071016 Repas nudiste avec Sonia

 

En ce mardi soir, la journée a été rude, une réunion interminable pour bien peu de résultat, un client pénible qui m’a cassé les pieds pour les prix, puis vient pleurer aujourd’hui, que les prestations ne sont pas au plus haut niveaux, bref, une sale journée.

Un petit coup de fils de Nanou m’apprend que ce soir, Sonia vient dîner avec nous, voilà bien de quoi mettre du baume au cœur.

Je rentre vers vingt heures, mes deux salopes sont là. Bien accueillis par de doux baisers, ce qui est ma foi de bonne augure, et de plus me détend presque instantanément. Je pose ma serviette au coin de mon secrétaire, ensuite je propose, comme la maison est bien chaude et le temps pas froid du tout :

- Allez, repas nudiste, tout le monde à poils.

Je file au premier dans la chambre, pour poser mes vêtements, passe par la salle de bain pour me rafraîchir un peu, puis redescends. Mes deux salopes sont déjà toutes nues. Nanou a été vite à se déshabiller, vu qu’elle ne porte qu’une grande robe dans la journée. Et Sonia, elle, a posé ses affaires sur le siège de Nanou, devant son petit bureau.

Ma pétasse à préparer une petite côte de bœuf, largement de quoi régaler trois mangeurs de viande, que nous dégustons après avoir pris un petit champagne en apéritif. Le reste du repas est à la hauteur, plateau de fromages et un tiramisu.

Qu’il est agréable de dîner nu ! Toutefois, j’essaye d’exciter mes salopes en leur parlant de trucs un peu salaces, de souvenirs encore bien chauds de nos aventures, comme la nuit au bois de Boulogne. Mais je prends bien soins de ne les effleurer, que du bout des doigts, faisant monter très doucement leur excitation.

Le café en fin de repas est remplacé par le reste de champagne, personne n’y perd au change.

Étonnamment, Nanou n’a pas trop picolé ce soir, elle n’a même pas tenu à prendre ses trois whiskys en apéritif, n’a pas réclamé, toutes les cinq minutes, du vin à table. Aurait-elle entrepris de moins boire ? Je saurai plus tard, qu’à ce moment-là, elle a commencé à monter un bar dans le coffre de sa voiture et qu’elle y remisait toutes ses bouteilles de whisky, vides et pleines.

Comme S114 a trop rempli les verres, et que je trouve là une très bonne excuse pour lui donner une fessée, je lui dis :

- Je t’ai déjà expliqué qu’ici, tu n’es pas au mess des sous-officiers, on ne sert pas comme des gougnafiers !

- Ha oui, c’est vrai, mais je n’y pense jamais.

- Très bien, alors viens sur mes genoux tout de suite.

Et, tout en me dégageant ma chaise de la table, je m’assieds bien droit, les jambes pliées à l’équerre devant moi.

Tout en sachant parfaitement ce qui va lui arriver, et en l’espérant secrètement, S114 vient s'allonger sur mes genoux.

Je commence par donner une bonne fessée à Nanou, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que j’obtienne un joli rouge de ses fesses. Et, comme elle ne marque pas beaucoup, je passe une bonne dizaine de minutes à lui donner cette fessée.

Pendant ce temps-là, Sonia, elle, se marre.

S114 serre les dents, elle aime recevoir la fessée, certes, mais ça lui chauffe bien le cul tout de même. Une fois s’être remise debout, elle me regarde avec une larme au coin de l’œil, regarde Sonia, puis lâche d’un ton un peu agressif :

- Sonia aussi mérite une fessée ! Elle m’a dit qu’elle avait refusé de se faire sodomiser, cette semaine, par un de ces amants !

- C’est vrai Sonia ?

Comme une petite fille, elle baisse les yeux et lâche dans un souffle :

- Oui, mais ta salope n’avait pas à te le rapporter !

- Oui, et tu sais bien qu’elle ne sait pas tenir sa langue… Toutefois, je ne t’avais pas demandé expressément d’accepter de te faire enculer par tous tes amants ?

- Si, Mais…

- Non, pas mais ! Je t’ai dit que, pour rester "Mon Enculée", tu pouvais avoir autant d’amants que tu avais envie, mais que tu devais te laisser enculer par tous ceux qui te le demanderaient… Non ?

- Si !

J'envoie ma salope dans la cuisine pour faire la vaisselle. Je me retourne vers Sonia et lui dit :

- Ça t'amuse de voir ta copine se faire rougir le cul comme ça ?

- Ah ouais beaucoup.

Et, en lui attrapant doucement le poignet, je l'attire sur mes genoux et commence à lui donner aussi une fessée. Mais comme elle marque beaucoup plus, en très peu de temps, elle a les fesses bien rouges. Je lui propose alors d'aller retrouver S114 dans la cuisine.

je prends mon téléphone et fais quelques photos des culs de mes deux salopes. Puis, connaissant le goût de Sonia pour la fessée, je lui propose de claquer le cul de S114 pour se venger de ses bavardages.

Sonia ne s'en prive pas. Elle fait encore rougir un peu plus les fesses de cette pauvre Nanou. Puis, à la fin, je lui demande :

- Mets-lui un doigt dans la chatte, après tout, deux fessées, elle a bien le droit à une petite gâterie maintenant.

Encore une fois, Sonia, très agile de ses mains, glisse un doigt, puis deux, dans le minou baveux de Nanou qui se laisse faire, appréciant visiblement la caresse.

- Allez, faites-vous un bisou les filles.

Mes deux salopes se font quelques petits bisous sur la bouche, qui sont des plus excitants pour moi.

Nous retournons à table, Sonia commence à être bien excitée, elle trempe ma bite, encore molle, dans son verre de champagne, avant de le boire. Puis, elle me suce, histoire de voir si le champagne change de goût, ou non, suivant le contenant.

Voilà que ma queue sert à présent de boudoir ! On aura tout vu dans cette maison.

Une bonne petite pipe dans la salle à manger, devant Nanou qui finit le champagne, puis j'ordonne de lever le camp et d'aller à l'étage, où il y a le bureau, qui sert de donjon, et la chambre à coucher.

Ce soir, je sens que notre amie est particulièrement excitée, Nanou me semble assez éteinte et moi, je sens la fatigue de la journée. Aussi, pas de jeu dans le donjon, mais directement un aller simple pour la chambre à coucher. Je m'allonge sur notre lit et très vite, Sonia vient se mettre à califourchon sur moi.

S114 prend des photos de tout ça, tout en se masturbant. Puis, elle s'approche de moi pour que je la fist en même temps que je baise notre invitée.

S'ensuit une partie de baise traditionnelle, avec simplement une petite variante, qui est que, ma compagne Nanou nous regarde et fait des photos. Mais après une grosse demi-heure de ce régime, la fatigue de la semaine se faisant sentir pour tout le monde, nous finissons par redescendre boire un café. Puis, nous remontons tous les trois dans la chambre pour dormir. On ne le dira jamais assez, mais ce qu'on dort bien au milieu de deux femelles lubriques.








 

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