071231 Voyage à Angoulême

 

Pour le réveillon du premier de l'an, nous étions invités chez de charmants amis à côté d’Angoulême. Et, après avoir été faire une petite virée jusqu'à Marennes d'Oléron, histoire de goûter quelques huîtres, nous avons pris la route pour la capitale de la Charente.

En chemin, et pour mettre Nanou dans l'ambiance, une petite route sur le côté me donne des idées. Nous voici sur une sorte de parking de terre battue, la route principale en contrebas, et un bois juste à côté de nous.

L’endroit est très bien pour exhiber putasse, mais je crains fort que cette petite route ne soit pas très fréquentée, nous verrons bien à l’usage. Une température de l'ordre de 10°, je peux donc prendre quelques photos de ma salope pour montrer sa tenue lors de la route.

Estimant qu'il manquait un petit quelque chose pour faire plus... Pute ! D’abord, nichons et chatte à l’air. C'est assez rapide puisqu’elle ne porte que des bas et pas de culotte, et pas souvent de soutien-gorge. Je prends mon temps pour faire quelques photos, ce qui stresse ma pétasse.

J’ordonne alors, à S114, de se masturber dans cette tenue.

Comme toujours, dès qu’il s’agit de sa moule, elle obéit. Y aurait-il des mytiliculteurs dans ses ancêtres ?

Alors que la grosse commence à ronronner comme une vieille moto anglaise (d’ailleurs, elle pisse l’huile aussi), un vieil homme se rapproche par le bois.

S114 me dit avoir peur, avec une voix qui, effectivement, trahit son émotion. Ça doit être le climat, car c'est bien la première fois que je vois Nanou avoir peur d'un monsieur ! Donc, je lui intime l’ordre :

- T’occupe pas, ferme les yeux et pense juste à ton plaisir.

Mais ma pétasse e rhabille prestement et veut se réfugier dans la voiture.

Mais je ne l'entends pas du tout de cette oreille, et lui impose encore de montrer sa chatte et ses seins avant de monter en voiture. Puis, comme elle continue à faire sa mijaurée, je la traite de salope et de pute suffisamment fort, pour que le vieux monsieur l'entende.

Pour une fois, ma pouffiasse rougit, je ne sais pas ce qui se passe dans sa tête, mais ça doit être intense.

Je sais ce qui va la rassurer, aussi, en ouvrant ma braguette et sortant ma bite, j’exige :

- Viens me sucer comme la grosse pute que tu es.

Avoir une pine dans le corps rassure toujours ma soumise. Là, elle vient se jeter sur ma pine, et commence à me faire une pipe.

- Branle-toi en même temps…

Très vite, je jouis en en rajoutant, pour que le vieux comprenne que j’englue la glotte de ma pétasse et qu’elle avale tout.

- Bonne pute, tu peux remonter das la voiture.

Ensuite, nous reprenons la route. S114 m’avouera un peu plus tard, que finalement, elle a eu un orgasme à me sucer, devant ce type qui lui faisait peur, et elle ne savait pas pourquoi.