071006 Black gangbang

 

Suite à une discussion, sur sensations SM, avec un couple, dont elle, Corinne la salope partouzeuse, nous dit faire des « blacks gang-bang » juste à côté de Paris. Nous convenons de prendre rendez-vous avec l'organisateur et voir si nous pouvons nous rencontrer là-bas.

Nous contactons donc ce monsieur, organisateur de gang-bang, dans un petit appartement, à deux pas de Paris.

Après un petit repas léger pris à Paris, en tête-à-tête avec S114, nous nous retrouvons à Sèvres avec Corinne et son mari. Un brin de causette sur un parking, puis nous nous rendons à l'appartement, qui nous a été indiqué, pour cette petite fête.

Nous sommes chaleureusement accueillis par le maître des lieux, qui commencent par nous faire visiter son grand studio. Un grand lit carré avec des draps rouges au centre de la pièce. Sur le lit, des chaînes, des masques blancs et un martinet. À la tête de ce lit carré se trouve un carcan, en bois noir, les trous sont agrémentés de clous dorés. Tout autour du lit, des tabourets noirs avec un cousin dessus, du même rouge que les draps. Dans un coin, un canapé rouge et une table basse, visiblement pour les petites pauses, qu’imposent de genre de sport. Une autre petite table sur laquelle sont posés plusieurs godemichets, des grands, des petits, un peu de tout et de toute forme.

Le mari de Corinne est équipé d’un caméscope, presque professionnel, car il aime filmer sa femme. Il m’explique aussi, qu’il vend les productions vidéos sur des sites payants, ce qui leur permet de voyager et de continuer à coquiner sans bourse délier.

Et visiblement, ce n’est pas le premier gang-bang, qu’il tourne dans cet appartement.

Bientôt, arrivent cinq grands blacks, plutôt baraqués et tout souriant. Ces hommes sont visiblement très complices et se connaissent de longue date.

Le maître des lieux propose alors aux deux vicieuses de se mettre en tenue, pour exciter ces messieurs. Tandis que Corinne remonte sa petite robe d’été marron, et descend les bretelles. Se retrouvant alors, avec la robe roulée sur son ventre, les fesses à l’air, les seins à porter de mains, ses jolies jambes gainées de bas résilles noirs. Nanou, elle, garde sa robe « ananas » sous laquelle elle est totalement nue, même pas de bas, en cette chaude journée d’octobre.

Les deux Blacks se déshabillent, se retrouvent, très rapidement, nus comme des vers. Le maître des lieux leur fournit alors des masques. Et ces messieurs, en terrain de connaissance, commencent par s’occuper de Corinne laissant Nanou encore habillée sur le bord du lit.

Je m’empare d’un gros god noir avec lequel je commence à travailler ma salope au corps. Quand j’ai bien enfoncé le gros god dans le gouffre intime de Nanou, je prends une photo.

Sur ces entrefaites, un autre black est arrivé et s’est mis à son aise. Une fois son masque blanc mis en place, lui vient directement présenter son gros sexe, à la bouche gourmande de Nanou.

S114, en bonne salope, et surtout en grosse nympho qu’elle est, gobe tout de suite la grosse bite, en me permettant de retirer le god, pour laisser la place à de la matière organique.

Pendant que ces dames commencent à s’amuser, un nouveau couple arrive. Elle, fin de la trentaine, plutôt jolie femme, mais quelque chose me dit que ça doit être une emmerdeuse. Lui, un physique banal et une taille moyenne, avec un gros matériel de vidéo, faisant un petit peu snob.

Très vite, la jeune femme se met nue, en retirant son jean et son chemisier, pour exhiber un magnifique tatouage, qu'elle porte autour des hanches. Une tête de tigre, juste au-dessus de la chatte, des flammes stylisées sur le côté. Et derrière, une tête de chat, juste au-dessus de la raie des fesses, le tout, sur une jolie femme, a un rendu merveilleux.

À peine nue, elle se fait entreprendre par un quatrième black, arrivé pendant son effeuillage. Tout de suite, celui qui dit être son mari, filme les ébats sur le canapé rouge. Mais le type, certainement très excité, joui trop vite.

