061023 Un sac de billes
Le dimanche soir, alors que la grosse, pour avoir un peu abusé de la tisane au repas du soir, est vautrée comme une truie sur le canapé. Je discute avec une nana soumise sur Internet. Son pseudo est Hotlips (qu’on pourrait traduire par lèvres en feu, l’infirmière du fameux film MASH) et elle est bien sympa. Elle me raconte quelle est la soumise d'un dominateur sur Lyon, qui lui travaille beaucoup ses grosses mamelles. Il est vrai, que les photos sur le site, montre une femme particulièrement bien pourvue en seins. Le genre de femmes qui vous fait comprendre qu’il vaut mieux s’adresser à ses seins qu’au bon Dieu !
De fil en aiguille, on arrive à parler de billes. Je ne sais plus le sujet exact, toutefois, ça me donne une idée. Faire sortir ma pétasse, avec des billes dans une capote, introduit dans la chatte. J'en parle à ma correspondante et lui dis que je ferai des photos pour elle.
Si bien qu'en ce lundi matin, je prépare une capote dans laquelle j'installe une bonne quinzaine de billes en verre. Puis, je referme la capote avec de la ficelle de cuisine blanche. Je coupe les bouts de ficelle de manière à pouvoir m’en servir pour retirer la capote.
Après le repas, je dis à ma salope, qui est encore totalement à poil, de s'habiller. Nous allons faire un petit tour du lac, histoire de se dégourdir les jambes. Elle revient avec une robe noire, mais très sexy ma foi, juste des bas, ni soutif, ni culotte, bien entendu.
Je la fais s’allonger sur le canapé bleu du salon, lui pose un bandeau rouge, sur les yeux. Je lui dis :
- Je vais te mettre quelque chose dans la chatte, que tu vas le garder pour aller en promenade.
Elle est joueuse et se soumet facilement à ce genre de chose. Surtout quand il s’agit de lui caser quelque chose dans le vagin. Donc, résultats des courses, elle s’allonge sur le canapé, les pattes écartées en grand, la vulve ouverte.
Je ressors la capote avec les billes, que j'avais planqué sur le côté du canapé, et lui glisse dans la moule jusqu'à qu'il ne reste plus que les bouts de la ficelle qui dépassent. Là-dessus, je prends un marqueur rouge et j'inscris sur son pubis : "S114". Je fais quelques photos puis, je l'autorise à retirer son bandeau.
Je sais que la salope est très docile, mais parfois, a quelques difficultés pour se tenir debout, essentiellement après les repas, et son cortège d’alcool divers et variés, donc je l'aide à se relever et je lui annonce :
- Tu vas garder ta moule bien pleine, pour aller faire le tour du lac.
Là-dessus, je mets mes chaussures et attends que la grosse ait enfilé ses escarpins. Nous sortons dans la rue, et je monte dans ma voiture, déverrouille la portière pour que ma pétasse puisse monter de son côté. Et un passant en profite pour mater les jambes et les bas.
En quelques minutes, nous nous garons tout près du lac de Tours (ce qui est pratique pour faire un tour du lac !)
Nous commençons notre promenade sur le chemin, qui fait le tour de ce plan d’eau. Au premier banc, je fais asseoir ma salope et prends en photo sa chatte. À noter, les deux bouts de ficelle blanche qui dépassent.
Il y a très peu de monde en ce lundi, c'est un peu dommage, j'aurais aimé que quelqu'un puisse la voir, voire que quelqu'un l'encule, puisqu'elle a la chatte occupée.
Nous nous arrêtons au banc suivant, qui est à côté d'un gros saule pleureur. Cette fois, j'ordonne à la pétasse de rester debout et de me lever sa robe, de façon à ce qu'on voit qu'elle porte des bas et un porte-jarretelles. Puis, je lui demande encore d’écarter les pattes, pour quelques phots et nous repartons. On continue à faire notre tour. Je la prends encore en photo, adossée à un arbre, une patte repliée.
Elle fait très pute ainsi, ça amuse beaucoup ma soumise et ça l’excite aussi terriblement. Elle avouera plus tard qu’elle rêvait qu’un mec l’aborde comme une prostituée.
Je lui intime alors l’ordre de remonter très haut sa robe, mais en plus, de sortir un nichon. Et je la prends encore en photo. Elle fait réellement très putain comme ça, j'adore ! Nous continuons encore un moment, nous nous trouvons dans un petit coin tranquille. Je la fais pencher en avant, son trou du cul offert et je l'encule comme ça, pas tout à fait à sec, car elle mouille naturellement tout le temps, mais sans gel. J'évite de lui jouir dans le cul, je la retourne et lui fourre, dans la gueule, ma pine qui sort de son cul.
Ma salope aime se faire enculer, et dans des lieux improbables, c'est encore mieux. De plus, sucer une bite qui sort de sa chatte ou de son cul ne la formalise absolument pas.
Très vite, je lui englue les amygdales de sperme chaud. Une bonne claque sur le cul et nous rentrons l'appartement.
Une fois chez moi, je lui dis :
- Je vais faire des photos pour Hotlips, en position sur le canapé.
Elle se met donc sur le dos, sur le sofa, de la même façon qu’avant la promenade, à la différence près, que cette fois-ci, elle a et ses escarpins.
Je me mets au bureau, prends une feuille blanche, un marqueur rouge et note en gros : "POUR HOTLIPS". Je retourne au salon, tends la feuille à ma pétasse et lui demande de la tenir bien en évidence, que puisse prendre des photos. Ce que je fais, d'abord les guibolles tendues vers le haut, ensuite dans une position du cafard flytoxé, avec les pattes repliées. Puis, je l’aide à plier ses jambes de manière que ses escarpins se touchent et représenter ainsi, un petit as de pique. Ça lui ouvre entièrement la chatte. On voit que les billes risquent de sortir, aussi, je finis par ressortir vraiment la capote et prendre une photo du préservatif avec les billes et l’écriteau.
Visiblement, tout ça l’a excitée, et debout, me regardant prendre des photos du préservatif, elle se bricole, et très vite, je l’entends jouir.
Je me retourne, lui fais un petit bisou, sens son haleine et lui dis :
- Tu sens le foutre comme une vieille pute, va te laver les dents !
Le reste de la soirée se passera plus tranquillement.
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