061027 Didier et Juliette
J’avais discuté, toujours sur sensationSM, avec un type dénommé Didier, qui possédait une soumise, appelée Juliette. Son vrai prénom ou un pseudo, je n'en saurai jamais rien et peu importe. Le type était assez âgé et sa soumise relativement jeune. Elle devait avoir entre 25 et 30 ans, du ventre, je dirais même grosse panse, un cul un peu particulier, une bonne paire de nichons et très amoureuse de son maître.
Nous recevons donc le couple, ce vendredi, vers vingt heures trente à peu près. J’avais sorti, pour l'occasion, un certain nombre de jouets, que j'avais étalé sur la table basse du salon. Dès qu’ils entrent, alors qu’ils sont encore dans le couloir pour accéder à la salle à manger, j’ordonne à S114, tandis que la porte d’entrée est grande ouverte, de se déshabiller.
Ça semble impressionner Juliette et son maître.
Ma salope obéit tout de suite, elle sait pertinemment qu’elle n’a pratiquement pas de risques d’être vue. En effet, l’escalier n’est plus emprunté, à partir de ce niveau, que par la voisine du dessus, qui sort très rarement. Elle se retrouve donc vite, vêtue uniquement de ses bas autofixant noirs et de ses escarpins noirs.
Didier en fait de même avec Juliette et elle se retrouve à poil avec ses bas simplement. Il lui impose de rester debout au coin du canapé en m'expliquant qu’elle était non seulement soumise, mais en plus, était à moitié gouine, et qu’il craignait qu’elle ne tente de draguer ma pétasse.
Tout ça m'intéresse fortement puisque, je cherchais à faire découvrir l'homosexualité à ma grognasse. Et, comme elle avait déjà eu des petits jeux et des attouchements, avec d'autres femmes, en ma présence, je commençais par lui dire :
- Tiens, tu vas faire une nouvelle expérience. Prends le martinet et file des coups de martinet à Juliette.
Là-dessus, Didier ordonne à sa grosse :
- Va te mettre près du mur. Plante des pieds et paumes par terre, on va voir ton gros cul.
Dès qu'elle est bien en avant, je remarque, tout de suite, qu'elle porte un rosebud. Je demande alors, à ma pétasse, de lui filer des coups de Martinet sur le cul.
Cette salope y va de bon cœur, avec le martinet. Et bien qu'elle marque peu, m’affirme Didier, sa soumise se retrouve avec de sacrées marques sur les fesses. Et si au début, c’était un jeu, je trouve que S114 affiche un drôle de sourire pervers. Y prendrait-elle goût ?
Quand j’estime que ça suffit, je la stoppe.
Didier intime alors l’ordre à sa chienne d’aller au coin et elle va se mettre au coin du mur, près de la porte d'entrée de la chambre.
Je félicite mon visiteur quant au choix du rosebud en lui disant :
- Il est pas mal, son bouton de rose que tu lui as mis, il semble qu’elle soit aussi une bonne enculée.
- Oui, me répond l’homme. C'est une sacrée chienne, elle a besoin d'avoir toujours quelque chose dans le cul, cette salope.
Je lui montre alors un plug en matière plastique, très souple, mais d’un diamètre conséquent à la partie la plus large. C'est simple, ma nymphomane le porte dans la chatte, mais pas dans le cul. Je demande donc à Didier :
- Tu crois qu'elle va pouvoir le prendre, que ça lui va ?
- Le mieux, c'est d'essayer. Puis, s’adressant à Juliette : Reprends la même position que tout à l'heure.
Une fois qu'elle est la plante des pieds et la paume des mains au sol, je lui retire délicatement son jouet en acier. Je m’empare du pot de crème Nivea, lui applique de la crème sur le trou du cul. Puis, en applique également un peu sur le plug. Ensuite, je lui écarte bien les fesses, amène le plug, qui fait quand même dans les six ou sept centimètres de diamètre, au plus large. Et lui glisse dans le cul doucement.
Visiblement, la grosse aime ça. Elle se met à couiner et fléchit un peu sur ses genoux, comme pour écarter encore un peu plus ses fesses.
Nous continuons à deviser joyeusement avec Didier. S114 a pris place à côté de moi et Juliette se tient debout à côté de son maître. Ces agapes nous ont mis en appétit, j'en profite pour prendre le god noir, dont je sais que ma pétasse raffole, je lui jette en prenant mon appareil photo et lui dit :
- Branle-toi avec, pour montrer à nos invités, la salope que tu es.
Ma salope ne se fait pas prier. Elle s'empare du jouet pour grandes filles et se le fout directement dans la chatte, sans le mouiller, sans lubrifiant, sans rien, tellement elle est déjà détrempée.