Pendant ce temps-là, les choses commencent. Nanou, qui s'est fait retirer sa robe, est maintenant totalement nue. Elle suce des bites à qui mieux-mieux et les mecs en profitent pour peloter ses formes plantureuses

Le mari de Corinne s'occupe de sa vidéo. Visiblement, il a du métier, car il réussit à prendre des photos tout en filmant, et ce, dans un contexte difficile, puisqu’il est à genoux sur le grand lit et ce dernier bouge beaucoup.

Bientôt Nanou se retrouve sur le dos, à se faire copieusement ramoner, par un grand black bien monté, qui a enfilé une capote king-size.

Je prends des photos, même à travers les trous du carcan. Ma salope se fait ramoner la chatte avec vigueur et je tiens à immortaliser ce moment, le premier BGB (Black Gang-Bang) de S114 !

Un deuxième Black vient se faire sucer, pendant que le premier se finit, lui, dans la chatte baveuse de ma salope. Tout cela amuse beaucoup notre hôte, qui finalement, commence à donner de petits coups de martinet, sur le cul rebondi de ma pétasse, après m’avoir demandé l’autorisation. Va sans dire, puisque je lui avais expliqué, sur le chat, que S114 était une soumise assez maso.

Corinne, qui vient de se faire copieusement prendre la chatte et le cul, en même temps, par deux mecs, eux aussi bien montés, reprend son souffle. Et elle vient jouer à donner des coups de martinet, à Nanou, alors que celle-ci vient d’être mise dans le carcan.

Bientôt, un petit break s’impose, bien que personne ne s’en soit réellement aperçu, le temps est tout de même passé. Nous arrivons tranquillement sur le coup de seize heures, et nos cinq amis blacks commencent à donner des signes de fatigue.

Seule à ne pas boire un verre pour le moment, la dernière salope arrivée se laisse peloter sur le canapé par deux mecs. L’un, grand et large d’épaules, une petite quarantaine, et l’autre, plus jeune de dix ans environs, est lui remarquablement membré. Un sexe hors norme, gros et long, mais qui ne bande pas dur, visiblement.

Bien qu’elle s’applique à le sucer, alors même qu’elle a du mal à le prendre en bouche, tant le sexe est large, l’homme n’arrive pas à bander correctement.

La petite pause terminée, c’est Corinne qui relance les festivités, en s’attaquant à une grosse bite, qu’elle est bien décidée à faire encore grossir. Son mari, lui, filme de plus belle. La brune qui a été amenée sur le grand lit pour pouvoir être mise au carcan et sucer une fois bien entravée. Nanou qui, une fois son verre vide et certaine qu’elle ne sera pas resservie avant quelque temps, s’occupe d’autant de bites qu’elle peut. Et moi qui fais quelques photos, çà et là. On peut dire que l'après-midi va bon train.

De leur côté, les cinq blacks s’en donnent à cœur joie. Ils n’économisent pas leurs forces et se laissent aller aux caresses subtiles et vicieuses de ces dames qui, bien paradoxalement, sont de plus en plus en chaleur.

Nanou se fait ramoner la chatte par toutes les bites qui passent à proximité. Mais, elle ne reste pas sans rien faire et suce également tout ce qu’elle peut avaler !

Corinne n’est pas non plus sur la touche. Elle se fait brouter la moule pendant qu’elle branle la bite de son lécheur, qui est en train de lécher S114. Qui, elle-même, se fait défoncer la chatte à grands coups de boutoir !

Ça cartonne ! Les trois salopes se font prendre comme des chiennes par ces messieurs en rut, qui ne demandent que de baiser de la salope en chaleur ! Tout le monde est content, d’ailleurs, aux sons divers et variés, on se rend bien compte, que l’appartement pourrait s’appeler « au bonheur des dames » !

Il se passe un long moment, durant lequel ces dames se font reluire de tous côtés, mais la nature a aussi ses limites ! Et bientôt, pour les deux plus vieilles salopes, le combat cessa faute de combattant.

