080131 Poids et fessées en règle
Quand Sonia arrive pour dîner, elle commence par m'expliquer qu'elle ne pourra pas rester cette nuit, son petit chien étant tout seul à la maison. Je lui dis que la prochaine fois, le mieux est qu'elle l'amène. Bon, qu'à cela ne tienne, je ferai donc ce que j'ai prévu, un peu plus tôt dans la soirée. Pendant que le repas chauffe, nous montons dans le bureau-donjon du premier étage, pour faire quelques petits exercices, de poids en commun, grâce au cintre dont je me sers de plus en plus.
Une fois dans la pièce, je demande gentiment à ces dames de se mettre en tenue. Et donc, voici ma pétasse pratiquement à poil, mais ayant gardé sa jupe dont elle a remonté les pans et les a coincés dans sa ceinture. Sonia, quant à elle, est torse nu, et la jupe remontée de la même façon que sa copine. Est-ce un signe ou un message ?
Une fois qu'elles sont toutes les deux au milieu de la pièce, les mains dans le dos, à me sourire pendant que je les prends en photo. Je leur demande de garder la même position, mais de se tourner un quart de tour, l'une vers l'autre, et de se faire un bisou. Eh bien, mes apprenties goudous obtempèrent tout de suite, comme si elle n'avait attendu que mon ordre, pour se faire des mamours.
Je déplace mon fauteuil crapaud, de manière à être assis et à pouvoir œuvrer le plus aisément possible. Je me mets donc juste à côté de mes femelles et commence par attacher, une pince du cintre, sur une lèvre de Sonia. La deuxième pince allant sur une lèvre de S114. Au centre, bien en place, j'accroche un petit saut métallique par l’anse. Et, je commence à mettre des poids. En guise de poids, je me sers de pinces à linge en acier, qui sont chacune assez lourdes, de l'ordre de cent-cinquante grammes. Et la première pince qui glisse, c'est celle qui prenait la babine de ma pétasse.
Sonia, qui se retrouve avec tout le poids, sur une de ses grandes lèvres, pousse un cri déchirant. Je viens donc à son secours, en la délivrant de la vicieuse et mordante pince rouge.
Quant à ma salope, puisque c'est elle qui a perdu, elle est punie et se retrouve avec une pince à linge métallique sur une lèvre. Puis, une deuxième sur l'autre lèvre. Pour finir avec une troisième, qui vient lui mordre violemment le clitoris. À la trombine qu'elle fait, je comprends bien qu'elle souffre. Aussi, je la libère, elle aussi, et j'ordonne encore à mes deux salopes de se réconforter, en se faisant des petits bisous.
Après ces amuse-gueule, nous descendons dîner et là, mes chiennes, sûrement très excitées, me font un petit spectacle de service, dont bien des gens seraient heureux de voir ça. Les nanas pratiquement à poil, avec des bas, la chatte à l'air, qui apportent les plats. Elles sentent bon le minou mouillé, ni trop, ni trop peu, juste ce qu'il faut.
À la fin de ce petit festin, nous retournons au bureau-donjon, pour une petite séance de fessée, à l'aide d’une règle en plastique de cinquante centimètres. Je me suis aperçu que ce genre d'outil, donnait de jolies couleurs rouges aux fesses de ma grognasse, qui pourtant marque très peu.
S114 est chaude, rien qu'à avoir un peu picolé à table, mais aussi en sachant qu'il va y avoir des jeux sexuels. Elle mouille déjà comme une collégienne, lors de sa première boum. Je la fais mettre devant le canapé, les mains sur l'assise, les fesses à ma disposition. Et là, je lui claque le pétard avec la règle, relativement souple, mais encore assez rigide.
Sonia regarde la scène et apprécie le rouge sur les parties charnues de sa copine. Comme elle fait une remarque un peu particulière, je décide que c'est à son tour. Elle prend la même position, à savoir devant le canapé, les jambes écartées, les mains sur l'assise, bien penchée en avant et ne bouge plus. Là, je joue de la règle et lui administre une bonne série de claques sur le cul, bien sonores, pour qu'elle ait, à son tour, de jolies couleurs rouges.
