070518 Soirée avec Arlette et Jean-Marie

 

Lors de la soirée du 29 avril, nous avons invité nos deux couples d’amis, à venir dîner à tours et traîner, ensuite, dans la ville chaude. Jean-Pierre et Sylvie ne pouvant pas venir, c'est avec Jean-Marie et Arlette que nous dînons.

Comme Arlette était une adepte de l’exhibition, tout comme ma pétasse, nous avions convenu de faire une petite sortie dans le Tours-chaud.

À l'appartement, déjà, S114 tient à montrer ses exploits sur son blog. Et Jean-Marie, très joueur, de montrer les fesses de sa femme, au sourire de mon objectif.

Après le café, et une discussion autour du programme et des lieux à visiter, nous sortons pour le sex-shop le plus proche de l'appartement, le « miroir des hommes » où nous avons nos habitudes maintenant.

Dès l'arrivée dans le magasin, et après avoir salué le vendeur à l’accueil, j'ordonne à S114 de se mettre les mamelles à l'air. Elle emmène Arlette dans les tréfonds de l'établissement, et lui montre quelques recoins bien salaces. Nous avons du mal à suivre d'ailleurs.

Les deux furies agacent un peu les mecs qui sont dans la partie « cinéma permanent » du magasin, puis reviennent pour faire un peu d'exhibition à la lumière.

Jean-Marie joue avec sa femme et invite S114 dans la danse au grand bonheur des clients de l'établissement qui, un par un, sortent du cinéma pour voir le spectacle vivant.

Après de longues minutes passées à des jeux d'exhibitions, nous ressortons du magasin pour aller dans le vieux Tours qui n'est pas très loin à pied.

En ville, Arlette et S114, toutes deux chaudes comme la braise, n’arrêtent pas de remonter leur jupe pour montrer leur cul ou leur chatte, un festival.

Jean-Marie s'amuse à montrer les petits nichons bien fermes d’Arlette, moi, ceux plus mous, mais aussi plus doux, de ma salope.

Nous nous arrêtons devant une devanture de magasin, bien entendu fermé à cette heure de la nuit, pour que Jean-Marie montre les culs des deux femelles de plus en plus chaudes, pourvus qu'on ne fasse pas fondre l'asphalte !

Cette nuit de mai n'est ni trop chaude ni trop fraîche, juste bien. Nous prenons un pot en terrasse, certains doivent entendre nos discussions qui ne sont pas discrètes, et nous regardent avec un drôle d’œil. On pourrait même avoir l'impression que les deux furies auraient envie que des messieurs nous suivent, histoire de pimenter ces petites exhibitions nocturnes.

Quelques pas plus loin, comme il se doit, les pisseuses ont une envie d'uriner !, allez hop, une petite ruelle tranquille, et voici les deux salopes qui se vidangent la vessie sans autre forme de procès.

Notre petite balade se poursuit jusqu'au « club71 », une boite de nuit, jadis homo, aujourd'hui plutôt ouverte aux entraîneuses des bars de la ville, qui viennent finir la soirée avec leur client. Mais une boite avec une ambiance sympa, et parfois torride.

Avant d'arriver, je montre à nos invités le petit parking attenant à la boite, où souvent l'ambiance chaude continue dans les voitures, voir en plein air, à l’abri des petits arbres qui jalonnent l'endroit. Arlette ne peut s’empêcher de montrer ses fesses, donc hop, photo !

Peu après, à l’intérieur de l'établissement, nous prenons un verre quand une entraîneuse, visiblement sensible aux clins d’œil d’Arlette, qui semble avoir envie d'allumer autant les messieurs, que les dames ce soir, vient nous rejoindre.

Mais cette jolie femme parait plus attirée par les cris des billets de cinquante dans le portefeuille de Jean-Marie que par les beaux yeux de son épouse !

Le reste de la soirée fut plutôt calme par rapport à bien d'autres fois ! Ni S114 ni Arlette ne finirent à poils sur la piste, il n'y eut pas d'esclandre comme avec « 7ansdemallheurs », pas de strip-tease sur la piste, bref, soirée tranquille !

Ma pétasse s'absenta seulement un instant pour aller se faire piner dans les toilettes, par un mec qui était venu nous faire du gringue à la table et nous avait offert une autre bouteille de gin.

Puis, vers cinq heures du matin, fatigués, alcoolisés, nous sommes rentrés à l'appartement, en taxi, pour un repos bien mérité !