Seule la brunette continue les joutes. Visiblement son mari veut que « monsieur très grosse bite » prenne sa femme. Mais ce dernier ne bande toujours pas totalement, intimidé ? Stressé ? Agacé ? Bref, toujours est-il que l’homme bande mou et finit par prendre la jeune salope avec une demi-dure, qui risque, vu la taille, être difficile à manœuvrer dans cette chatte peu habituée au gros.

Le spectacle devient même assez affligeant. Entre le mari cameraman qui pousse sa femme à s’empaler sur une grosse bite molle. La femme qui fait des efforts désespérés pour engloutir un morceau de chair qui ne tient pas droit. Et le pauvre black, qui s’excuse de ne pas bander assez, tout concourt au fiasco attendu !

Nouvelle petite pause avec bulles et petits gâteaux. Les deux vieilles salopes, que sont Corinne et Nanou, sont encore prêtes à se faire mettre comme des chiennes en chaleur. Surtout que notre hôte nous apprend, que les cinq messieurs, qui se rhabillent, vont s’en aller pour laisser la place à cinq à sept autres messieurs, du même acabit.

Comme Nanou a expliqué à sa nouvelle copine qu’elle adorait le fist. Que le mari a tout écouté en détail, il entreprend de fister S114, mais lui demande de rester debout.

C’est une grande découverte pour ma salope, de se faire fister tout debout, de la sorte.

L’homme, assis au bord du lit, fouille énergiquement la grotte de ma morue, d’une main qui ne tremble pas, il semble plutôt expert de la chose. Sans fioriture, il ne s’occupe que du ramonage de la grosse moule, qu’il a investie.

Un nouvel arrivant vient de se déshabiller en un temps record et vient au contact de ma grosse salope fistée. Il commence par lui titiller le téton droit, puis lui offre sa queue, en la plaçant dans sa main droite.

S114, bien que goûtant visiblement ce nouveau plaisir du fist tout debout, n’en délaisse pas moins la grosse bite, qu’elle a en main. Et elle branle, comme une professionnelle, le gros chibre couleur chocolat.

Un autre black arrive, il vient directement vers Nanou et commence à lui travailler l’anus, avant même de se déshabiller, et alors que le mari de Corinne a toujours sa main dans la moule bouillante de ma salope. Puis le premier black offre en plus sa bite à sucer.

Les trous pleins, une bonne bite en bouche, que demander de plus pour S114, elle est aux anges.

Notre hôte, qui comprend que S114 est une véritable amatrice de fist, lui ordonne de s’allonger sur le lit. Là, il la guide, pour la mettre en place assez près du bord, pour que sa grosse moule soit accessible à tous. Puis, il lance à la cantonade :

- Messieurs, allez-y, visitez sa chatte avec vos mains, elle en raffole…

Le premier à venir est le black qui se faisait sucer précédemment. Lui, il grimpe sur le lit, se met à genoux, et offre à nouveau sa bite à la bouche experte de Nanou, qui suce tout de suite avec plaisir.

Le mari de Corinne replonge directement sa main dans la grosse crevasse béante et baveuse de Nanou. Il commence à limer copieusement la chatte, arrachant des soupirs de plaisirs à ma salope.

Bientôt d’autres blacks arrivent, attirés par les cris de S114 et par l’attroupement autour d’elle, ils ne prennent même pas le temps de se déshabiller et viennent grossir les rangs des curieux, mais pas inactifs pour autant.

Très vite Nanou se retrouve avec la main d’un nouvel arrivant plantée dans sa chatte ouverte en grand. Ma salope n’est plus qu’un tas de viande pour les plaisirs pervers de ces messieurs qui n’oseraient sûrement pas en faire autant à leur propre épouse. Mais là, voyant la grognasse offerte, ils n’ont plus de retenue.

Puis c’est au tour d’un autre membre de cette sacrée assemblée de venir fourrer sa main dans la grosse motte, comme s’il essayait une paire de moufle. Il entre sa main directement, sans fioriture, ni douceur, fouille tous les recoins du con, comme à la recherche du temps perdu. Et, il finit par ressortir, toujours aussi brutalement avec un air de dédain, voir d’agacement, de n’avoir pas trouvé son bonheur in situ !

