070525 Anniversaire surprise

 

C'est mon anniversaire, ma salope m'a demandé de ne rien prévoir pour ce soir, elle veut me faire une surprise. Bon, je ne prévois rien et passe tranquillement ma journée.

S114 arrive sur le coup de dix-huit heures trente. Dès son arrivée, elle court prendre une douche et se changer pour une tenue un peu plus légère, mais qui ne me donne aucun indice concernant la surprise !

Vers dix-neuf heures quarante-cinq, elle reçoit un mystérieux appel téléphonique, et m'annonce que nous pouvons y aller.

Je suis surpris de partir à pied, mais au bout de moins de cinq minutes, nous nous retrouvons devant le restaurant, le Gévaudan.

Nanou me demande de fermer les yeux, pour monter les trois marches et accéder au restaurant.

Ce restaurant était assez particulier, tenu par une femme à fort caractère, il servait aussi, certains soirs, de bar d'ambiance, autrement appelé encore bar d’hôtesses, ou bar à putes ! La patronne aimait à dire qu'elle était une ancienne entraîneuse de bar, mais elle a dû aussi tapiner ! Elle disait également avoir tenu un club libertin.

Son restaurant était connu des gourmets, mais aussi apparaissait dans les revues libertines, comme bonne adresse. En tout cas, la gouaille et la gentillesse de la patronne, donnait une ambiance particulière, chaleureuse, électrique, mais dans la douceur.

Une fois dans la salle, les yeux toujours fermés, j'entends le fameux « joyeux anniversaire » entonné par une petite troupe. Trois couples sont là pour cette petite soirée, et visiblement le restaurant est fermé au public, nous serons donc les seuls.

Nous prenons l'apéritif au bar, ça permet à tout le monde de faire connaissance, puis la maîtresse des lieux donne le top pour passer à table, mais elle précise bien :

- Tout le monde à table… Mais tous, torse nu !

Et en moins de deux, nous voici tous, torse nu, à table, messieurs comme les dames ! Ça évitera de se tacher la chemisette !

L'entrée est sympa, le repas fin, les vins délicieux, bref, une bonne table, la réputation du Gévaudan n'est pas surfaite. Après le fromage, et avant le gâteau d'anniversaire, voici que ces dames, plutôt échauffée, décident de danser autour de la table. L'ambiance devient vite bouillante.

La patronne du resto prend des photos avec l'appareil que ma salope a acheté pour l'occasion et lui a confié. Un appareil jetable, donc des photos à faire développer, ça devrait être amusant ultérieurement !

Puis, ces dames se préparent devant le bar pour apporter le cadeau avant le gâteau. La remise du cadeau est exceptionnelle, une grande boite en carton avec de grands verres à vins, apporter par quatre nymphes tout sein dehors, on peut rêver mieux, certes, mais ça risque de rester que du rêve ! Là, c'est du grandiose.

Voici des verres immenses, pour une grosse soif, avec le réchauffement climatique, c'est cadeau fort sage ! Et autant les essayer tout de suite.

Mais bientôt, il va être temps de passer au champagne et au gâteau. Encore une petite série de photos prisent par la patronne.

Certaines de ces dames, Patricia et Aline pour ne pas les citer, commencent sérieusement à s’échauffer, cela dit, l'ambiance est aussi faite pour !

Le gâteau, maison, est succulent, rien à dire, ma salope a acheté le champagne, là aussi, bon résultat, un fameux champagne. La soirée se poursuit entre rires et histoires cochonnes, souvenirs vicieux et récits érotiques.

S114 discute avec sa copine Sylvie et la patronne, nous finissons le champagne, et il est bientôt l'heure de passer à la deuxième partie de soirée, elle aussi, est une surprise.

Je m'attendais à tout, sauf… À ce que tout se passe chez moi, pour la suite de la soirée ! Cela dit, j'approuve le choix de ma salope, pas de voiture à prendre, donc pas de risque pour les permis de conduire.

La patronne du Gévaudan ne nous a pas suivi, dommage, elle semblait très joueuse, et avait visiblement envie de quelque chose avec les filles, du moins, c'est la forte impression que j'ai eue. Pas plus que Jean-Pierre et Sylvie, qui ont un déplacement, à paris, le lendemain.

Une fois dans l'appartement, ma salope fait « visiter » les lieux, ce qui prend peu de temps, et très vite, Patricia et Aline s'installent sur le canapé et commencent à s'occuper d'elles, tranquillement, et à se câliner. Laurent, le mari de Patricia, entreprend de déshabiller sa femme pendant que Fred et S114 décident de faire goûter la brosse à dents électrique à Aline.

Nanou devient experte en maniement de la brosse à dents électrique, et bientôt Aline s’envoie bruyamment en l'air ! La douce morsure, des poils soyeux, sur son clitoris, a raison de son envie, de se réserver pour plus tard. Mais elle semble aussi beaucoup apprécier de jouir, dans les bras de son mari, des caresses d'une femme, quand bien même, ces caresses sont très « technologiques » ! Et bientôt, elle inonde le canapé d'une urine claire mélangée à sa cyprine, elle ne contrôle plus rien.

Le plaisir d’Aline s'arrose avec un verre de pétillant. S114 est copieusement remerciée pour ses services, elle qui se dit pas du tout intéressée par les femmes, elle commence tout de même à savoir les faire jouir, les femmes !

Et voici maintenant Patricia qui demande à subir le même traitement que sa bonne amie Aline ! Ma salope s'y colle, et de nouveau, elle s'occupe, avec son outil à faire rêver les filles, d'une femme. Il faut dire que S114 et Patricia ont déjà été soumises ensemble lors d'une visite chez Laurent et Patricia. Les cuisses largement écartées, Patricia se laisse travailler le minou, et elle ne tarde pas à miauler de bonheur.