D'un coup, je me rappelle que je dois encore une punition à S114 pour ne pas avoir été correctement rasée, lors de la venue de C, la veille. Aussi, cette fois-ci, alors qu'elle reprend sa place première, je lui donne une réelle punition avec la règle. Là, c'est moins une caresse, pour chauffer le muscle, qu'une fessée, pour qu'elle pleure un peu.
Quand elle commence à geindre, j'encourage Sonia à venir cajoler un peu sa copine et de passer un petit doigt sur le clitoris de ma salope pour la réconforter. Ce qu'elle fait aussitôt très gentiment. Je vais réellement réussir à en faire de bonnes lesbiennes, de ces deux-là.
Ensuite, après une petite pause-café, nous passons au travail des seins. D'abord, c'est Nanou qui vient au centre de la pièce, devant la fenêtre donc, les volets sont tout de même fermés.
Je lui place un bandeau sur les yeux, les mains dans le dos, elle se retrouve rapidement avec une pince sur chaque téton. Ce sont les fameuses pinces à bottes, qui mordent franchement, et qui se termine avec un crochet de cintre. Nanou avec le feu aux fesses, les yeux rouges, mais aussi une bonne dose d'alcool qui circule dans ses veines, se laisse accrocher un tas de poids sur le petit système, qui tire sur ses mamelles. Quand elle demande grâce et que, dans ma grande mansuétude, je décroche l'ensemble, je le pèse et je le trouve un kilo deux-cent-cinquante grammes.
Ensuite, c'est au tour de notre invitée, alors Sonia se retrouve avec le bandeau sur les yeux, puis les pinces sur les tétons, et le petit système avec les poids accrochés. Je lui fais porter le même poids sur les mamelles, soit un kilo et deux-cent-cinquante grammes. Elle le supporte un tout petit peu plus longtemps, mais finit par demander grâce. Elle aussi.
Je sais que les pinces écrasent fortement les tétons, mais si c'est assez douloureux à supporter, le plus rigolo, c'est quand on les retire. Pour ce faire, j'appuie d'un coup sec sur les manettes et les mâchoires s'ouvrent d'un coup. La belle se cache les nichons, car le manque de morsure et finalement presque plus douloureux. Je laisse mes salopes se reposer un peu. J'ai bien dans l'idée quelques petits jeux, mais avant de reprendre le cours des événements, je les laisse dans le clic-clac, à se faire des petits bisous. J'attends qu'elle se roule vraiment une pelle, mais ça ne vient pas ! Peu importe, ne précipitons pas les choses. Puis j'annonce :
Maintenant, mesdames, place à la brosse à dents magique. Et en plus de la brosse à dents, je me m’empare d'une bouteille de Côtes de Provence, bien sûr vide et totalement propre, qui a une forme très particulière, que j'amène avec moi. Je place mon fauteuil crapaud juste en face du canapé et à la première de ces pétasses. C'est bien entendu la grosse qui commence, après avoir mis le canapé en position lit.
Je lui travaille donc le clito à la brosse à dents. Elle bouge dans tous les sens et j’en profite pour lui enfoncer la bouteille, de Côtes de Provence, dans le vagin. Le plaisir combiné de ses caresses magiques sur le clitoris et de sa matrice qui est remplie et dilatée par la bouteille, fait que très vite, elle mord l’oreiller. La jouissance est totale et, bien sûr, comme un son habitude, elle se pisse dessus.
Je la laisse récupérer pendant que je discute un petit peu avec Sonia puis vient son tour. Finalement, je refais la même chose, je travaille le clitoris de la belle brune. Ensuite, j’enfonce la bouteille dans la chatte. Là encore, il ne faut pas très longtemps pour qu'elle arrive au paroxysme de sa jouissance, et qu’elle crie de plaisir, me suppliant d'arrêter, parce que c'est « trop bon ».
C'est fou ce que ces bouteilles, si bien profilées, vont loin dans les chattes finalement ! Certes, la dextérité du joueur de brosse à dents, est aussi pour une bonne part... Se faire un peu de publicité n'a jamais fait de mal à personne !
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