080917 Soirée lesbienne

 

Mercredi 17 septembre, une soirée pour le bonheur des filles. C'est une sorte d'échange de bon procédé. Pascal, devant aller voir sa mère à Paris, nous confie Cathy pour la nuit.

Moi, j'ai toujours dans l'idée de faire de S114 une bonne soumise, certes, mais aussi une bonne gouine. Aussi, je profite de Cathy pour qu'après le repas, assez bien arrosé, nous montions dans le bureau du premier étage. Là, j'ai décidé que je ne baiserai ni l'une ni l'autre, mais que je les laisserai s'amuser entre salopes. La seule petite chose que je m'autorise, c'est de jouer avec les cierges.

Très vite, Nanou se retrouve à poil, allongée en travers de clic-clac et je confie à Cathy la brosse à dents magique. Je n'ai pas besoin de lui expliquer longtemps comment ça fonctionne. Tout de suite, elle trouve le moyen de passer la tête de la brosse sur le clitoris de sa copine et de bien l'agacer.

Voyant ça, je prends le bougeoir et une bougie. Je l'allume et je tends l’ensemble à ma salope en lui disant :

- Si tu trembles quand tu jouis, tu vas te brûler la panse.

Visiblement, elle a compris, car elle fait attention de ne pas trembler.

Et là, Cathy s'en donne un cœur joie. Elle s’occupe de cette chatte avec un savoir-faire peu commun. On se rend tout de suite compte qu'elle est tout de même très gouine, même si elle vie avec Pascal.

La première fois que S114 jouit, de la cire chaude tombe sur le pli de son ventre, au-dessus du mont de Vénus. Elle pousse de petits cris, mais continue à tenir la chandelle bien haute. Ma salope aura quatre orgasmes et finira par implorer qu'on arrête de lui toucher sa chatte, qu’elle n'en peut plus.

- S'il te plaît, arrête de me bricoler la chatte, j'en peux plus... J'en peux plus... C'était trop bon ! J'en peux plus.

Aussi, j'aide Cathy à se foutre à poil à son tour, et à s’allonger en travers du clic-clac. Là, cette fois, c'est à ma pouffiasse de lui tripoter la moule. Mais, avant, je veux qu’elle y mette les doigts, la brosse à dents ne viendra qu'après.

Aussi, S114 s’emploie à travailler manuellement le clitoris de sa copine et, bientôt, celle-ci gémit de bonheur. Bien sûr, ensuite, j'autorise l’utilisation de la brosse à dents.

La belle Cathy aura, elle aussi, trois ou quatre orgasmes. Ce fut moins facile à déterminer, car je la connais moins que ma pétasse. Mais visiblement, elle a vraiment aimé et les yeux brillants à la fin en sont la preuve.

Pour finir, je demande à Nanou de passer sa langue sur cette chatte toute détrempée. Eh bien, alors que j'en suis un peu surpris, tout de suite, elle pose la brosse à dents et lape la chatte avec bonheur.

Une fois de plus, la belle Cathy s’envoie en l'air. Quand elles reviennent un peu dans le monde des vivants, je leur explique que j'ai encore beaucoup de travail pour le demain et leur laisse le lit marital, pour elles seules.

J'apprendrai, quelques jours plus tard, par Pascal, qu'elles se sont gouinées comme des collégiennes en chaleur.