de pute. Elle ressort pratiquement à poil, avec simplement son redresse seins et ses bas. Elle donne également son sac à main, à garder, au patron.

Toujours en file indienne, nous pénétrons dans le back-room sombre. C'est en fait une série de petites salles avec des téléviseurs et de couloirs, où pas mal de mec circulent et font de grosses cochonneries. En empruntant le premier couloir tout droit et en tournant au bout à droite, nous accédons à une salle assez grande. Les murs y sont noirs à mi-hauteur et carrelés en partie basse. La pièce est équipée d’une croix de Saint-André et une autre petite pièce, qui ne ferme pas, avec une cage en chaîne métallique. L’endroit est très sobre, et nous nous éclairons à la lueur de nos téléphones, et des flashs des appareils photos.

Dès notre arrivée dans cette petite pièce, Jean-Pierre ordonne à sa salope :

- Allez, devant la croix.

Sylvie, totalement joueuse, accepte de bon cœur d'être attachée à la croix. En fait, les attaches sont constituées de lanières de similicuir avec des scratchs.

Il est assez aisé de se détacher, mais peu importe, l'important, c'est le jeu. Il y a également une chaîne au bout de laquelle est placée une petite cravache. Jean-Pierre, toujours prévoyant, a apporté le collier de chienne de sa salope et la laisse qui est faite d'une chaîne métallique assez fine. Il équipe donc son épouse de ce petit attirail, puis il lui pose une autre chaîne, plus courte celle-là, terminée par deux pinces, sur les grandes lèvres. Ensuite, il y attache des poids de pêche et lui enjoint de bouger son bassin, pour faire balancer les poids.

Visiblement, Sylvie aime beaucoup ça, même si elle fait une drôle de tête à chaque balancement. Car ça doit, de toute façon, tirer sur les chairs.

Je demande à S114 de se placer à côté de la croix de Saint-André. Je lui mets en travers de la gueule, la poignée de la laisse. Photos de nos deux putes. Ensuite, c'est au tour de ma grognasse d'être attachée à la croix de Saint-André, par les mains uniquement, alors que Sylvie s'amuse toujours à faire balancer les poids, au bout de la chaîne, attachée à ces grandes lèvres. Toujours très joueuse, elle ne peut s'empêcher de lécher les nichons de S114, ce qui a pour effet d'exciter énormément les trois, quatre mecs, qui sont dans la pièce et qui suivent des yeux, l'exhibition de ces deux salopes.

Ensuite, Jean-Pierre installe sa soumise dans une sorte de cage, faite de chaîne métallique et d'un petit plateau rond, en bois, à la base.

Pour faire bonne mesure et pour tester un peu le matériel, je fais monter sur le plateau également la grosse.

Les deux salopes se retrouvent panse contre panse, nichons contre nichons, à se regarder dans le blanc des yeux. Encore que ma pétasse soit plus grande que Sylvie. Les deux fausses gouines donnent un petit peu d'élan et la cage commence à se balancer. Ç’a l'air de beaucoup les amuser.

Bientôt, je fais descendre S114 pour qu’elle reste debout, juste à côté de la cage, les mains dans le dos et offerte en pâture aux mecs qui nous ont suivi.

Pendant ce temps-là, Sylvie s'amuse comme une petite folle, à se balancer dans la cage.

C'est alors que Jean-Pierre a une autre idée, il l’aide à descendre de la cage et l’installe dans la balançoire d’amour, appeler aussi swing. C'est une sorte de petit hamac dont l'assise est faite d'un cuir souple qui permet d'avoir l'entrée de la salle de jeux et des chiottes à disposition.

Je demande alors à Jean-Pierre d’équiper les grandes lèvres de ma pétasse avec les pinces, la chaîne et le poids.

Il retire les pinces des lèvres de son épouse et lui refile un petit god pour qu'elle s’amuse avec. Ensuite, il instrumente la grosse de la même manière que l’a été sa femme.

Les mecs, qui étaient à l'affût et suivaient tout notre petit manège, réussissent finalement à s'approcher. Bientôt, Sylvie se fait lécher l'abricot par un jeune homme brun, visiblement très vicieux, mais qui sait s'y prendre. Ma salope, semblant bien obéir aux ordres de Jean-Pierre, se met à onduler du bassin, pour faire balancer le poids, sous ses directives. Les pinces lui étirent copieusement les grandes babines.

En même temps qu'elle se fait lécher l'abricot, Sylvie en profite pour tripoter le clitoris de sa copine, qui se laisse faire facilement. Encore une fois, pour une femme cent pour cent hétéro, la grosse se pose là !

