061231 Réveillon avec deux soumises
Entre mon job en déplacement, le voyage en Écosse avec ma salope, nous n'avions rien de prévu pour ce réveillon 2006. En discutant avec nos amis Laurent et Patricia, il s'avère qu’eux non plus n'avaient rien de prévu. Nous décidons finalement de nous faire une petite soirée tous les quatre.
Là-dessus, Laurent m'annonce, très fièrement, qu'il a été sur le site "montrée" et qu'il a mis sa salope soumise sur le site. Elle porte désormais le numéro S151.
Ils s’arrivent vers vingt heures. Nous commençons la soirée très tranquillement, petit dîner fin et champagne, qu’ils avaient apporté, histoire de fêter dignement le dernier jour de l'année.
Et j’ai une petite idée derrière la tête, je sais Patricia très bisexuelle, voire limite lesbienne et j'espère bien que cette soirée sera l'occasion d'emmener la grosse sur les chemins de la bisexualité.
Un peu avant vingt-deux heures, d’un commun accord avec Laurent, nous lançons officiellement la soirée. Sans avoir débarrassé la table du salon, je saisis mon appareil photo et commence à flasher S151. Et, très vite, il est question du jeu de la brosse à dents. Ce petit jeu est d’autant plus intéressant quand les deux femmes sont complices, voire amies, comme c'est le cas ce soir.
En fait, celle qui passe la brosse à dents sur le clitoris de l'autre, a ordre de faire jouir son amie. Si elle ne réussit pas, elle sera punie. La copine, elle, a ordre de résister et de ne pas jouir. Si elle jouit, elle sera punie. Des tas de choses perverses se passent dans les têtes des deux salopes. Ça peut aller de protéger sa copine, donc de mal faire ou de résister au maximum, jusqu’à des sentiments bien plus pervers, vouloir, justement, que la complice soit punie… On ne saura jamais exactement, mais toujours est-il, que c'est assez compliqué dans les têtes. Et, finalement, bien sûr, la brosse à dents procure un orgasme dévastateur pour la pauvre S151. Alors bien entendu, elle a droit à sa revanche. Cette fois, c'est elle qui tient la brosse à dents et qui s'occupe du démarreur à plaisir de S114 et qui, au bout des neuf minutes, dans une flaque de plaisir, jouit bruyamment.
Les deux soumises sont donc punies. Elles sont mises à quatre pattes sur le lit et travaillées à la cravache, pour faire de jolies marques rouges. Ensuite, c'est à poil, les salopes.
On retrouve S114 avec les mains sur la tête, devant le mur du salon et sa copine S151 à côté d'elle, les mains dans le dos. Mais elle, en plus, a eu droit à deux espèces de pinces démoniaques, qui lui pincent fortement les tétons. Visiblement, la belle adore ça !
Laurent sort son petit attirail du parfait dominateur. Il commence par accrocher des poids sur les pinces. La première pince tombe, mais la deuxième étire bien le téton de la pauvre S151. Elle fait une drôle de grimace.
Ensuite, il pose les mêmes pinces sur les tétines de la grosse, puis les poids. Celle-ci fait un peu la gueule, mais supporte beaucoup plus, que je m'y attendais.
Laurent revient à son épouse, et cette fois, lui pose les pinces sur les lèvres. Ça étire terriblement ses grandes lèvres. Comme il dit, il adore que sa femme ait de grandes babines, ça fait encore plus salope. Je veux bien le croire.
Ensuite, c'est au tour de pétasse qui fait une drôle de gueule. Mais tant pis, elle est punie, elle n’avait qu’à se retenir de jouir et de pisser sur le lit !
Par la suite, nous mettons à quatre pattes nos deux salopes, côte à côte, sur l’assise du canapé, à genoux. Le marqueur bleu entre en action et nos pétasses sont estampillées de leur numéro de soumise. Une belle photo pour le webmaster du site "montrée".
Faisant un clin d'œil à mon complice, je lui dis :
- Mais c'est une soirée où normalement, on danse, non ?
- Tu as raison, on va faire danser les salopes !
- J'ai un petit truc sympa…
Et là, tranquillement, je sors deux maracas et en offre un à chaque femelle, avec l'ordre de le mettre dans la chatte de sa copine. Les deux salopes ne se font pas prier, et, toute pudeur oubliée, chacune enfonce la partie ronde de l'instrument, dans la chatte de l'autre.
- Allez-y, les filles, bougez vos culs au son de la musique maintenant. On veut entendre les maracas.
L'ambiance musicale est assez festive, et se prête bien à la danse, puisque c'est un disque de Carlos Santana, aux rythmes sud-américains endiablés. Tout pour faire bouger des pétasses. Quelques photos, mais, une fois de plus, on n'entend pas les maracas ! Autrement dit, nouvelles punitions.
À ce moment, Laurent fait venir sa soumise et décide de lui coller son rosebud dans le cul.
Une petite pause s'impose et voici nos deux salopes, vautrées de part et d'autre de Laurent, en train de boire un coup. Pendant que ce coquin leur tripote la moule.
Pour faire bonne mesure, j'annonce à mon pote :
- Attends, on va leur remettre un bandeau sur les yeux.
Et voici, S151 avec un bandeau noir, et S14 avec un bandeau rouge. Ça tombe bien ! Ma pétasse porte des bas rouges et l’autre soumise, des noirs. Très vite, les deux salopes s'envolent en l’air, à se faire branler comme des chiennes.
Voyant comment les choses tournent, je pose mon appareil photo…
La suite se passe dans notre grande chambre. Laurent pine ma grosse pute. Moi, je me fais sucer par sa salope, bref une petite partie carrée du premier de l'An commence. Rien de plus sympa comme réveillon.
Avoir des bonnes soumises pour les événements est toujours une bonne chose.
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Ce fut un sacré réveillon !
SupprimerMichel