070304 Chez Dicototal

 

Le sigle S114 était donné par un site, "punitions rédemption", qui devint ensuite "montrées". Le webmaster de la première mouture du site, était très intéressant, mais disparu un jour sans explication. Puis, le site fut repris par plusieurs webmasters, dont le fameux Dicototal.

Un monsieur très charmant, d'une grande culture, et de grandes connaissances médicales et psychologiques. Et, après quelques emails échangés, riches et intelligents, je proposais à ma salope de voir pour aller passer une visite médicale, que proposait justement ce charmant monsieur.

En mission dans le nord pour quelques semaines. Ce week-end, je ne rentre pas à Tours, mais reste dans le nord et c'est Nanou qui vient me retrouver, le samedi matin, à mon hôtel.

Nous avons rendez-vous vers seize heures dans un petit village, pas très loin d'Amiens. Nous partons avec la voiture de Nanou, qui conduit, et moi, je cherche la route, car elle ne semble pas très pratique. Peu après être sortie de l'autoroute, je demande à ma pétasse de stopper dans un petit chemin, derrière une haie, à l’abri des regards indiscrets.

Nous descendons de voiture, et là, je lui rappelle que fin février, elle a reçu un amant (ou un client ?), qu'elle s'est fait ouvrir l'anus de belle manière, et qu'elle ne m'en a rien dit. Je m'en suis aperçu par hasard. Elle grogne un peu, mais finalement, accepte de bon cœur la petite dizaine de coups de cravache, que je lui inflige, sur son cul rebondi.

Nous repartons, et bientôt, nous arrivons à destination. Un pavillon assez bas au fond d'une petite cour bien propre, un petit chemin en gravier jusqu'à la porte d'entrée. Je prends la bouteille de champagne, et nous allons sonner à la porte.

Nous sommes accueillis par un monsieur Charmant, petit, un peu rond, moustache et barbiche blanches, comme la couronne de cheveux. Petites lunettes rondes sur le nez, une blouse blanche entrouverte sur un T-Shirt immaculé. Un pantalon en velours côtelé, avec des mocassins, qui finissent de donner l'air du bon médecin de campagne.

À peine avons-nous pris une petite coupe, que j'explique à Dicototal Que S114 vient de prendre quelques bons coups de cravaches, et donc qu'il ne soit pas étonné par les marques toutes récentes. Et j’enchaîne à l'adresse de ma soumise et en lui tendant sa cravache fétiche :

- Lève-toi, la cravache entre les dents, remonte ta jupe et tourne-toi.

Nanou obéit et Dicototal fait remarquer que les rougeurs de ce cul lui sont douces au regard. Puis, il entre dans son cabinet suivi de S114 et je ferme le ban.

Dicototal demande tout de suite à la soumise de se déshabiller.

Nanou est venue dans une tenue classique pour sortir, aller en courses ou autre, c'est-à-dire sans culotte, bas, escarpins, soutien-gorge, mais décolleté provocant. Donc, sans gêne devant ce monsieur qu'elle ne connaît absolument pas, elle se dévêt, en prenant bien soin de plier consciencieusement ses affaires.

J'en profite pour immortaliser la scène avec mon appareil, mais aussi avec l'appareil que Dicototal m'a confié.

Elle finit par se retrouver nue, à l’exception de ses bas et de ses escarpins.

La première opération, de ce drôle de docteur, est d'observer de près le tatouage de la salope, un tatouage "tribal" sur le sein droit.

S114 se laisse tripoter et répond aux questions qui lui sont posées au sujet de ce tatouage.

Je prends toujours autant de photos, sûrement beaucoup à jeter, avec les deux appareils.

Le drôle de docteur mesure ensuite la soumise. Puis, il décide de mesurer l'auréole du téton.

Nanou ne bronche pas, en fait, elle l'avouera plus tard, ces petites mesures l'excitaient énormément. Tout l'art de Dicototal.

Notre bon docteur continu par une mesure du tour de poitrine, mais assez inhabituelle, car il mesure avec les seins et non sous les seins comme habituellement. Toutes ces mesures sont bien entendues consciencieusement notées.

Je n'en perds pas une miette et actionne de concert les deux appareils photos.

