080727 A essaye S114

 

En ce dimanche vingt-sept juillet, nous recevons A, un jeune homme organisateur de gang-bang, à qui j’ai proposé la candidature de S114. Cette dernière avait bien assuré son rôle de soumise en octobre l’année d’avant, quand elle avait eu son gang-bang black. Certainement habitué à des femelles plus jolies que la grosse, il m’a demandé s’il pouvait ‘essayer. Aussi, je pose un bandeau sur les yeux de la putasse, pour qu’elle ne soit pas séduite par l’aspect de notre visiteur.

Donc, pour commencer, je teste les capacités d'ouverture de la salope, avec le cône autoroutier, que nous avons eu en cadeau par JP, une quinzaine plus tôt.

La pétasse est, non seulement, très ouverte, mais aussi drôlement profonde, et elle engloutit une bonne partie de l’engin de signalisation, avec un bonheur non feint. Elle doit se tenir sur le cône, jambes fléchies, l’extrémité dans la chatte, pendant que je lui branle le clitoris avec la brosse à dents. Comme le plaisir l’empêchait de tenir correctement la pause, elle s'est doucement enfoncée sur le bout de l’engin conique.

A peut se rendre compte, par lui-même, des potentialités d’ouverture de la pouffiasse. Il s’assoit sur le canapé, derrière la salope, et commence par lui tripoter les boîtes à lait et sa grosse panse.

Je lui propose ensuite de tester ses capacités de résistance, en accrochant des poids aux tétines et aux babines. Mais, il préfère que ce soit moi qui opère, de peur de blesser la soumise.

Ainsi, Nanou a eut droit à une bonne séance de poids et mesures, toujours dans le noir, devant un inconnu. Ce qui lui a fait couler la cyprine, le long des cuisses, mais aussi directement par terre. Alors, je lui pose la chaîne en acier, équipée de pinces, qui prend les deux tétons et les babines. Je lui retire le bandeau et lui ordonne de nettoyer le sol.

À poil, devant ce beau jeune homme, elle suit les ordres.

Je propose à mon invité d’essayer les petits jouets sur la salope, comme entrée en matière.

Là, A est bien plus à l’aise avec les gods et autres, qu’avec les pinces de toute sorte, aussi, il fait allonger la grognasse sur le dos, en travers du clic-clac, qui est déplié. Il commence à lui travailler le bouton à la brosse à dents électrique, pendant que je sors divers godemichets. Je lui montre le monstre noir qu’elle prend aisément dans la chatte. Mais, il fait encore un peu le timide et se sert du double-dong, ainsi que d’un plus petit pour lui visiter la boîte à crottes.

Je lui propose d’utiliser ma pute sexuellement, pour mieux se rendre compte, à coups de bites, de ses capacités.

Il se met nu et s’installe sur le canapé.

Pendant que S114 fait une bonne fellation à notre invité, j’en profite pour lui inscrire sur le cul : « salope à enculer ».

Avant de demander à la grosse de venir s’asseoir sur sa pine, il enfile une capote. Puis c'est la chevauchée érotique. S114 se fait ramoner la chatte à haute fréquence, car le garçon est plein d’énergie, et sait visiblement y faire avec les grosses truies. Il passe de mouvements lents et amples, à une série de coups très rapides.

Ma pétasse gueule comme une vache, ça va encore me faire de la pub dans le Landerneau. Elle a la mine défaite des grands jours, visiblement, le petit jeune de vingt-cinq ans lui remue bien les ovaires !

D’un coup, A, sans crier gare, bascule la gravosse sur le côté et la retourne, à nouveau il lui usine la salle de jeux avec ces changements de rythmes. Quand il est prêt à exploser à son tour, alors que sa partenaire à eu plusieurs orgasmes. Il se remet debout devant le sofa, aide a cavalière à venir s’asseoir au bord, et lui confit sa pine qu’il vient de déballer.

Toute heureuse, la grosse salope astique un peu le chibre, et le fait cracher sur sa poitrine.

Je fais remarquer à mon invité qu’il pouvait lui décharger dans le gosier, c'est aussi une buveuse de foutre.

Elle a, semble-t-il, passé le test avec succès... À quand le gang-bang dans le grand ch'nord ?

Pour la récompenser, je propose une petite promenade, elle aura le droit de se foutre à poil dans la rue, comme la bonne chienne qu’elle est.