Et encore un autre joyeux luron pour enfiler sa main dans cette moufle vivante. Lui a retiré chaussures, pantalon et caleçon, mais très vite, pour pouvoir venir tripoter cette grosse morue, qui se laisse faire.

S114 se laisse tripoter le vagin dans tous les sens, des mains, moyennes ou grosses, entrent et sortent de son sac à foutre. Car sans utérus, la salle de jeux ne sert plus que pour les plaisirs, des messieurs et de sa propriétaire.

Le mari de Corinne semble avoir pris goût au fist, et maintenant, il essaye le fist à deux mains. Il entre les quatre doigts des deux mains jointes, mais les pouces ne rentrent pas. Il ressort alors ses mains et commence un petit jeu qui consiste à faire entrer le poigt serré dans la vulve dégoulinante, de le ressortir aussitôt. Puis, d’enfoncer le deuxième poing, et ainsi de suite, de plus en plus vite.

Ma grognasse grogne de plaisir et de douleur légère mélangés, elle est rouge, presque cramoisie, tant elle est excitée. Elle n’est plus qu’un objet de plaisir, pour les hommes qui l’entourent, mais pour elle aussi, elle jouit plusieurs fois.

Cette traînée se laisse remplir la moule de mains d’inconnus, la bouche de bites de mecs, qu’elle n’a jamais vu, et avec un peu de chance, qu’elle ne reverra jamais. Même notre hôte enfile, une fois, cette grosse moule béante, avec sa main, sans préparation, directement, comme pour vérifier que cette salope est prête à tout et accepte tout.

Un long, très long moment se passe avec S114 sur le dos, les pattes en l’air, parfois soutenu par des blacks qui en profitent pour lui plonger leurs grosses mains viriles dans le vagin.

Certains participants ont du mal à se rendre compte combien il est facile de pénétrer Nanou et en discute avec des rires gras. Le maître des lieux lui-même teste la profondeur de ce gros vagin et, est étonné, que la moitié de son avant-bras puisse passer par la vulve.

Le mari de Corinne semble apprécié totalement cette moufle vivante, car dès qu’il peut, dès que quelqu’un sort de la moule béante, lui y ré-insert les siennes, de mains !

Nanou est tout à son plaisir et elle suce les grosses bites blacks qu’on lui présente, les yeux fermés. Mais du moment qu’elle a une grosse bite en bouche, tout va bien !

Les conversations sur Nanou vont bon train. Les mecs s’étonnent de voir une telle salope, et certains me demandent même si elle ne fait pas la pute. À l’époque, je répondais que non, finalement, elle fera la pute chez moi, pendant que je serai au boulot, et pire, au vu et su des voisins, mais ça, c’est une autre histoire. Pour le moment, les mecs me demandent tous, chacun leur tour, où nous habitons et s’ils pourraient venir la baiser en semaine.

Trop loin de Paris, puisque nous sommes à cent-quatre-vingts kilomètres de la capitale, ils me promettent tous, peu ou prou, que s’ils ont l’occasion de passer par le nord de la Picardie...

S114 suce et branle, sans discontinuer, les bites à sa portée. Qu’elle se fasse visiter la matrice par des mains ou non, elle reste sur le dos dans la position du cafard flytoxé. Ainsi, elle a la chatte et le cul offert à qui veut, la bouche bien occupée et les mains prisent, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes !

Toutes ces mise-en-bouches ont bien agacé les hommes qui ont maintenant envient de jouir. Il semble bien qu’ils n’aient pas trop envie de baiser Nanou, sûrement qu’ils ont peur de nager dans cette grosse motte toute distendue où les mains entrent et sortent sans coup férir. Peut-être craignent-ils de ne plus pouvoir faire jouir, cette baleine échouée sur le grand lit carré, avec leur sexe, pourtant de bonne taille. Peu importe, toujours est-il qu’ils ont envie de jouir pour faire retomber cette tension nerveuse accumulée depuis leur arrivée.