Notre bon médecin revient à son bureau, permet à Nanou de s’asseoir sur un confortable petit fauteuil en attendant qu'il finisse son enregistrement.

Ensuite, vient le temps de passer à un examen plus sérieux. Le docteur fait passer S114 dans la pièce attenante. Il l'aide à monter sur la table gynécologique, puis commence à sortir ses ustensiles déjà préparés d'avance.

S114 est maintenant allongée sur le dos, les jambes dans les étriers, enserrées par une large lanière de cuir noir. Le dos maintenu par une serviette en éponge bleue.

Dicototal se concentre sur une palpation mammaire en règle, non sans avoir chauffé initialement les tissus avec un appareil à infrarouge.

Puis ce bon docteur va s'asseoir entre les cuisses de la soumise, et utilise son spéculum pour examiner la chatte de S114.

J'ai rarement vu ma salope aussi tranquille et attentive à ce qu'on lui fait. Là, rien, pas même un grognement d'impatience ou d'énervement. Elle se laisse faire, comme si elle était aux mains d'un vrai praticien, lancé dans une opération délicate. Comme quoi, quand ma pétasse veut bien patienter, elle peut le faire !

Je continue à prendre des photos, alternant un appareil avec l'autre. J’échange quelques mots sur ma salope avec Dicototal, mais sans adresser la parole à S114, de peur qu'elle ne commence à partir dans ses grandes théories qui pourraient casser l'ambiance. D'ailleurs, je commence à comprendre le truc, dès que Nanou commence à vouloir ouvrir le bec, le bon docteur lui clou ce dernier en lui posant des questions pertinentes, ou en lui faisant des remarques justifiées.

Bientôt l'homme sort d'un petit tiroir dans sa roulante, qui le suit partout, un plug le bord le plus large est plutôt assez vif. Sans le montrer réellement, et tout en parlant de ce qu'il va faire maintenant, à savoir explorer le cul d'enculé de Nanou, il l'enduit sous les yeux de la femme de gel. Puis, enduit l'anus de gel à son tour, et fini par enfoncer l'engin, tout doucement, dans l'anus, qui laisse le passage à ce corps étranger.

L'anus de ma salope avale le plug comme un gosse, une friandise ! Elle est toujours aussi calme, un grand sourire éclaire son visage.

À présent, après avoir étudié lequel de ses gods allait lui servir, Dicototal écarte les grandes lèvres de S114, et il commence à la limer avec le jouet. Il a non seulement une forme assez réaliste, mais il est également revêtu de latex pour la douceur du contact avec les chairs tendres du vagin.

Cette fois, le cul bien rempli par le plug, la chatte bien travaillée au godemichet, la soumise commence à se tordre de plaisir sur la table.

- Tu aimes ça te faire prendre tes trous de salope soumise, n'est-ce pas S114 ? Demande Dicototal.

- Oh oui ! Je suis une salope et j'aime ça.

- Bien, comme tu es déjà une habituée, tu as m’aider à perfectionner ma technique en me disant si je fais mieux ou moins bien que ton maître avec a brosse à dents.

Nous avions évoqué par émail ce détournement d’ustensile, et j'avais expliqué de mon mieux comment se servir de la brosse à dents sur la vulve pour finir sur le clitoris. Dans sa réponse, Dicototal m'avait avoué avoir essayé avec une autre patiente, mais n’être pas totalement heureux du résultat. Aussi, je lui ai proposé de se servir de S114 pour se perfectionner.

Le drôle de docteur s'empare d'une brosse à dents électrique, le même modèle que la mienne. Somme toute, le modèle le plus courant, je pense, et commence par la mettre en route, et s'attaque à la vulve de Nanou.

Tout de suite, celle-ci trésaille, puis commente :

- Moins fort… N'appuyez pas sur la brosse… N'attaquez pas le clitoris trop vite… Oui là, c'est bon… Hummm… Ho salaud, ce que c'est bon… Je vais pisser, tellement ça m'excite…

Heureusement que l'homme connaît son affaire. Et, connaît aussi les réactions de certaines femmes, qui n'ont pas voulu faire les exercices du périnée, après leur accouchement. Il ferme la vulve le temps que la salope vide sa vessie sur la table, puis coince entre deux doigts le clitoris, pour que la brosse ne passe plus, que sur le bouton.

