070405 Soirée aubergine

 

Ce jeudi, en fin d'après midi, Nanou vient me rejoindre chez moi à Tours, elle n'a plus cours jusqu'à lundi. Cette semaine, j'ai capté, lors d'une de nos discussions, que ma salope aimait les légumes, et comme je sais qu'elle aime les grosses dilatations, je me suis dit, et si je prenais une aubergine ? On ne sait jamais ! Et puis, de toute façon, si elle ne sert pas, on pourra toujours la manger !

Ma salope arrive assez tard, donc nous nous mettons à table. Elle, dans la tenue la moins salissante, nue sous un petit tablier de service, bas, escarpins.

Le repas se passe bien, tranquillement, et en fin de celui-ci, en guise de dessert, j'annonce à ma pétasse que j'ai trouvé mieux que sa batte de base-ball (qui appartient en fait à son plus jeune fils et qu'elle emprunte régulièrement).

- Allez, à poils, sur le lit.

S114 ne se fait pas prier, retire ses escarpins dans l'entrée et file à la salle de bain se dévêtir totalement.

Je prendS le légume, qu'elle n'a pas encore vu, et vais dans la chambre. Pendant qu'elle est dans la salle de bain, dont l'accès est au fond de la chambre (Oui, l'appartement est assez mal foutu, mais fort bien placé par rapport à la gare et au centre-ville).

Ma salope se lave la chatte, de là à penser qu'elle s'est encore fait remplir le pot avant de venir, il n'y a pas des kilomètres. Mais ça, je le saurai, comme d'habitude, quelques jours ou semaines plus tard.

Comme je sais qu'elle ne peut pas s’empêcher de pisser, quand elle joui, lors de rosses dilatations, je place une serviette sur le lit. De toute façon, si elle mouille trop les draps, c'est elle qui dormira dedans ! Et pour le reste je suis à l'aise, puisque j'ai placé une alaise sur le matelas.

Dès qu’elle sort de la salle de bain, et alors que je me tiens debout à la tête du lit, je lui ordonne :

- Allez hop, sur le lit, position du cafard flytoxé.

- Oui Maître.

J'aime quand cette salope écoute et obéit de la sorte, mais ce n'est pas toujours le cas.

- Voici une aubergine bien ferme, ça devrait te changer de la batte de base-ball de ton gamin !

- J'adore ça les aubergines !

Et joignant le geste à la parole, elle attrape l'aubergine et se la fourre directement dans le vagin, le légume glisse et rentre presque totalement.

- Branle-toi avec l'aubergine, imposai-je encore.

Sans un mot, Nanou commence à faire aller et venir le légume dans son vagin. J'en profite pour lui demander de bien mémoriser ce qu'elle ressent pour pouvoir, plus tard, le coucher sur papier (encore une histoire à dormir debout puisqu’en guise de papier, c'est un écran !).

Voici ce que S114 écrira se souvenir de ce moment :



D'abord, dès que l'aubergine est entrée, j'ai eu l'impression que mon vagin l'avalait. Je l'ai eut tout de suite en moi, je me sentais pleine, remplie, un grand frisson me parcouru le corps.

Ensuite, quand je faisais aller et venir l'aubergine, j'avais l'impression que ça me vidait, puis de nouveau cette sensation d’être envahie, d’être pleine, et je ne parle pas de ce que je ressentais au niveau du clitoris ni au niveau de l'anus, trop bon ! J'avais plus de plaisir encore qu'avec la batte de base-ball parce que j'avais l'impression que ma chatte se refermait une fois le légume englouti. Le bout enflé de l'aubergine venait taper contre le col, ça me procurait d'énormes vagues de chaleurs intenses dans tout le ventre.

Après, avec les pinces à linge, c'était encore plus excitant, en plus, de savoir que tu m'observais, et que tu prenais des photos pour les mettre sur internet, ça m'excitait encore d'avantage. J'adore savoir que des gros porcs vicieux vont se branler en regardant mes photos.



Je voyais entrer et sortir le gros légume de la chatte de ma soumise, lui déformant les lèvres, puis repartant dans l'autre sens comme aspiré par l’intérieur de la femelle. Une idée me vient, j'ordonne alors :

- Sors l'aubergine… Voilà, maintenant branle-toi le clito.

Je pose l'appareil photos et vais chercher dans la salle de bain deux pinces à linge en bois, de forme traditionnelle. Qui ne pincent pas vraiment très fort, mais tout de même assez, pour agacer un téton déjà érigé. Je pose une pince sur chaque téton et impose encore :

- Ne bouge pas… Montre ton aubergine… Et je prends une photo.

- Vas-y, remets-toi l'aubergine dans ta chatte de salope… Allez… Et Imagine maintenant que c'est un gros noir, super monté, qui te ramone la moule… Et te pinçant fort les tétons… tu aimes ?

- Ho oui, j'aime ça…

Je la regarde se poignarder l'abricot avec son légume qui entre et sort à un rythme soutenu, prends quelques photos, puis ordonne encore :

- Branle-toi le clito en même temps, imagine un autre black qui vient te bouffer le clito…

La salope se pâme, elle couine comme une cochonne qu'on égorge, sauf que là, c'est pour dire son plaisir et non sa souffrance !

Je vois bientôt un filet de pisse claire (Anne, ne vois-tu rien venir ?) qui suinte de sa chatte dont on entend le doux clapotis. Je sens que l'orgasme libérateur est assez proche, en général quand elle mouille abondamment et qu'elle ne peut plus se retenir de pisser, un orgasme violent suit.

Et voilà qui se fait, maintenant ma pétasse gueule à travers l'appartement son plaisir (ce qui m'a valu, une fois, le bonjour de ma voisine du dessus, qui me fit un clin d’œil complice, Un canon de chez canon, qui devait se faire suer un peu à Tours, car elle venait, pour un boulot de traductrice, d’Autriche). Là, S114 joui, se tortille, et finie par expulser le légume hors de sa chatte dévastée.

- Tiens ça en main, salope, que je fasse une belle photo de cet instant, ordonnai-je encore à Nanou en lui tenant l’aubergine ramassée à l'instant.

Je fais encore quelques photos pendant que la salope reprend son souffle. Sa chatte est béante, je m'approche et glisse trois doigts dans le gouffre féminin brûlant, puis ordonne encore :

- Branle-toi le clitoris, comme la bonne traînée, que tu es…

Elle ne se fait pas prier, Nanou, elle s'astique rapidement et efficacement le bouton, tant et si bien qu'en quelques secondes, elle recommence à se pâmer.

Je reprends le légume, et l'enfonce d'un coup dans la grotte féminine détrempée, et commande encore :

- Finis-toi, mais sans toucher l'aubergine, tu te branles, comme tu le fais chez toi, mais tu ne joues pas avec mon légume…

Elle repart dans les tours, (encore un coup de pub pour moi) et joui à nouveau très bruyamment. Et fini par expulser l'aubergine de sa chatte.

- C'est bien salope, maintenant, tu vas te mettre debout, avec l'obscur objet de ton plaisir, que je prenne une photo.

Cette nuit-là, elle a rêvé de ratatouille, m'annonce-t-elle le lendemain matin, je ne vois vraiment pas pourquoi !







 

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