Juliette, sur ordre, vient s’asseoir juste à côté de S114 et suit de près la branlette de ma grosse pétasse. Elle voit sa complice s’envoyer en l’air, les yeux clos, et faire une grosse tache sur le tissu du sofa.
Je fais quelques photos, puis, après que j’ai pris un cliché de la tache sur la banquette, je demande à Didier :
- Connais-tu le coup de la brosse à dents ?
- Effectivement, tu m'en as parlé, il me semble. Je serais curieux de voir ça.
- D'accord, alors je vais proposer un petit jeu. Premièrement, ma salope va passer la brosse à dents électrique, trois fois trois minutes sur la chatte de ta soumise. Si ta pétasse jouit, elle aura une grosse punition, à la cravache. Si elle ne jouit pas, c'est S114 qui aura la grosse punition. Après, on inversera les rôles, qu’en penses-tu ?
Visiblement, le bonhomme trouve l’idée intéressante et comprend tout de suite le pervers de l’affaire. Nous nous retrouvons dans la chambre, il installe sa grosse en travers du lit et je lui pose un bandeau rouge sur les yeux.
Pour corser un peu la séance, comme on dit à Bastia, je pose un bandeau noir sur les yeux de ma pétasse. Je la guide alors pour l’asseoir entre les pattes écartées de sa nouvelle copine. J’en profite pour promener le bout de ma cravache sur le corps rebondi de la femelle allongée.
La brosse à dents est un ustensile redoutable ! Et ma grognasse sait parfaitement l'utiliser. Pour se donner du plaisir, elle-même, mais aussi, pour donner du plaisir à ses petites camarades de jeux. Je me dis que ma soumise est en bonne voie pour devenir une bonne gouine. Elle n’a pas peur du corps des femmes, sait leur faire du bien...
Pendant mes cogitations et peu de temps après la fin du premier cycle de la brosse, la pauvre Juliette s’envoie en l’air et a un orgasme terrible. Le bruit de la brosse en rotation devient explicite, la tête tourne dans une zone totalement détrempée. Un vrai marécage de plaisir.
- Nous avons la perdante, m’exclamais-je alors.
Perdu pour perdu, la soumise se laisse ainsi aller entièrement au plaisir. S’ensuit ainsi, une série d’orgasmes, pendant les six minutes qui suivent. Ma salope ne lâchant pas l'affaire et tenant à prendre une sorte d’avance sur sa concurrente.
- Allez hop, on inverse les rôles.
J’aide Juliette à se redresser et à son tour, S114 s'allonge en travers du lit.
Didier regarde sa soumise et lui dit encore :
- Tu sais que tu vas te prendre une sacrée punition à la fin, alors tâche de faire en sorte, de ne pas en avoir deux !
Bien plus habituée aux relations saphiques que ma grosse, Juliette comprend très vite comment donner du plaisir à une femme avec la brosse à dents.
Et, bien entendu, ma pétasse prend son pied et gueule son bonheur. Elle bouge tellement dans tous les sens, que Didier est obligé de lui attraper les mains et les tenir fermement. Pour que sa soumise puisse continuer à lui travailler le clito.
J'annonce alors :
- Et voilà les salopes, chacune à sa punition. Nous verrons ça tout à l'heure.
Le bandeau, de texture plus fine, permet à Juliette de discerner vaguement la chatte de sa complice. Elle commence à bien comprendre le fonctionnement de la brosse à dents. Elle introduit la tête de la brosse dans le vagin de ma salope et cherche à lui masser le point "G".
Nous sortons de la chambre et je propose à mon visiteur, un échange :
- Si tu veux, tu punis ma salope, tu y vas comme tu veux, fort ou doucement. Et moi, je punis ta Pétasse. Mais ce ne seront pas des câlins. Tu as le choix des armes.
Didier s’empare du martinet et travaille les miches grasses de ma grosse, sans parole. Il lui travaille l’arrière-train, de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'elle ait de belles marques bien rouges et qu’elle se mette à pleurer.
Je sors mon petit banc en bois et fais poser ses mains de Juliette, dessus. Comme elle semble réticente, je m’empare de menotte en fer et lui passe aux poignets. Ma courte cravache éclate le cul de la grosse jusqu'à ce que, à nouveau, elle arbore de belles marques bien rouges. Elle porte toujours le gros plug en plastique dans l’anus.
Pour faire bonne mesure, Didier place le bandeau rouge sur les yeux de sa salope, puis lui met son collier de chienne et finit par la remettre droite.