La pétasse gueule, encore plus fort, son bonheur. Ensuite, quand les vibrations cessent, elle reprend son souffle.

Ne voulant pas que la soumise parte dans un orgasme trop tôt, et bien que S114 ait déjà bien joui. Le maître des lieux va chercher deux seringues trafiquées, qui permettent de pomper les tétons, et que les tétons, et de rester en dépression le plus longtemps possible. Il les pose avec dextérité, puis il recommence à jouer de la brosse à dents. D'abord sur le clitoris, puis en faisant entrer la tête de l'ustensile dans le vagin.

Nanou est entre deux eaux. Dès qu'elle commence ses envolées lyriques le diable d'homme la calme très rapidement. Puis, il reprend son manège pour la mener à nouveau aux bords des abysses de l'orgasme. et la fait revenir en arrière.

La Séance dure ainsi de longues minutes, que j'immortalise, sur support numérique.

Notre hôte s’emploie maintenant à poser une pince à linge sur chaque grande lèvre de la soumise. Et, décidément assidu à l'outil, il reprend la brosse à dents électrique.

Cette fois, S114 grogne de plaisir, ou alors grogne parce que justement, ce médecin démoniaque, ne veut pas la laisser aller à l'orgasme.

La séance continue, à vrai dire, on pourrait se demander ce qu'examine réellement de drôle de docteur. Mais peu importe, lui semble bien s'amuser avec cette chatte et cet anus à disposition.

Au bout d'un moment, il fait le tour de la table d'examen, et vient rechercher deux sangles, qu'il passe autour des grosses cuisses de Nanou. Une fois les sangles solidement fixées, il se remet à son poste d'observation et reprend une fois de plus la brosse à dents.

Toute bonne chose à une fin, cette fois Dicototal pose la brosse à dents et reprend le godemichet déjà utilisé. Il y va de bon cœur, à limer cette grotte féminine, comme s’il savait parfaitement, quelles seraient les réactions de la femme allongée devant lui.

Maintenant qu'il connaît un peu mieux sa patiente, il décide d'explorer les lieux avec différents outils, des gods de différentes tailles et de différentes matières. Il reprend aussi son étrange appareil qui chauffe la peau. Cette fois, il décide que le traitement a assez duré, et qu'il faut que cette salope allongée finisse par un orgasme, le plus fort possible.

S114 gueule son bonheur, les voisins devraient être parfaitement au courant qu'elle a un orgasme, voir le village voisin est au courant ! Elle est comme en transe, et plus rien de ce qui peut se passer ici ne lui importe.

Mais tous les bons moments ont une fin, même les meilleurs. Je pose mes deux appareils photos et aide ma pétasse à descendre de la table d'auscultation, alors que Dicototal vient de lui libérer les cuisses. Elle a du mal à marcher droit, tant l'orgasme a dû être fulgurant et puissant. Je la guide cependant vers la chaise, pour qu'elle puisse se rhabiller, non sans avoir repris, quelque peu, son souffle, auparavant.

Nous échangeons quelques mots avec ce drôle de docteur pendant que S114 cherche toujours l’oxygène, assise sur la chaise devant le bureau. Il me dit qu'elle a de grandes capacités pour le cul, ce que je savais déjà. Qu'elle savait parfaitement contrôler la montée du plaisir, quoi qu'il n'en paraisse. Et qu'elle semblait avoir de grandes possibilités, également, de jouir de multiples fois.

Je lui raconte succinctement quelques aventures de ma soumise et, justement, son envie insatiable de jouir qui lui permet d'assurer une longue soirée à se faire baiser..

Pendant ce temps-là, ayant récupéré un peu, la grosse s'est rhabillée et se tient maintenant debout à côté de moi. Je commence à expliquer que nous allons nous en retourner, mais ce bon docteur nous dit alors :

- Ha non ! J'ai des gens sympa, une salope bien exhibe, je vous invite au restaurant sur les bords de la somme à Amiens, ne me dites pas non !

Ainsi, nous avons déjeuner sur les bords de la somme, en plein cœur de ville, en terrasse protégée, là aussi, ce fut fantastique !

























Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

06052 Soirée Jean-Pierre et Sylvie

060730 Avec François et Stéphanie