080125 Soirée avec J et D
C'est une petite soirée agréable entre amis, ce vendredi soir, après une semaine chargée. J’ai invité un couple, que nous connaissons pour les avoir rencontrés et montrer les films de S114, tournés dans les Deux-Sèvres. Qui vit pas très loin de chez nous, J&D, des gens très sympas. Ils sont un peu plus âgés que nous, une cinquantaine bien tassée.
Donc, après un petit apéritif et une petite raclette sans prétention, nous avons commencé à raconter des choses salaces, vicieuses et excitantes. Tant et si bien que nous n'avons plus d’autres choix, que de monter dans le bureau donjon, du premier étage.
Pour mettre ses dames en situation, D et moi ordonnons qu'elles se déshabillent et qu'elles soient nues devant nous, à l'exception de leur bas, bien entendu. Elles obtempèrent et très vite, on retrouve J avec ces mamelles de femmes mûres sur sa panse. Et ma grosse salope, les mamelles un peu plus développées, et, peut-être, un peu moins de panse.
Je propose à D un petit exercice de poids et mesures. Mais nous n'utiliserons pas les méthodes académiques du SM, j'ai une autre idée, pour ce soir. Je sors un porte-manteau métallique, équipé de deux pinces en plastique rouge, qui pince tout de même assez fortement. J'installe une pince sur une lèvre de ma pétasse, et l'autre, sur une babine de la gentille J. Ainsi, les deux femelles sont très proches et dans l'obligation d'ailleurs de se toucher le ventre et les nichons. Elles semblent s'amuser follement de ce petit tour, jusqu'à ce que j'accroche un petit seau métallique au cintre. Le cintre, qui a la tête en bas, devrait, cependant, supporter ce petit exercice. Ensuite, à tour de rôle, D et moi-même mettons des poids au fond du petit seau métallique.
Malheureusement pour le record, J mouille déjà énormément et la pince glisse de sa lèvre. Pour une fois que ce n'est pas S114 qui mouille comme une pluie de mousson et lubrifie les pinces ! elle a trouvé plus forte qu'elle, à ce petit jeu.
Finalement, nous pesons l'ensemble, le cintre, le seau et les poids. Ce qui ne donne un total de huit-cents grammes. Pas terrible, peut mieux faire !
Comme J est déjà détrempée, je propose à son mari, de lui faire découvrir les plaisirs de la brosse à dents. Mais en plus, cette fois, la brosse est enduite de baume du tigre. Oui, je sais, c'est un classique maintenant, mais il faut bien finir le pot, non ?
J’installe donc la femelle sur le dos, en travers du clic-clac, tout de suite Nanou me tend une serviette, pour éviter d'inonder le canapé. Que j'installe sous les fesses de la belle. Là, alors que je suis assis sur mon fauteuil, que j'ai rapproché pour l’occasion, je commence par tester l'humidité de l'endroit, avec mes doigts. Ensuite, j'applique mon outil, à faire rêver les femmes, sur son clitoris et lance les vibrations. Étonnamment, la musique de fond joue good vibrations des Beach Boys.
J, sous les caresses performantes de l'appareil, gigote dans tous les sens et couine de bonheur. Tant si bien, que son époux est à présent obligé d'appliquer sa main sur la grosse panse lisse, pour la bloquer, de manière à me permettre de continuer mon petit jeu. Bientôt, la jolie blonde mûre mord l'oreiller, comme on dit. Voilà, la brosse à dents magique vient encore de frapper !
Ma pétasse, qui jusqu'à la regarder, commence à faire la gueule, car elle n'a pas encore eu son apothéose. Aussi, je commence par lui poser un bandeau sur les yeux, puis la guide pour qu'elle s'allonge à la place de J. Elle est sur le dos, dans la position du cafard flytoxé.
Comme lors de nos discussions épistolaires, D m’avait expliqué que son épouse était bisexuelle, et qu’en vieillissant, elle le devenait de plus en plus. Je propose mon fauteuil, entre les pattes de ma pétasse, à J qui s'y assoit. Ensuite, je lui confie la brosse à dents et la laisse s'occuper du minou de minette.
Visiblement, la mère de famille a une grande expérience des autres femmes et elle travaille le clitoris de telle façon, que la grosse couine de plus en plus fort, et finit par gueuler. Pour la faire taire un instant, certainement parce qu'il a les oreilles cassées, D commence à s'amuser avec les tétons de ma sirène. Vous savez, celle qui se situe généralement sur le toit de la mairie. Il les triture, les pinces, d’abord le droit, puis le gauche.