Notre hôte rejoint le lit rouge, et, sur les genoux, vient se faire sucer la bite par la suceuse de service qu’est devenue Nanou.

- Tu vas être une bonne fille et tu vas nous vider les couilles dans ta gueule de salope, hein, S114 ?

Quelques grognements sourds répondent par l’affirmative à l’ordre.

Les deux blacks présents sur le lit, à cet instant, en profitent pour y aller, eux aussi, de leurs commentaires salaces :

- T’aimes ça la bite de black, hein salope ?

- Hum hum… en langage Nanou, qui ne parle pas la bouche pleine, ça veut dire oui.

- T’es une grosse salope, tu aimes te faire mettre par des beaux mecs comme nous, hein ?

- Hummm… Nanou serait-elle un brin agacée de répondre aux questions ?

- Vas-y, suce-nous tous les trois à tour de rôle…

- Ouais, on va t’en donner du foutre salope, tu aimes ça le foutre, j’en suis sûr...

- Allez, pompe-nous le dard, mets-y du cœur…

Le premier de ces messieurs, le black qui se faisait sucer depuis un très long moment, finit par jouir, dans un concert de jurons, tout au fond de la gorge de S114. Et, transpirant maintenant abondamment, se retire de la scène des turpitudes de Nanou.

Faut dire, qu’à quarante-quatre ans, S114, si elle a toujours été une nymphomane, prête en permanence à se faire sauter, découvre les joies de la soumission cérébrale. Ce qu’elle vit, lui fait penser à l’initiation d’Emmanuelle, dans le film éponyme. Elle m’avait avoué rêver d’être l’objet sexuel, d’un tas de mecs, inconnus, bien montés et vicieux. Là, elle peut vivre son rêve, et comme c’est sur ordre de son maître, elle n’a même pas besoin de devoir, ensuite, assumer. Elle pourra toujours se réfugier dans l’idée que cette après-midi lui a été imposée par son maître et qu’elle ne pouvait qu’obéir, comme quoi, l’esprit humain est assez tortueux.

Toujours est-il, qu’en ce moment même, elle a une bite dans chaque main, qu’elle suce à tour de rôle.

Bientôt, un deuxième cochon lui jute dans la bouche, mais lui, avec la dose qu’il décharge, finit par lui en mettre autour de la bouche.

Elle continue à sucer les queues qui se présentent, mais elle sembla avoir un petit faible pour celle de notre hôte, et pompe ce dernier avec une énergie rare.

L’ambiance, la douceur de cette bouche, tout concourt à perdre son sang-froid, dans ces moments-là ! Aussi, et après s’être longtemps retenu, l’homme finit par jouir dans le conduit féminin, qui voit passer autant de sperme que de whisky, et quand on connaît la consommation de whisky de S114… Il se presse bien la bite pour se purger totalement les couilles, et verser jusqu’à la dernière goutte, son foutre, dans la gueule de la chienne.

Pendant ce temps-là, la belle Corinne, elle, dans le canapé rouge, se fait ramoner la connasse par les blacks qui ont repris de la vigueur. Elle gueule son plaisir, branle, suce. Elle est entreprise par trois types bien excités, qui plus est, certains qui bandent à nouveau, après s’être vidés dans Nanou, autrement dit, ça va durer un moment !

Notre hôte, que je soupçonne fortement d’avoir pris des vitamines ou des pilules bleues, a envie de baiser cette soumise comme la pute qu’elle est. Il enfile une capote, et prend S114 directement, sans préambule.

S114, bien qu’elle ait la moule béante, jouit sous les coups de boutoirs de cette queue longue et moins large qu’une main. Le visage maculé de foutre, la bouche avec le goût du sperme, et maintenant cette bite qui la ramone, c’est un avant-goût de paradis, pour elle !

Corinne est toujours dans son coin, son mari la filme, mais en profite aussi pour lui glisser ses doigts, encore enduit de la cyprine de S114, dans la chatte. La jolie blonde suce les bites qu’on lui présente, se fait enfiler à qui mieux mieux, râle, couine, gueule parfois.

