071023 La bonne blague avec Sonia
En ce froid mardi soir, mes deux salopes, qui ont entrepris de bouger leur graisse en cœur, en faisant de la gymnastique, rentrent de la salle de sport toutes guillerettes. À se demander ce qu’elles font réellement comme sport !
Les voyant bien excitées et plutôt hilares, je me dis qu'il serait de bon ton de passer de la parole aux actes, concernant une petite blague, d'une soirée précédente. Enfin, quand je dis blague, ce sont ces demoiselles qui ont pris pour blague, le fait que je leur promette une bougie, à chacune, dans la chatte.
Nous prenons un petit repas assez léger. Ces dames, parce qu’il ne servirait à rien de faire de la gym pour fondre et reprendre tout de suite derrière, les calories si durement évacuées, quelques heures auparavant. Moi, parce que j’ai une bonne idée de ce que je vais faire, de mes salopes, dans la soirée.
À la fin du repas, avec le café et les bulles, je branche la conversation sur la bisexualité. Je sais que Nanou dit ne pas aimer ça, que Sonia dit ne pas être attirée, que toutes les deux ont la bonne excuse, de dire qu’il y a suffisamment de mecs comme ça, sans avoir besoin des femmes en plus.
En fait, elles doivent surtout voir les autres femmes comme des concurrentes. Mais ce côté « homosexualité » les excite tout de même un peu aussi, mais pour le moment, elles n’osent pas se l’avouer, et surtout pas l’avouer aux autres !
Je finis par mon argument massue, bien que très logique, en leur exliquant :
- De toute façon, nous sommes tous un peu bisexuels quelque part, avec la masturbation, nous prenons bien du plaisir avec une personne du même sexe, non ? Bon, mais pour ce genre, le sujet n’est pas là, les filles, je vous ai réservé une petite soirée surprise…
- C’est quoi, c’est quoi ?
- C’est surprise, allez hop mes salopes, en avant, au bureau…
Et nous voici tous trois partis vers le bureau du premier étage.
J’aide mes deux salopes à se mettre nues, seule Sonia garde ses bottes, allez savoir pourquoi !? Je les allonge ensuite sur le canapé clic-clac en position lit, en travers du lit, et leur demande de patienter quelques instants, le temps que je sorte le matériel.
Je sors l’appareil photo et le met en route, puis m’empare de deux bougies, dans le secrétaire, où sont rangés tous les jouets. Deux bougies de bonnes tailles, enfin, je trouve pour ma part !
Je fais une petite photo de mes salopes sagement alitées avec, au milieu d’elles, les deux bougies.
Après un rapide choix à l'aveugle, du genre, « quelle main », Nanou se retrouve avec la bougie argentée, un peu plus petite, mais un peu plus large. Et notre amie avec la bougie rouge, toutes deux faisant tout de même plus de six centimètres de diamètre.
Honneur à l’invitée, je commence à m’occuper d’elle, lui enduit le minou de lubrifiant, entre un peu ma main droite. Pendant, que de ma main gauche, j’introduis l’autre bougie dans la moule béante de S114, qui, elle, n’a pas besoin de lubrifiant, tant elle mouille déjà, à l’idée d’avoir le ventre rempli.
Je travaille quelque temps la chatte de Sonia. Alors que Nanou se prend la bougie entièrement, dans son sac à bites, en un clin d’œil. Après avoir bien bricolé la chatte de Sonia, la bougie rentre finalement, mais pas totalement, au trois quarts.
- Tiens-moi la bougie, que je fasse quelques photos, demandais-je alors à mon amie.
Mon appareil photo est en train de filmer, aussi, je coupe le film et fais deux ou trois photos, avant de remettre l’appareil sur caméra et de continuer à filmer.
Mais le temps que je bricole avec l’appareil photo, Nanou a expulsé la bougie, j’ai dans l’idée qu’elle prend un grand plaisir à la faire entrer et sortir de son immense moule, naturellement lubrifiée et toujours prête à accueillir tout et tout le monde.
- Allez, on remet la bougie dans ta chatte. Puis, me tournant vers Sonia, je lui dis :
- Toi, tu te branles avec la brosse à dents.
Je commence à faire entrer la bougie de Nanou dans sa chatte de la main gauche, et de la droite, je joue de la brosse à dents sur le clitoris de notre invitée. Puis, je me concentre sur S114 et dis à Sonia :
- Vas-y, tiens la brosse à dents.
