080124 Réconfort des femelles
Jeudi soir, je rentre une nouvelle fois assez tard, mais ce soir, je sais que Sonia dort à la maison (nous avons une espèce de lit double, deux fois deux personnes, dans la chambre d'amis, qui permet bien des combinaisons pour "dormir" à trois, quatre, cinq, voire plus encore).
Nous dînons ensemble, notre invitée nous raconte les soumis qu'elle a reçu ces derniers jours (à ce titre, ne vous méprenez pas ! Sonia n'est pas Switch, c'est-à-dire changeant de rôle avec le même partenaire. Elle est polyvalente, mais surtout domina, en fait, elle peut prendre et assumer l'un ou l'autre rôle, suivant la personne, le contexte, l'endroit…).
Pour jouer, je trouve une fausse-vraie bonne-mauvaise excuse pour punir mes salopes. Car, j'ai dans l'idée de les pousser, encore un peu plus, sur le plaisir entre filles, puisque la semaine dernière, les choses avaient déjà évoluées, de ce côté-là.
À la fin du repas, nous montons dans le bureau-donjon du premier étage. Mes deux salopes sont en mode "pré-déballées", elles ne portent pas de soutien-gorge, ni de culotte. Elles gardent leurs bas, bien entendu.
Je commence par une petite fessée à la cravache, pour assouplir le cuir de mes deux jolies soumises. Pour cela, je leur ordonne de se mettre côte à côte, de relever leur jupe. Je passe derrière elles, et joue de ma cravache au rythme de la musique d’ambiance. À la fin de ce premier traitement, elles arborent de jolies traces colorées.
Le temps que je prépare un peu mes ustensiles, pour la suite. Mes salopes se sont allongées sur le clic-clac et me font le coup de "crevées, on s'endort puisque tu ne vas pas assez vite". Je vais vous réveiller ces petites pétasses ! À la première de ces demoiselles.
- Sonia, en piste, à poils, mains sur la tête, au milieu de la pièce.
Bonne fille, elle s’exécute. Elle retire ses vêtements, tout en gardant ses bas et vient se placer au centre de la pièce.
Je commence par lui faire des reproches pour ne pas avoir été assez stricte, avec ses soumis, quant au rasage sous les bras et de sa chatte. Comme j’y mets le ton et que ma cravache vient souligner mes propos, je pense qu'elle sera encore plus dure, avec ses assujettis, par la suite.
Maintenant que les choses sont claires, j’attaque le sujet principal. Je pose les pinces à botte sur les tétines de la belle. Comme elle ne bronche pas, je poursuis en y accrochant mes pinces à linge en acier, qui sont d’un bon poids. L’ensemble tire bien sur les jolis nichons de mon amie. J’aime quand ses mamelles de femmes mûres tombent sur sa panse. Ensuite, je sors ma brosse à dent, l’enduis de baume du tigre et l’applique sur le clitoris. Dès que je mets l’appareil en route, la charmante complice couine, d’abord doucement. Puis, de plus en plus fort. Cependant, le chant du plaisir est rapidement réduit par le chauffage du bouton d'amour, dû au baume. Je branle ma salope, jusqu’à la mener aux portes de l’apothéose. À ce moment, je la libère et lui propose d’aller se ressourcer sur le canapé.
Soumise Sonia a bien du mal à se contenir et à garder la pause. Mais elle finit tout de même avec de belles marques.
C'est au tour de Nanou, ensuite. Je la fais mettre nue, debout, toujours au centre de la pièce, que sa copine puisse bien tout voir.
- Les mains sur la tête, merci.
Elle obtempère très vite, pour une fois, elle doit vouloir démontrer quelque chose à Sonia.
Je commence par poser les pinces à botte sur les tétons de ma pétasse. Visiblement, elles mordent bien. Serait-elle plus sensible que sa partenaire ? Toujours est-il qu’elle a droit au même traitement, à savoir, les pinces à linge en acier accrochées dessus. Ensuite, elle a droit aux caresses sulfureuses de ma petite cravache à la claquette en forme de main.
Elle commence à être agacée par ces petits jeux légèrement douloureux. Elle se soumet surtout, du moins le pense-t-elle, pour pouvoir mordre l’oreiller le plus souvent possible. Si elle est accro au cul, elle l’est encore plus à l’orgasme.
- Bien, tu peux retourner auprès de ta Chérie.
J’utilise ce mot à escient, une façon détournée de la mener là où j’ai envie. Je laisse mes deux salopes sur le sofa pendant que je range un peu mes ustensiles. Puis, je leur annonce :
- Debout les filles, on va faire quelques photos… collez-vous l’une à l’autre… Vous sentez vos nichons se toucher ?… Faites vous de petits bisous, mes toutes belles.
Puis une petite pause s’impose. Fin de la première mi-temps
Après un petit coup à boire, thé pour Sonia et pétillant pour les autres, et quelques discussions sur le sujet du SM et de ses conséquences sur les nibards des salopes, nous reprenons. Les marques sur les seins sont légères. Et comme celles sur les fesses sont encore bien présentes et que les filles s'en plaignent presque, je décide de leur faire un petit cadeau.
- Allez, les goudous, à genoux sur le canapé.
Une fois qu’elles sont en position, je leur badigeonne les fesses, encore chaudes, avec du Vicks Vaporub. Tout d’abord une bonne odeur envahit la pièce, puis ce sont les fesses de ces dames qui commencent à chauffer sérieusement.
- Allez, mes petites gouines, on va au lit.
Je prends le double godemichet, long de plus de soixante centimètres et, sans être énorme, d’une largeur tout de même conséquente. Nous montons dans la chambre d'amis, au deuxième étage, pour nous coucher. J'installe mes deux salopes sur le lit, face à face, sur le dos. J’aide Sonia à passer ses cuisses par-dessus celles de sa copine, ainsi, leur chatte sont presque à se toucher. J’enfile un bout du god dans le vagin de S114, tout en lui ordonnant de se masturber. Ce qu’elle s’empresse de faire. Ensuite l’autre extrémité du jouet dans la moule de notre invitée, que, justement, j’invite fermement à se branler aussi.
Très vite mes salopes commencent à couiner. D’abord doucement, comme si elles avaient honte de se faire plaisir, comme des gouines. Puis, de plus en plus fort. Que diront les voisines ? Et, après un bon petit moment à se faire du bien, ma pétasse, comme à son habitude, lors de l’apothéose, lâche un filet de pisse qui va directement sur le minou de Sonia. Celle-ci ne s’en offusque pas, tout à son plaisir et à son ascension du septième ciel. Et Nanou, après un orgasme, se branle avec encore plus d’énergie, pour en vivre un autre.
Je prends un malin plaisir à leur ordonner de se branler, ce qu’elles feraient de toute façon sans mes directives. Je les encourage à donner de furieux coups de rein, comme pour baiser la copine. Et quand mes deux salopes jouissent ensemble, je les traite de petites gouines, j'adore !
Finalement, ces mots semblent bien les exciter, à suivre donc…. Car j’ai toujours la volonté d’en faire de vraies bisexuelles. De montrer à ces femmes qui se disaient cent pour cent hétéros, ce à côté de quoi elles seraient passées à rester cantonnées dans la bite !
Et pour finir, ce soir, j'exige que mes deux pétasses dorment l'une dans les bras de l'autre.
Ordre, malheureusement, pas tout à fait respecté, qu'à cela ne tienne, j'ai donc déjà mon nouveau motif de punition !
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