080120 S114 à la saillie
Ma salope soumise est nymphomane, elle a besoin de se faire mettre souvent et beaucoup, il faut donc que je trouve pour occuper ses trous. Et, en ce calme dimanche, nous décidons d'aller à Lille, déjeuner tranquillement. Nous nous rendons dans une brasserie, en face de la gare des Flandres, que nous apprécions beaucoup.
Après le repas, durant lequel ma salope a montré aux serveurs, ses atours, nous nous rendons à quelques pas de là, au fameux sex-shop, le "CU3E".
Comme d'habitude, en entrant dans les couloirs sombres, ma salope est suivie de très près par les hommes seuls présents. La petite salle où je peux mettre S114 sur le dos, les pattes en l'air, offerte directement pour la saillie, n'est pas disponible. Un gay nu la squatte, sûrement en attendant, lui aussi, la saillie du siècle. Cela dit, il est sympathique et jovial, et nous lui souhaitons bonne chance.
Nous nous rabattons donc sur la salle de cinéma. Et très vite, des hommes commencent à s'occuper de ma pétasse en chaleur. Pour faire bonne mesure, j’annonce à la cantonade :
- Ma salope est à disposition cette après-midi, c'est une spéciale trois trous, mais aucune violence ne sera tolérée.
Ma pétasse est vêtue d’une petite robe grise à large décolleté. En dessous, elle porte une guêpière blanche, encore immaculée pour l’instant, des bas blancs et une paire de bottes noires.
À peine est-elle assise dans le canapé en cuir, qu’un type se jette à ses pieds et vient lui manger la chatte. Bonne fille, elle se vautre sur le côté, la tête sur l’accoudoir de droite, offrant ainsi sa moule à la dégustation.
Un autre mec survient rapidement pour lui présenter sa bite, en prenant place lui aussi sur le canapé, mais à genoux. Après avoir eu sa première rasade de foutre, une autre bite se présente à sa bouche, et hop, elle la suce de nouveau.
Ce sofa est collé au mur du fond, aussi, je prends ma pétasse par la main, en profite pour lui retirer sa robe et l’installe sur le canapé vert qui est devant. Ainsi, à genou sur l’assise, elle pourra sucer plus aisément les mecs qui viennent derrière le meuble.
Son lécheur, qui s’est mis à l’aise, suit le mouvement et reprend ses travaux de langue. Il en profite pour se masturber, puis, certainement fatigué de la menteuse, vient s’asseoir aux côtés de la grosse.
Comme la chatte est libre, un premier mec vient pour la baiser, je vérifie le port de la capote, et lui dit :
- Sa chatte est large, mais confortable, son fion bien plus serré. À toi de voir.
Visiblement, il a choisi le trou du dimanche, je m’en rends compte aux cris d’orfraie, que poussent l’enculée.
Elle suce des pines sans discontinuer, en même temps, elle prend d’autres queues dans ses trous du bas, une vraie boîte à bites. Et elle adore ça.
Nous avons revu un grand type, qui avait déjà pratiqué S114, et dont elle aurait bien eut encore envie. Mais le mâle alpha venait de piner, à outrance, une tapette et avait les couilles vides.
Ainsi, pendant plus de trois heures, la grosse se fit fourrer comme une dinde de Noël, et eu les amygdales totalement engluées de foutre. Mais ça ne l’empêchait pas de dire des conneries pour autant !
Nanou, pétasse à fourrer gratos, mise à disposition le plus possible, et qui en demande encore et encore...
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