Pendant que ma salope s'occupe de la chatte de sa copine Patricia, le mari d’Aline me demande de cravacher un peu sa femme soumise.

Je prends une cravache longue et très flexible qui se termine par un scion très souple. Alors que ma salope donne du plaisir à sa copine, moi, je donne une autre forme de plaisir à la copine de la copine, ça devient compliqué à suivre !

J'installe Aline, le ventre sur un tabouret, les fesses bien en évidence, et commence à jouer de ma cravache sur ses petites fesses. Très vite, Aline se retrouve avec les fesses joliment zébrées de rouge.

Pendant ce temps, ma salope s'applique à faire jouir plusieurs fois cette pauvre Patricia (qui finalement ne demande que ça !), tenue qu'elle est, par son coquin de mari.

Alors que visiblement mon traitement à la cravache ravie la soumise que l'on m'a confié, car elle couine à nouveau de belle manière, j'ai la demande de Laurent de m'occuper de la sorte, de sa femme, qui elle, vient de jouir, pour la énième fois, en tachant même sa robe, tant elle mouille.

Je confie donc Aline à son mari, non sans faire encore une photo de ses fesses bien rouges.

Patricia passe sur le tabouret, même position, mais cette fois, et à la demande de son mari, on passe avec une autre cravache, plus dure, qui ressemble bien plus à une badine. Je commence une petite série en disant :

- Tu vas compter les coups.

- Un… dit Patricia juste après avoir reçu la caresse mordante de la cravache sur ses petites fesses qui semblent si tendres.

- Deux…

- Trois…

- Ça va ? Pas trop dure cette cravache ?

- Ho non, Maître, continuez s'il vous plaît…

Je ne suis pas sur terre pour juger les autres, encore moins juger leurs façons d’avoir du plaisir. Seuls les imbéciles se permettent de juger leurs semblables, et ils ont souvent la dent très dur contre ceux, qui ont les mêmes défauts qu'eux… Je reprends donc mon mouvement et inflige un quatrième coup à Patricia.

- Quatre…

Je me recule pour prendre une photo, joli tableau, Patricia les fesses bien rougies à attendre la suite, et Aline qui suce son mari très consciencieusement.

Je reprends mes caresses à la cravache sur les fesses roses et rebondies de Patricia.

- Cinq…

- Six…

- Sept…

Laurent, le mari, me demande d’arrêter un peu pour prendre lui aussi quelques photos du cul de sa femme. Puis, il me dit :

- Tu sais ce qu'elle aime… Tu peux lui dilater la chatte avec ton gros god blanc ?

- La maison ne recule devant aucun sacrifie ! Que ne ferai-je pour faire plaisir à mes hôtes !

Délaissant la cravache, je m'empare d'un gros god blanc, rigide, et commence à usiner la chatte de la soumise, qui couine de plus en plus, en fonction de mon avancée, avec le jouet, au fond de sa chatte.

Bientôt Patricia se cabre et finit par mettre les coudes sur le tabouret pour avoir le dos bien droit et que mon jouet puisse aller la fouiller le plus loin possible.

- T'aime ça te faire ouvrir, hein jolie salope ?

En guise d'acquiescement, j'ai droit à un petit grognement. Pendant ce temps-là, ma salope, elle, est en train de se faire peloter et rouler des galoches par Laurent, et l'autre salope soumise d’Aline s'est empalé sur la queue de son mari, et s’envoie en l'air tranquillement !

Estimant que sa femme est prête, Laurent, qui vient de se déshabiller, me fait signe qu'il va se faire sucer par sa salope. Il se place dos au mur et ordonne à son épouse :

- Viens.

Patricia se met tout de suite la grosse queue de son mari dans la bouche et la suce.

L'homme possède un sexe très large, pas très grand, dans la moyenne, mais très large, il prend sa femme par-dessous les bras et l’emmène sur le canapé.

Elle se retrouve en moins de deux à quatre pattes sur le sofa, presque dans les éjaculations féminines précédentes d’Aline, et là, son compagnon lui annonce, pour que tout le monde entende bien :

- Maintenant que tu as la chatte ouverte, je vais t'ouvrir le cul ma salope…

Si, pour le moment, on pouvait encore comprendre quelque chose à la situation, cela dégénéra très vite, et bientôt, plus personne ne sait qui est qui, qui baise qui, qui a baisé qui, et qui baisera qui…

Mais qu'on se rassure, le lendemain matin, on réussit à retrouver tout le monde !

Le lendemain midi, seuls avec Nanou, nous discutions de la soirée, et je m’aperçus que j'avais eu droit à toutes les femmes ! Mais que ma pouffiasse aussi s'était fait remplir par tous les mecs, et par les deux trous bien entendu.

Finalement, vieillir a du bon, et pour un repas d'anniversaire, j'avais été gâté au-delà de toute espérance !





















Commentaires

  1. Anonyme9/01/2024

    Bonjour c’est possible de ce joindre a vos jolie soiree

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Celles-ci non, puisqu'elles datent de 2007... et que j'ai licencié S11 en 2010. Toutefois, nous recevons parfois des mecs seuls si réellement bi avec Sonia...

      Supprimer
    2. Anonyme9/06/2024

      J’aimerais vraiment vous rencontre avec sonia

      Supprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Deuxième rencontre avec claudette la branlette

Première rencontre avec soumise Claudette

Claudette (1995)