Pendant ce temps-là, la vicieuse J en a profité pour faire rentrer la tête de la brosse à dents, toujours en mouvement, dans le vagin baigné de cyprine, de ma soumise. Et, elle est probablement en train de lui travailler le point G. Nanou se met à gueuler de plus bel. D’un coup, elle émet une grosse giclée d’un liquide, cyprine et urine mêlées, mais inodore, qui surprend beaucoup, la femme mûre. Elle ressort à brosse de sa gangue de chair féminine et, tout en travaillant à nouveau le clitoris avec, présente sa main profilée en longueur contre la vulve. Elle la fait pénétrer délicatement dans le vagin, qui a pourtant accueilli tant de choses. Une fois en place, elle joue à ouvrir et à fermer le poing, tout en appliquant, consciencieusement, la tête de la brosse à dents sur le bouton turgescent. Ma pétasse n'en peut plus. Elle jouit à plusieurs reprises en criant à chaque fois très fort. Une fois de plus, j'ai encore les voisines qui vont venir me voir demain matin, pour boire un café, en espérant bien prendre un bon coup et en arriver au même résultat !
Cette petite séance dure encore un petit peu, jusqu’à ce que Nanou demande grâce. Elle a eu plusieurs orgasmes consécutifs, elle tremble de partout et elle n'en peut plus. En tout cas, elle a pris un pied exceptionnel avec cette jolie petite main dans son corps. Maintenant J cesse ses caresses et retire tout doucement sa main du ventre de sa nouvelle copine.
Je retire le bandeau des yeux dans ma salope, elle s'aperçoit alors que c'est une femme qui lui a donné autant de plaisir.
Aussi, elle s'assoit sur le bord du canapé et vient entourer, de ses bras, le corps de notre invitée. Les deux femmes, nichons contre nichons, font un gros câlin. Puis, J, qui doit être vraiment très excitée, finit par embrasser amoureusement son hôtesse.
Moi, je jubile, car, côté bisexualité, S114 évolue bien en ce moment.
Après un peu de repos et quelques discussions toujours salaces, Nanou jette son dévolu sur D. Celui-ci, rapide comme l'éclair, retire son pantalon et ses chaussures, remonte sa chemise et se laisse branler par la grognasse. Nanou n'est pas égoïste, c'est bien connu, et donc, elle fait partager les joies du baume du tigre à D. Le masturbant avec sa main enduite du produit magique.
Il semble que l’homme l'apprécie particulièrement, cette masturbation, car il arbore bientôt une sacrée érection. Et comme il est en grande forme, et que la soirée avance, je fais mettre les deux salopes à quatre pattes sur le sofa ouvert, les fesses bien relevées, les coudes et le nez sur l’assise. Je propose alors à D de choisir laquelle il a envie de baiser. Je m'attendais qu'il choisisse ma putain, mais non finalement, c'est sa salope qu'il nique. En attendant, j’imagine, que moi, de mon côté, je baise la mienne.
Mais ce que ne savait pas mon invité, c'est que le baume du tigre est un produit très vicieux, difficile à contrôler.
Aussi, piégé par le baume, D, une fois qu’il a enfui son vit dans son épouse, ne peut plus s’empêcher de limer comme un forcené. Un peu comme s’il était drogué, il la baise brutalement.
À ce moment, J, non contente de prendre des grands coups de bite dans la matrice, s'éclate également, par l'échauffement que produit la perverse pommade.
La bacchanale est de courte durée, la femelle grommelle en arrivant au paroxysme de son plaisir, tandis que son mâle pousse un grand cri en ouvrant les écluses du fleuve foutre. Puis, il tourne son regard vers moi, avec un air hébété. Il semble même pas se reconnaître lui-même.
Quant à Nanou, elle se retourne et s’allonge sur le dos, recevant bientôt sa nouvelle amie. Les deux femmes se retrouvent allongées, dans les bras l'une de l'autre, sur le canapé, à s'embrasser comme des collégiennes.
Avec le mari, nous nous congratulons pour cette petite soirée sympathique. En se promettant d'ailleurs qu'il y en aurait bien d'autres. À bientôt donc J et D, merci pour votre gentillesse, pour votre douceur, pour l'éducation homosexuelle que J donne à S114. Celle-ci découvre, ce soir, qu'une femme peut aussi l'amener à l'orgasme.
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