Elle est maintenant debout et je dis à notre invité :
- Je vais te montrer ce que ma pétasse sait faire avec les babines. Toi, ma pute, mets-toi près du mur.
Je m’empare de ma petite sacoche bleue. J’en sors une chaîne équipée de deux pinces pour les lèvres et j’attache une pince à chaque grande lèvre. Puis, je pose tranquillement des plombs sur la chaîne, de manière que les lèvres de S114 soit bien distendues. Je prends quelques photos puis impose :
- Bouge tes hanches pour faire balancer.
Comme mes ordres sont suivis d’effets, je me tourne vers Didier :
- Tu veux qu'on fasse pareil avec ta soumise ?
- Ouais, bonne idée.
Je prends la grosse en main, commence par lui retirer son bandeau, puis ses menottes. Ensuite, je la guide jusqu’à la porte qui donne sur la salle à manger. Là, n’ayant pas d’autre chaîne, je lui pose des pinces à linge, qui sont vraiment très mordantes, elles sont métalliques.
Sous la morsure de ces satanées pinces, la blonde se met à pleurer. Toutefois, les pinces étant lourdes, elles font leur boulot et tirent fort sur les grosses babines de la soumise.
Ma pétasse sourit en voyant sa nouvelle copine dans la tourmente, alors qu’elle, déjà un peu habituée à se faire allonger les lèvres, continue à onduler du bassin pour faire balancer sa chaîne.
- Ça fait mal ? Demandais-je perversement.
- Ho oui, Maître !
- Parfait, c'est ce qu’il faut… Maintenant, bouge ton cul, pour faire balancer tes pinces.
Au début, c'est la soupe à la grimace, ça lui tire sur les chairs intimes et elle ne semble pas coutumière du fait. Mais comme S114 fait une sorte de danse de hula hoop, pour que ses poids décrivent un cercle dans l’air, elle commence à sourire, puis à rire carrément. Elle oublie la douleur. Maintenant, elle fait aller et venir d’avant en arrière ses hanches comme il faut.
Il commence à se faire tard, je propose à Didier :
Ma pute est une bonne suceuse, si tu as envie d'une pipe, ou si tu as envie de lui péter le cul, je t'en prie.
Il me répond qu’il commence à être fatigué et pense qu’une bonne bouffarde avalée suffira.
J'emmène alors S114 dans la salle à manger. La fait se pencher en avant et poser ses mains sur les accoudoirs de mon fauteuil crapaud.
L’homme défait son pantalon et sort une bite bien large, de belle taille. Il se tourne vers sa soumise et lui ordonne :
- Toi, viens me faire bander, tu sais comment.
La grosse est très souple, elle vient s’agenouiller derrière ma pétasse et commence à lui caresser, de sa langue experte, le con et le cul.
Didier, malgré ses 50 ans bien tassés, bande très vite. puis il intime l’ordre à sa chienne de lécher l’anus de ma pute.
Cette dernière est totalement ravie, elle aime tellement se faire enculer. De plus, cette langue qui s’active entre ses fesses et parvient même parfois à ouvrir son œil de bronze, l’excite terriblement et elle mouille carrément du fion.
Ensuite, mon complice lâche la tête de S114, fait le tour du fauteuil et vient présenter son gland à l’ouverture du passage sous ses reins. Il encule alors ma pute, d'un grand coup de rein, qui enfonce son gros vit tout au fond des entrailles de l’enculée.
Cette dernière gueule un grand coup, plus de surprise que de douleur, de toute façon, elle se fait ouvrir le cul si souvent, qu’elle peut accepter tout engin par le trou du dimanche.
Il ne la lime pas très longtemps. Bientôt, il commence à grogner, il se retire, lui attrape les cheveux, la fait se retourner, lui colle sa bite dans la bouche et jouit.
- C'est vrai qu'elle est bonne ! Une véritable prostituée.
Ça devait être prémonitoire, trois ans plus tard, pour se payer sa consommation d’alcool, S114 se prostituera, chez moi, mais dans mon dos.
Pendant ce temps, moi, je défais ma braguette aussi et je me fais sucer par Juliette, qui n’a plus la langue occupée par l’anus de sa copine. Elle sait y faire, cette pétasse et je ne mets pas longtemps, avant de lui engluer les amygdales.
Mais, il est proche de minuit et nous avons un samedi assez chargé. Je m'en ouvre à Didier et lui propose de revenir une autre fois. Le couple est prêt à repartir, quand j'impose encore à la grosse soumise :
- Avant de nous quitter, je veux que tu roules une grosse pelle à ma salope. Pour la remercier et lui dire tendrement au revoir.
Ce qu'elle fait avec bonheur visiblement. À bientôt Didier et Juliette.
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