Tout ça donne une drôle d’ambiance dans la grande pièce. Je pense que les voisins doivent être habitués, car notre hôte donne ces petits après-midis, presque tous les samedis.

Après s’être fait copieusement limer sa boite à bites, S114 finit notre hôte, par une pipe magistrale. À quatre pattes, elle pompe, un emballage de capote collé sur le cul, tout un symbole !

- Suce-moi bien que je te remplisse la bouche, de mon bon jus de couilles, connasse…

Il semble que les insultes l’excitent encore d’avantage et elle se met à pomper deux fois plus vigoureusement, maintenant. Elle bouge son gros cul comme pour inviter d’autres mecs à venir la fourrer, pendant ce temps.

Dans un grognement digne d’un grizzli, notre hôte commence à jouir dans la bouche de S114 et dit :

- Bouffe tout salope, ça va te faire maigrir, c’est mieux que la pilule Ali, ça !

Nanou s’applique à tout avaler, mais dans l’excitation du moment, elle retire le sexe de sa bouche pour pouvoir avaler plus facilement, mais en prend aussi sur le visage.

Notre hôte, vicieux, mais gentleman, propose une nouvelle petite collation pour se reposer de tout ça.

Un des blacks apporte une petite serviette en papier pour que ma salope puisse s’essuyer le visage avant de boire un coup.

Mais Nanou, la libido remontée comme un coucou suisse, n’entend pas cesser les hostilités si tôt, et, après avoir rapidement avalé une coupe de pétillant, elle fait venir à elle le jeune homme, plutôt bien monté, qui s’est montré gentil à son égard.

Et comme une traînée de poudre, voici bientôt deux autres gars, qui viennent se faire sucer la bite, par cette grosse salope en chaleur. Bien que souvent invité à ce genre de fête, l’un d’eux me dit que c’est la première fois, qu’il voit une telle goulue.

Après avoir baisé, sucé, s’être fait fister, avoir pris du foutre sur le corps et même en avoir été nourrit, elle demande encore à sucer de la bite. Pas simplement pour le plaisir de sucer, mais pour se faire ramoner, encore et encore, la chatte, voir le cul qui n’a pas été visité aujourd’hui !

Trois blacks encore d’attaque (ils doivent être dopés, c’est pas possible autrement !) se servent encore de la bouche de Nanou, pendant que je sirote mon pétillant, en faisant encore quelques photos.

Mais bientôt, je suis trahi par la technologie, ma batterie est vide, et je ne peux pas prendre les photos des derniers rounds de S114, prise en double par deux blacks bien montés, qui lui ouvre enfin l’anus

Elle gueule son plaisir à tue-tête, le troisième tente de lui fourrer sa grosse queue dans la bouche, mais là, Nanou a trop besoin d’air, pour pouvoir encore sucer une bite par-dessus le marché.

Ça m’amuse beaucoup, car je sais qu’après ce genre de sodomie, elle ne va plus pouvoir se retenir d’avoir des vents. Or, j’ai prévu de l’emmener au restaurant, ce soir, avant de rentrer, et je sais qu’elle va être gênée et devenir toute rouge à chaque pet. Sans compter que dans ce genre de situation, je sais aussi enfoncer le clou et lui rappeler qu’elle est une grosse enculée. Qu’elle a encore le trou du cul ouvert, à force de se faire mettre par le petit ! Ç’a le don de la mettre en colère, mais aussi de l’exciter, et ça m’amuse énormément.

Après toutes ces frasques, S114 a besoin de reprendre des forces, et elle se jette sur les petits gâteaux, sans oublier de passer par la case liquide, bien entendu.

Puis, nous prenons congé de notre hôte, ainsi que de Corinne et son mari. Même si le courant semble être bien passé, notamment entre le mari de la blonde et la chatte de S114, nous ne reverrons pas ce couple. Comme quoi les relations humaines sont toujours un peu étonnantes. Mais S114 ira vers d’autres aventures, d’autres turpitudes.






























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