La bougie rentre aisément dans la grosse moule gluante de Nanou, mais il faut pousser un peu pour qu’elle soit totalement avalée. Quand j’ai l’impression que c’est bien rentré, je demande :
- Elle est bien dedans ?
- Oui, répond S114.
- Qu’est-ce que t’es ?
- Une salope...
Je me mets à genoux devant mes deux salopes, puis recommence à m’occuper de Sonia, et lui demande :
- Toi, t’es quoi ?
Elle rigole, mais ne réponds pas.
- T’es une salope ?
- Oui, répond-elle cette fois tout en continuant à rire.
- Et puis quoi d’autre ?
- Une enculée…
- Voilà !
Je fais quelques aller-retours dans la chatte de Sonia avec sa grosse bougie rouge, et lui dit :
- Imagine-toi, que c’est une grosse queue de black, là…
Puis, je m’adresse à Nanou et lui ordonne :
- Branle-ta copine…
Et m’adressant alors à mon enculée :
- Prête-lui la brosse à dents…
Sonia donne la brosse à dents à S114, qui, au lieu de venir branler le clitoris de sa copine, s’en sert sur le sien, de clitoris !
Je continue à pilonner la chatte de Sonia avec sa bougie, elle rit toujours autant, mais je sens qu’elle est super excitée.
- C’est bon ça, hein salope, tu aimes…
Nanou se branle outrageusement à côté de nous. Le moteur de la brosse à dent semble peiner parfois quand elle appuie un peu trop sur ses chairs intimes. Puis, lors d’un de ses orgasmes, elle ne peut plus rien contrôler et se met à pisser, en râlant de bonheur.
- Regarde-moi ça, elle pisse partout, cette chienne, que j’annonce alors à Sonia que je branle toujours vigoureusement.
Je pousse encore un peu sa bougie et lui intime alors :
- Garde-la au fond de ta chatte…
Sonia rit et jouit en même temps, elle porte sa main à sa chatte et pousse, au fond d’elle, la bougie.
Pendant ce temps, en me relevant, je suis venu me placer entre les grosses cuisses de Nanou, j’enfouis dans sa grosse moule deux doigts, et pousse fermement sa bougie jusqu’à ce qu’elle bute contre le col de l’utérus. Ensuite, la laisse repartir en arrière, comme si la bougie cherchait à fuir, cet endroit surchauffé.
Nanou râle de plus en plus, se branle frénétiquement avec la brosse électrique. Et elle pisse doucement. Son urine claire sort de sa chatte, en même temps que la bougie s’échappe parfois.
- Tu pisses salope, tu ne peux plus te retenir, qu’elle chienne…
Je me replace entre les deux salopes en chaleur et viens à nouveau m’occuper de la chatte de mon enculée. J’ordonne alors à Nanou :
- Viens la branler, occupe-toi de ta copine, viens lui bricoler le clitoris avec la brosse.
Nanou réussie enfin à arrêter de se branler et vient s’occuper du clitoris de Sonia avec la brosse à dents. Mes deux salopes ne sont pas gouines, mais j’ai l’impression que je vais pouvoir pousser le bouchon encore plus loin, sur le sujet, dans les soirées à venir.
Je laisse jouir notre invitée, sans intervenir, sous les caresses et les assauts de Nanou. Et plus elles jouissent l’une de l’autre, plus je trouve cela excitant. Bientôt Sonia jouit joyeusement en se laissant totalement aller. C’est parfait, mes deux salopes feront de bonnes petites gouines, d’ici quelque temps.
Une petite pause s’impose. Je descends dans la cuisine chercher à boire, des verres, et nous prenons quelques minutes de repos bien méritées.
- Finalement, de jouir, ça fatigue, affirme Sonia lors d’une discussion à bâtons rompus.
- Oui, mais c’est si bon, renchéri S114.
- Te connaissant, c’est un appel du pied, tu as envie de jouir encore, n’est-ce pas ma salope ? Lui demandais-je alors, tout en sachant parfaitement, qu’elle ne souhaite qu’une chose, reprendre les jeux, et surtout que l’on s’occupe d’elle.
- Oui, j’en veux encore…
- Allez, alors allonge-toi comme tout à l’heure.
S114 se positionne en travers du canapé-lit, se place pour être le plus confortable possible, puis écarte ses grosses cuisses, en fermant les yeux.
- Sonia, à toi maintenant d’œuvrer, tout à l’heure ta copine t’a fait jouir, à toi maintenant, de lui renvoyer l’ascenseur.
