070318 Soirée Yann, Christine et Nadine

 

Cette soirée, une fois n'est pas coutume, ne fut pas vraiment la soirée de Nanou... Nous étions venus voir nos amis du bord de l'océan, et eux avaient visiblement une autre drôle d'idée en tête.

Nous nous sommes donc retrouvés à cinq, autour de la table, Yann et Christine, nos hôtes, Nadine, une charmante jeune femme présentée comme soumise, et nous deux. La glace fut vite rompue et nous nous retrouvâmes bientôt dans le salon pour honorer Christine, notre hôtesse.

Pour lancer la soirée, je poussais S114 à embrasser notre hôtesse, puis à lui lécher les mamelles. La Rochefortaise avait de très beaux seins, pas énormes, mais tout à fait corrects, et joliment dessinés. Elle était vêtue tout de blanc, soutien-gorge, bas, cuissarde et petit gilet en crochet, blancs.

Ma salope, quant à elle, était dans les bleus ! Bas noirs à large liseré bleu, porte-jarretelles bleu.

Ayant compris que la soirée serait moins sous le signe du sexe que sous celui du sadisme, je commençais par ma pétasse

Nanou fut donc la première à prendre une petite fessée (à la ceinture ce qui donne de jolies marques) et à nous montrer le résultat, rouge. Mais comme bien souvent, quand elle avait commencé à mettre le nez dans un verre, elle commençait à se rebiffer. Yann s’en aperçut, mais étrangement, ne dit mot.

Christine, voyant les jolies marques rouges sur le cul de ma salope, ne voulu pas rester en retrait de pareils plaisirs.

À ce moment, notre Hôte, Yann, réussit à pousser Nadine, pourtant soumise et maso, à donner le bâton à Christine et à S114. Visiblement, cette salope, prenait bien du plaisir à faire mal aux deux autres. Elle y allait de bon cœur.

Toutefois, une fois encore, S114 ouvrit sa grande gueule, ce fut la première, et la seule, à demander grâce. Et Yann, dont je ne connaissais pas les sombres dessins, lui permis de se ranger et de sortir provisoirement du jeu.

Nadine, maintenant, se piquait au jeu et zébrait avec volupté le cul de Christine. Pour une soumise, elle démontrait qu'elle a aussi un côté sadique bien développé. Puis, elle devint plus attachante et nous avons commencé à être plus complices dans le jeu, pour le plus grand malheur de Christine !

Il faut dire que notre hôtesse était atteinte d’une sclérose en plaque. Cette vacherie attaque les nerfs, et il fallait y aller fort pour contenter la belle, profondément maso, mais dont les sensations étaient très atténuées.

Après une petite séance de cravache, et je ne retenais pas mon ustensile, vint le moment d'avoir les jambes en l'air… Christine fut alors totalement à notre merci. On lui avait attaché les chevilles à une barre métallique, attachée, elle, au plafond. Et, avec les yeux bandés, elle ne voyait pas si c'était la morsure de la cravache, qui allait venir, ou l'étrange sensation du glaçon fondant dans mes mains, dont l'eau glacée tombait en grosses gouttes.

Nadine tapait dur, sûrement aussi fort qu’elle aimait prendre des coups de cravache. Et, vicieuse, elle savait aussi viser, parfois, la vulve et même le clitoris.

Christine criait sous les coups, mais quand je lui demandais s’il fallait arrêter, elle répondait négativement, demandant au contraire un traitement encore plus fort. Puis, comme notre hôtesse avait été une bonne soumise, vint l'heure de la récompense. Épuisée, la jeune femme, mais visiblement heureuse.

Yann me tendit alors un gros godemichet et un tube de vaseline. Je commençais par appliquer la graisse sur le jouet. Ensuite, sachant Christine très ouverte à ce genre de chose, j’enfonçais doucement, mais sûrement, le gros ustensile dans sa chatte. Alors son époux me tendit un vibromasseur, moins gros, mais tout de même de bonne taille, en me disant :

- Vas-y, fourre-moi cette enculée.

Pendant ce temps-là, la grosse faisait une pipe à notre ami, qui lui, embrassait et pelotait outrageusement Nadine.

À présent, il me fallait encore remercier Nadine, de son enthousiasme et de sa complicité. Et comment remercier une soumise, réellement maso, par autre chose qu'une fessée ?

Et pour marquer encore le coup, je me munis de la corde dont nous nous étions servis pour Christine. Là, avec force, je cajolais les fesses déjà marquées de la belle.

- Vas-y de toutes tes forces, cette charogne à déjà prit cher cet après-midi, et elle n’est toujours pas rassasiée !

Je suivais aussi du coin de l’œil ma pétasse qui suçait toujours, cette belle bite, qu’elle aimait tant.

Je n’avais jamais vu mon pote excité de cette façon-là, d’un geste brusque, il repousse S114 en lui disant :

- Va te faire baiser ailleurs, ce soir, je m’occupe de mes deux femmes, qui l’ont bien mérité… Tu sais maintenant ce qu’il te reste à subir, si tu veux de mes orgasmes.

On boit encore une coupe de bulles, pendant que Yann porte son épouse dans le lit conjugal. Puis, il revient, nous prenons congé, pendant qu’il emmène Nadine dans la chambre maritale.

Quelle soirée... La prochaine fois, nous tâcherons d'amener la grosse à subir, sans rechigner, ce genre de fête...





















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