071108 Soirée webcam avec Fred
Cette petite soirée commence bien, je ne rentre pas trop tard du bureau, il n’est pas encore vingt heures, après une journée un peu chargée, mais sans difficulté particulière.
Je trouve mes deux salopes, Nanou et Sonia, devant l’ordinateur, en train de chatter joyeusement sur internet.
- Regarde ce que j’ai reçu, m’annonce directement ma salope dès mon entrée.
Et elle se lève et s’exhibe dans une sorte de body en filet, qui sert aussi de porte-jarretelles.
Très bien, je vais te prendre en photo.
Et, après avoir embrassé ma bonne Sonia pour lui montrer que je suis très heureux, qu’elle soit là, je vais dans mon bureau à l’étage et m’empare de mon appareil photo. Puis, je redescends afin de donner les directives pour faire quelques clichés.
Je commence par prendre Nanou seule, quasiment nue, devant la télévision, après, je demande à Sonia :
- Viens te mettre à côté de ta copine, ma belle salope…
Sans sourciller, la jolie brune vient se placer à côté de la grosse, qui lui passe tout de suite le bras derrière la nuque pour l’attirer à elle.
- Baisse ton col, que je prenne aussi tes grosses mamelles.
Sonia obéit docilement, et je prends mes deux salopes en photos.
Ensuite, nous passons à table pour un souper fin, avec un appétit non feint. Après le dessert, ces dames, qui m’ont raconté avoir été bien excitées, par les chats de la fin d’après-midi, ont envie de retourner sur l’ordinateur.
Puisqu’elles veulent discuter, autant qu’elles le fassent en petite tenue et que leurs correspondants puissent aussi en profiter, alors, à poils les filles !
Pour Nanou c’est vite fait vu qu’elle a gardé la tenue qu’elle a reçue par courrier, qui la laisse pratiquement nue. Ses grosses mamelles, sa moule grasse et son gros cul bien apparents
Sonia, quant à elle, est venue sans sous-vêtement. Bon, sans culotte ni soutien-gorge, très bien, mais il manque les bas tout de même !
Aussi, je décide de lui donner une petite correction à ma façon, et avec une de mes cravaches, une des plus "aimables" en tout cas.
- Allez, nichons à l’air, robe sur les reins, et penché sur la table.
Sonia exécute le commandement comme si elle n’attendait que ça. Puis, quand elle eut posé les tétines sur la table froide, elle commença à s’en plaindre en faisant un mouvement de recul :
- C’est froid !
- Oui… Ça t’amusait quand nous regardions le film "la secrétaire". Tu trouvais ça drôle, que la pauvre femme se plaigne du froid, quand elle était allongée sur le bureau… Eh bien maintenant, tu sais réellement ce que ça fait… Ne bouge pas et compte.
Je me recule un peu et commence une petite série de cinq coups de cravache, des coups plutôt légers. Sachant parfaitement que Sonia marque très vite et ne voulant pas non plus la faire souffrir, la faute n’étant pas si grave.
Une fois les cinq coups donnés, je repose ma cravache et prends mon verre de vin, pour en boire quelques gorgées. Et une idée me vient, je me sers des grosses fesses de Sonia, pour en faire un support de verre. Je place donc le pied entre les fesses et entends :
- C’est froid !
- Oui, je me doute… Mais je viens de trouver un bon truc pour aller visiter les caves de Touraine !
- Comment ça ?
- Le verre de cave, comme on l’appelle, est un verre à pied dont le pied est cassé, donc il devient impossible de reposer son verre lors d’une dégustation crapuleuse, et on finit par se prendre un "coup de pied de vigne" !
- Et ?
- Hé bien, pour pouvoir laisser mon verre de côté, je t’emmènerai et te mettrai dans cette posture sur un tonneau, et pourrai ainsi déposer mon verre !
- Et accessoirement avoir une bonne remise !
- Oui par exemple !
Quelques rires avant que Nanou ne nous appelle, car elle est en conversation avec Fred. Notre cameraman favori, celui qui a immortalisé les deux films, que nous avons fait.
Après un court récit de la soirée que nous passons à Saint-Quentin, je lui propose d’allumer la webcam, pour lui montrer mes deux salopes en chaleur. Toutefois, je lui demande un petit délai. Le temps, pour qu’elles restent bien collées l’une à l’autre, de les attacher par les tétons, avec une pince à linge.
Enfin, j’ouvre la webcam et expose, au regard envieux de Fred, mes deux salopes nues, très heureuses en tout cas, d’être matée et de plaire.
Aux messages enflammés, que je reçois de mon correspondant, je comprends tout de suite, que de son côté, lui, ne se prive pas pour "se tirer sur l’élastique". Je laisse S114 répondre aux ordres de Fred et se branler fougueusement devant la webcam.
De mon côté, sachant Sonia plutôt récalcitrante à la soumission,elle est et reste, avant tout, une domina perverse, à n’en pas douter. Et, comme têtu, j’ai décidé qu’elle serait MA SOUMISE, je joue de ses tétons dont je sais qu’elle est très sensible. Jusqu’à ce qu’elle jouisse littéralement tout debout, du travail que je réalise sur ses seins.
La soirée continua à trois, au lit, S114, la chatte détrempée, pour qui le vieil adage : " À trop se faire fourrer, on finit dilaté", résonne comme une vérité biblique. Et Sonia, qui est encore plus chaude quand elle a déjà joui et qui en redemande à sa façon. Je vais encore devoir payer de ma personne cette nuit, comme c’est parti là !
la webcam reste sympa avec des gens intelligents comme Fred ou Michel Rome, mais les lourdingues, les mecs dont la webcam ne fonctionne pas, et autres, on les jette !
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