- Boh… Pfff…
- Non, je trouve cela juste que tu fasses jouir, à ton tour, ta copine !
- Oui, mais je ne suis pas gouine, moi !
- S114 non plus, et pourtant, elle t’a bien donné du plaisir !
- Oui…
Je vois avec plaisir, que mes arguments fallacieux, portent tout de même leurs fruits. Je tends la bougie dorée de Nanou à mon enculée, puis la brosse à dents à ma salope, car je sais qu’elle, elle saura s’en servir, Sonia, pour le moment, n’est pas encore totalement à l’aise avec cet outil, sur une fille.
La jolie brune vient s’agenouiller entre les cuisses écartées de sa copine, et commence à positionner la bougie contre la vulve, puis, lentement, délicatement, elle la fait pénétrer, dans la grotte féminine amie.
Nanou a tout de suite porter la brosse contre son clitoris et se branle déjà frénétiquement.
Sonia n’a aucun mal à faire pénétrer l’objet dans cette grosse chatte ouverte et toute glissante. Il semble qu’elle soit tout de même un peu gênée quand ses doigts entrent en contact avec la chair intime de Nanou. Puis, finalement, elle paraît assez vite s’y accoutumer.
Je profite de ce spectacle et note mentalement tous les faits et gestes. Je trouve que mes deux salopes, pour des nanas qui ne sont pas gouines, s’y prennent tout de même pas mal, pour s’occuper l’une de l’autre, c’est très prometteur.
S114 prend son pied dans un concert de cris et de râles. Et, quand l’orgasme arrive, elle expulse la bougie de sa chatte, mais lâche également un jet d’urine, que sa copine prend en pleine figure !
Sonia vient de se faire pisser dessus, et par une femme encore, pour la première fois ! Elle est certes un peu choquée, mais aussi intriguée.
- Ha ! Tu es femme fontaine, Nanou ?
- Non, c’est juste une grosse dégueulasse qui ne peut plus se retenir de pisser, quand elle jouit, parce que c’est trop bon de pisser, lors d’un orgasme !
- Oui, tu as tout compris ! Avoue Nanou en rigolant.
- Au fait, Sonia, tu ne me disais pas que tu recevais un soumis demain ?
- Oui…
- Bon, alors viens près de moi.
J’attrape alors mon amie, sans autre forme de procès, et la guide pour la mettre debout au milieu de la pièce. Je lui tends une petite serviette.
- Tiens, essuie-toi, cette grosse salope de S114 sera punie plus tard, pour le moment. Je veux que demain, quand tu cravacheras ton soumis, tu penses bien à moi. Ferme les yeux et les mains sur la tête.
- Tu vas me faire quoi ?
- Une petite marque maison…
- Pas une grosse ! Et pas douloureuse…
Je recule, admire le cul de ma salope, sa posture, puis m’empare d’une longue cravache à l’extrémité faite d’un petit cordon de nylon. Je me positionne pour être le plus possible « à ma main ». Puis je zèbre de trois traits la fesse droite de Sonia. Un Z, alors est-ce une résurgence de feuilletons télévisés d’antan, ou une notion cinématographique plus politique, allez savoir !
Sonia n’a ni bougé ni bronché. Stoïque et en bonne fille, elle attend qu’on lui dise que c’est fini.
- Voilà ma belle, c’est fini, tu as un joli Z sur la fesse, penses-y bien demain quand tu donneras du paddle à ton soumis… Bon, maintenant, à S114 !
Nanou n’a pas bougé non plus, elle, elle est restée allongée sur le canapé-lit à me regarder cravacher Sonia, et ça semble beaucoup l’amuser.
- Mets-toi à quatre pattes, face au mur.
Le temps que Nanou se mette en position, j’ai récupéré un feutre indélébile bleu et je viens me placer derrière elle, pour lui marquer, juste au-dessus de son gros cul, « SALOPE ». Je prends mon appareil photo et fait une photo de cet instant.
Nanou ne remue pas, se laisse faire et sens qu’on lui écrit quelque chose sur le bas du dos. Sa bougie traîne encore sur le drap.
Puis, je demande à notre invitée de se mettre dans la même position, à côté de S114, ce qu’elle fait. J’en profite alors pour écrire « ENCULéE ».
- Allez, faites-moi voir vos trous du cul, mes salopes.
Et aussi tôt, l’une et l’autre portent leurs mains à leurs fesses et les écartent.
Je prends encore une photo, puis leur annonce :
- Allez, au lit les filles, vous avez bien mérité votre petite récompense...
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