Bientôt, un bonhomme avec un gros bide, vient bouffer les nichons de ma salope et on profite pour le triturer la moule. Il prend possession du corps de la pétasse sans s’occuper de ce qu’elle pourrait dire, il a bien compris qu’elle est là pour servir de vide-couilles.

Jean-Pierre lui retire les pinces des lèvres, pendant que le mec retire son pantalon. Voici donc nos deux salopes qui sont aux prises avec deux hommes. La grosse se laisse plutôt faire. Sylvie est, elle, beaucoup plus active, tripote la queue d'un des types, les nichons de ma salope. Bien qu’il y ait un fond sonore, que produisent les différents films de cul, on peut entendre le clapotis que font les doigts boudinés, dans le vagin inondé de S114.

Corrections

Bientôt ma pouffiasse se retrouve accroupie, en train de pomper la grosse pine, du monsieur à gros ventre. Le type a un physique particulier, il a une bedaine monstrueuse, sous laquelle une bite, pas très longue, puisqu’en partie noyée dans la graisse, mais bien large et des grosses couilles. Visiblement ça ravi ma pétasse.

Le petit jeune, lui, décide de lui tripoter le cul, mais manque de pot (si j’ose dire) Sylvie ne se fait pas sodomiser. Si elle a une chatte serrée, c'est encore pire derrière. Et je ne sais même pas, si une fois, elle s’est fait ouvrir le passage sous ses reins. Toutefois, il approche sa queue de la boîte à gosse et la baise. Quand il se retire, la queue flasque, le préservatif rempli, la femelle reprend son souffle.

C’est alors que Jean-Pierre ordonne à sa salope de laisser la balançoire à ma grognasse, qui s'y installe aussitôt.

Elle se fait, très vite, dévorer la minette par le gros bonhomme. Puis celui-ci ayant une bonne gaule, quoique sa bite soit un peu courte, enfile en moins de deux, une capote et pine la putasse dans cette balançoire.

Bien sûr, la pétasse râle de plaisir, comme à son habitude, ce qui encourage encore l’homme.

Il en profite pour tripoter aussi la moule de Sylvie, qui plaît toujours beaucoup. Visiblement très excité, il jouit très vite dans sa capote, dans la moule de la grosse. Il semble ne pas en avoir eu assez, ou du moins, d’en vouloir plus, car à peine son préservatif dans la poubelle, il revient et trifouille la moule de S114 de ses gros doigts.

Ma salope s’envoie en l’air, elle a trois orgasmes coup sur coup, ce qui interpelle d’ailleurs sa copine, un petit peu dubitative, voire envieuse, qui elle, se fait toujours tripoter par plusieurs mecs, alors même qu’elle se vrille le démarreur avec son godemichet.

Alors que d'autres mecs arrivent, attirés par les cris de plaisirs, mais surtout pour regarder, car ils n'osent pas s'approcher des deux femelles en chaleur. J’aide ma soumise à sortir de sa balancelle à plaisir et l’emmène de nouveau sur la croix. Je fais quelques photos, le gros bonhomme en profite encore pour malaxer les mamelles de la pétasse.

Un peu plus tard, Sylvie, qui nous a rejoint, pose les pinces qu'elle, avait au début sur les lèvres, sur les tétons de sa copine. puis lui attache des poids.

C'est l'objet d'une nouvelle série de photos.

Le gros bonhomme, qui a baisé ma pétasse, transpire comme un bœuf, mais lui, c'est un vrai vicieux et il n'arrête pas de tripoter les deux salopes, autant qu'il peut.

Il visite tellement loin, la grotte de ma soumise, qu’elle a alors deux orgasmes, l'un tout de suite après l'autre. Quand ses pattes ont fini de trembler et qu'elle revient un peu sur terre, elle commence à dire qu'elle a une grosse soif. Visiblement Sylvie aussi et un peu fatigué par la séance.

Aussi, Jean-Pierre et moi, on se regarde, on se fait un clin d'œil et puis, j’annonce :

- Bon, les filles, on rentre, on va boire un peu de bulles à la maison.

Après être passé par le vestiaire, les deux grognasses se sont revêtues. Une fois leur sac à main récupéré, nous sortons du magasin sans un "au revoir" du patron, mais ça, je dirais, c'est coutumier du fait dans cet établissement.

Dans les rues désertes, il est presque minuit, les deux salopes sont plus calmes qu'à l’aller. Arrivé à la maison, Montlouis pétillant pour tout le monde et petit debriefing de la soirée. Je note mentalement tout ce qui s'est passé, de façon à pouvoir coucher ça sur le papier, en fait, dans un coin de mon ordinateur.

Habitants une bonne cinquantaine de kilomètres de Tours, nos invités repartent assez vite et moi, je couche ma soumise. Alors que je ne m'installe devant mon ordinateur, n'étant pas fatigué, mais plutôt très excité.












 
















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